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Germanwings : comment un pilote ne pourrait pas regagner son cockpit

Selon le New York Times, il n’y avait qu’un pilote à l’intérieur du cockpit de l’A320 de Germanwings qui s’est écrasé dans les Alpes, le 24 mars. L’autre aurait tenté en vain de regagner sa place. Le dispositif de verrouillage de la porte destiné à interdire l’accès au poste de pilotage à des personnes malintentionnées, a parfaitement fonctionné…

Depuis les attentats du 11 septembre 2001, l’accès aux postes de pilotage des avions de ligne a été renforcé pour en interdire l’accès à des terroristes. La porte blindée est électriquement verrouillée. Pour pénétrer dans le cockpit, il faut y être autorisé, même pour les membres de l’équipage qui connaissent tous le code.

En vol, quand une des ces personnes se présente à l’entrée de cockpit, elle peut taper un code court de demande de déverrouillage de la porte. Les pilotes...

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5 commentaires

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  • Germanwings : comment un pilote ne pourrait pas regagner son cockpit
    Bien triste cette histoire, je voyage souvent avec Germanwings depuis Bastia, vers Berlin et Londres et bien sur cette histoire m’a bouleversée, une photo d’un airbus A320 de Germanwings, le vol de Berlin du 5 avril 2015 prise par moi même à l’aéroport de Bastia.

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  • Germanwings : comment un pilote ne pourrait pas regagner son cockpit
    Je ne suis pas certain que la réforme prioritaire du BEA soit une diffusion plus rapide du contenu des deux boites noires même si cela devra l’être un jour.
    Pour ma part je suis convaincu que le BEA devrait être un organisme totalement indépendant des instances gouvernementales qu’elles soient législatives ou exécutives comme c’est la cas dans une majorité de pays.

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  • Germanwings : comment un pilote ne pourrait pas regagner son cockpit
    les déclarations du Procureur de Marseille ne sont pas contestables, et personne de sérieux ne les contestes
    la retenue, oui, mettre en doute les déclarations d’une personne ayant le pouvoir d ‘informer avec tout le sérieux lié à sa fonction, c’est aller un peu vite.

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  • Germanwings : comment un pilote ne pourrait pas regagner son cockpit
    Attention !
    La pression médiatique ne doit pas faire faire n’importe quoi. Les enquêtes son en cours et il ne faut pas livrer en pâture aux médias les échanges dans le cockpit dans le seul but de réagir ultra-vite aux écrits d’un journal, fut-il le NY Times.
    On vit dans un monde où il faut tout savoir tout de suite pour faire le buzz pour des raisons mercantiles. Ce n’est pas un temps compatible avec les enquêtes.
    Je pense qu’on attends un peu plus de retenue de la part d’un site spécialisé à peine plus de 24 heures après un crash.

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