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Etouffée par le nuage de cendres, l’aéronautique se rebiffe

Le directeur général d’IATA a profité de la tribune que lui a offerte l’AJPAE, le 19 avril, pour dire tout le mal qu’il pensait des ministres européens des transports. Ce même jour, le SNPL est (enfin) sorti de sa réserve.

Quand l’Association des journalistes professionnels de l’aéronautique et de l’espace (AJPAE) a programmé une rencontre, le 19 avril 2010, avec Giovanni Bisignani, le directeur général de IATA (International air transport association), le volcan Eyjafjallajokull était encore endormi. L’AJPAE était alors loin d’imaginer qu’elle allait offrir au patron des compagnies aériennes sa première tribune publique. Celui qui parle au nom des 230 principaux transporteurs aériens (93% du trafic régulier mondial), n’a pas été tendre avec les ministres des...

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4 commentaires

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  • Etouffée par le nuage de cendres, l’aéronautique se rebiffe
    Je dirai que comme d’habitude c’est ceux qui en font le moins qui crie le plus fort. Cela fait depuis que la politique existe que nous savons qu’il ne faut pas lui faire confiance pour prendre les bonnes décisions. La IATA est une puissante organisation qui devrai normalement avoir pris les devants, en contactant les fabricants de moteur, les fabricants d’avions, les experts et faire un compte rendu scientifique risible plutôt qu’une simple critique « les autres n’ont rien fait ».

    Heureusement que de nos jours la sécurité des passagers passe avant tout, et que le principe de précautions prévaut. Vous n’imaginez pas le nombre d’experts qui aurait surgit de l’ombre si un seul des 150’000 avions qui vols en 7jours n’avait eu qu’une égratignure à cause du nuage.

    Oui, si il faut blâmer quelqu’un c’est aussi M. Bisigni, directeur général de IATA.

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  • Etouffée par le nuage de cendres, l’aéronautique se rebiffe
    Après l’ injestion de poulet pour la certification des moteurs , n’ est il pas temps d’ imaginer une certification du taux de silicate et autres matières volcaniques, admissible pour les moteurs ? Nous saurions à partir de quand nos gros nuages volcaniques deviennent dangereux et nous éviterait des prises de decisions empiriques au nom du principe.

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  • Etouffée par le nuage de cendres, l’aéronautique se rebiffe
    Il est largement souhaitable que la profession soit plus du coté de la sécurité dans de telles situations, que du coté de la productivité. C’est pourquoi des organismes indépendants sachant faire des mesures sérieuses et réelles seraient plus appropriés qu’une douzaine de ministre conseillés par la seule crainte de prendre une décision. 5 jours pour organiser une téléconférence des ministres européens est, au minimum, risible et au pire scandaleux. Nous attendons plus de nos gouvernants. Une fois de plus le principe de précaution est plus proche du principe d’inaction que du principe de sécurité.

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