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Les drones n’ont pas fini de nous étonner

Le succès de la troisième édition de l’UAV Show (Bordeaux-Mérignac 9-11 septembre 2014) reflète l’effervescence qui règne sur le marché du drone civil en France. Les professionnels n’hésitent plus à parler d’une filière industrielle, certes naissante, mais prometteuse.

Avant la fin de cette année, un millier d’opérateurs de drones devraient avoir obtenu, de la DGAC, une autorisation de voler au-dessus du territoire français. Il s’agit pour la plupart d’entrepreneurs individuels qui espèrent se faire une place sur le segment de la prise de vue aérienne, moyennant un investissement de quelques milliers d’euros. Ils représenteraient 80 à 85 % du total. Le créneau serait d’ores et déjà saturé. Les segments promis à un fort développement demeurent la production audiovisuelle,...

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5 commentaires

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  • Les drones n’ont pas fini de nous étonner
    pour répondre à Palmeri, je crois qu’il ferait bien de faire une révision de ses notions aero concernant les autogires et les hélico.
    à titre indicatif, un rotor contra-rotatif ne se met par sur la queue…contre tenu que le principe même de ce système fait qu’il n’y en a pas besoin…avec le contra-rotatif.( en rotor principal ) ..rien sur sur la queue, généralement une simple dérive, bien souvent en V
    seul inconvenient, cela nécessite une BTP assez compliquée, donc lourde et couteuse.
    les russes sont des spécialistes…mais sur de grosses machines.

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  • Les drones n’ont pas fini de nous étonner
    attention a l’utilisation des moteurs certifies ce qui est une veritable rente pour les constructeurs , et NON obligatoire
    pour les dromes;
    heureusement que la très vive concurrence va solutionner ce probleme;

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  • Les drones n’ont pas fini de nous étonner
    Etonner?
    Pour moi ils annoncent simplement la fin du pilote a bord..

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  • Les drones n’ont pas fini de nous étonner
    Dévelloppement, ébulition, industrialisation… Voila qui nous change de la grisaille habituelle. Ce n’est pas pour autant que je suis prêt à voir un espace aérien déja bien réduit se ratatiner encore, ou à prendre un drone de 150 Kg sur le pare-brise.
    Méfiance donc, et j’espère que toute modification des conditions de circulation des aéronefs fera l’objet d’une consultation préalable des usagers…

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  • Les drones n’ont pas fini de nous étonner
    Bonjour,

    Membre 3AF et fréquentant de temps en temps l’aérodrome de Coulommiers, je m’intéresse aussi aux aéronerfs « pas comme les autres ». En ce qui concerne les concepts hélicoptère et autogyre, il suffit de lire ceci sur Wikipédia :

    Un autogire est un aéronef qui ressemble à un hélicoptère. … pas voler de manière stationnaire et avait besoin de plus de place pour décoller, les autogires furent oubliés. … Dans un monde où le carburant coûte de plus en plus cher, les autogires reviennent sur le devant de la scène grâce à leur faible consommation.

    Or, en vitesse de croisière, c’est la configuration autogyre qui prime et en ascension ou en piqué, la configuration hélicoptère est plus sûr! Les innovations concernant les possibilités d’orientation d’un fan sont-elles évidentes? Ou bien faut-il un système de pales fixes contrarotatives en queue d’aéronef?

    Enfin, pourquoi n’a-t-on pas construit d’école d’ingénieurs et de techniciens maintenance, sur cet aérodrome?

    Bien cordialement

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