Le constructeur italien Tecnam propose une version amphibie de son biplace léger composite P92.
Pour les 20 ans de son biplace P92, Tecnam lance une version hydravion qui constitue la sixième évolution du cheval de bataille du constructeur italien lancé en 1992. Baptisé P92 Sea-Sky, il s’agit en fait d’un amphibie équipé de deux flotteurs et de quatre roues rétractables. Avec les 100 ch de son moteur Rotax, le Sea-Sky est donné pour décoller en moins de 200 mètres et pour conserver de bonnes performances en montée. Cette machine prometteuse a peu de chance...
3 commentaires
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Tecnam P92 Sea-Sky, le nouvel amphibie made in Italie
Pour répondre à cette dernière question (que vous auriez pu nous adresser directement à défaut de participer à notre travail) : France Hydravion a découvert depuis 4 ans la complexité du système décisionnel franco-français, et visite les arcanes de la fonction publique territoriale, sans avoir le poids ni l’appui des fédérations.
Bien cordialement,
Tecnam P92 Sea-Sky, le nouvel amphibie made in Italie
« Il est beau » avant tout c’est ça qui compte comme disait Marcel Dassault.
Tecnam P92 Sea-Sky, le nouvel amphibie made in Italie
s’il est ULM en version standard, avec l’augmentation de poids accordée pour les flotteurs , ce qui correspond en principe à ceux-ci, il ne devrait pas y avoir de problème…mais dans ce cas, il faudra faire abstraction du parachute, ce qui est dommage,
il est difficile de comprendre que l’on accepte un surpoids pour des flotteurs ou une coque renforcée, mais que cela se fasse en partie au détriment d’un élément de sécurité ne parait pas raisonnable.
espérons que nos dirigeants pourront revoir leur copie, ce qui doit être relativement simple et facile puisqu’il s’agit d’une réglementation franco-française.
Il est curieux que la FFPLUM qui milite pour la sécurité, ce qui est tout à son honneur , ne fasse rien à ce sujet, il est vrai, que malheureusement, les hydros sont les parents pauvres de notre Fédé…c’est toujours la Loi du nombre !
Que fait France Hydravions à ce sujet ? n’est-ce pas son rôle d’enfoncer » le clou » ?