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Le spectre d’un baril de pétrole à $150 hante le transport aérien

Face à l’augmentation du prix du pétrole, IATA revoit ses prévisions pour 2012. L’Association internationale du transport aérien va jusqu’à envisager le scénario catastrophe d’un baril à 150 dollars.

IATA avait construit ses prévisions économiques initiales en tablant sur un cours moyen annuel du baril à 99 dollars. Elle envisage désormais un baril à 115 dollars. Dans cette hypothèse, les compagnies dégageraient un profit global de 3 milliards de dollars, en baisse de 500 millions (par rapport aux prévisions de décembre 2011). L’Europe perdrait 600 millions de dollars, quand l’Amérique du nord gagnerait 900 millions de dollars (contre 1,7 milliard de dollars initialement prévus) et la région Asie-Pacifique 2,3...

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8 commentaires

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  • Le spectre d’un baril de pétrole à $150 hante le transport aérien
    @vladk…vous faites une joyeuse salade de tout pour essayer de vous justifier, c’est votre choix, mais de là à contredire mes propos, on peut aller plus loin.
    Le GPL , ce n’est pas 40 % de gaz de pétrole et 60 % de gaz naturel, mais un pourcentage variable suivant les saisons de butane et de propane.
    GPL…cela veut dire gae de pétrole liquéfié…pour liquéfié du gaz naturel, il faut descendre à – 180°environ ! suivez mon regard.
    le gaz naturel est utilisé sur certains véhicules à la place du GPL, tel que les bus de la RATP , mais il faut comprimer à 200 bars pour avoir une quantité correcte…cela coute combien ? Pour connaitre ces installations, les compresseurs à étages, ce sont des petites usines ! De toute façon, sur avion, seul le propane pur pourrait être rentenu, mais cemme je l’ ai précisé, le but n’est pas de faire voler un avion, mais de pouvoir utiliser COURAMMENTet sans contraintes, ce carburant…en avion, force est de constater que sauf les quelques cas que j’ai indiqué, c’est une utopie !
    Pour la pile à combustible, cela n’ a rien à voir avec l’ alimentation de réacteurs, ne melangez pas tout,…comme vous l’avez fait pour le reste, et cette mise au point permettra à chacun de juger de la so-disant pertinence de vos propos.
    je n’en dirai pas plus, car je risquerai d’avoir droit au coup de gomme !
    Pour la biomasse,je rappelle que ce sont les déchets,; soit ménagers, soit agricoles;, soit issu des forets, dont à ce jour, on n’ utilise que 1 % ..est-ce clair ? me suis-je bien fait comprendre ?..
    allez faire un tour à Ris-Orangis ou à Montereau, si vous m’ indiquez votre région, je vous indiquerai la plus proche, mais en France, on ne tranforme pas encore le gaz issu de ces usines de traitement…peut être n’ont-ils pa encore demandé  » la recette  » à Dresde.
    Pour mémoire,et confirmer mes dires sur un précédent post, pendant la guerre , les allemands faisent du carburant liquide ( essence synthétique ) de très haute qualité en partant du charbon…chez nous on a fermé les mines !
    les ME 109 s’en régalaient !

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  • Le spectre d’un baril de pétrole à $150 hante le transport aérien
    @Rouletabille:

    Le GPL, c’est 40% de pétrole, et 60% de gaz naturel… donc toujours moins de pétrole que dans le kéro, mais bon, admettons… un avion volant au GPL sera facilement adaptable pour fonctionner au Méthane… et le méthane, on en trouve sans problème.

    Votre commentaire sur l’hydrogène me surprend, sachant que par le passé vous défendiez les piles à combustible à hydrogène (face aux diesels notamment) avec pas mal de vigueur.

    Mais pour vous répondre, l’hydrogène est très explosif; ça tombe bien, c’est en général ce que l’on demande à des carburants.

    Ensuite, je peux ajouter que les vapeurs de kérosène sont tout aussi explosives (Cf. TWA800, ou bien allumez une cigarette à proximité d’un avion pendant le refuel si vous ne me croyez pas), mais cela semble moins vous déranger.

    La production de l’hydrogène n’est pas écologique ? C’est vrai, et celle des bio-carburants non plus d’ailleurs (machines agricoles, transformation, transport)…

    C’est le pendant de toutes les nouvelles technologies après tout, n’est ce pas ? Au début, le rendement est souvent pitoyable, mais ça s’améliore avec l’expérience.

    Alors oui, le TU-155 n’était qu’un essai, là encore rien de surprenant : avant de réussir puis de produire en série, il faut d’abord essayer.

    Après, on peut toujours remplacer les 747 et A380 par des dirigeables gonflés à l’hélium et propulsés par l’énergie solaire, mais ça prendra du temps avant d’y arriver.

    Les Ekranoplanes aussi étaient une technologie intéressante, mais bon, tout le monde n’est pas prêt pour un radada à 500km/h.

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  • Le spectre d’un baril de pétrole à $150 hante le transport aérien
    Pour répondre à VLADK, le GPL est issu du pétrole, et si pour les automobiles, le prix est inférieur à la pompe , c’est principalement une question de taxes !
    il ne faut pas confondre un éssai, et une utilisation en série, le GPL nécéssite des réservoirs résistants à une pression elevée, ce qui fait des contraintes incompatibles pour une utilisation aéro, sauf dans certains cas précis, tel que les avions écoles ou les remorqueurs de planeurs, mais cette dernièere activité étant maintenant possible avec des ULM,, cela ne présente plus beaucoup d’ intérêt.
    et ravitailler sur tous les aérodromes du monde releve de l’impossible.
    Pour l’ hydrogène, c’est un gaz TRES explosif…suivez mon regard !
    et sa production est loin d’ être écologique !
    pour le stockage, ce sont les problèmes du GPL que vous multipiez par 10 ! donc TRES gros problèmes., il existe une centaine de voitures qui circulent en éssais, mais ne sont pas homologuées, et sont aux mains de personnes ( usines ) spécialement formées.
    la fabrication de carburants liquides de substitution à partir de déchets ne pose pas de problème ( et nettoie la planète ) tant pour la fabrication que l’ utilisation, les dirigeants de l’ usine de Dresde l’ont bien compris , ils transforment une partie de la production en carburant LIQUIDE de très bonne qualité et utilisables sans la moindre modification quelque soit le mode de transport et de stockage, sans contraintes irréalistes.
    même remarque, pour le diester, l ‘E85, etc…il faut copier, regardez du coté du Bresil, et n’ayant pas de contrainte à ce niveau, ils ont un taux de croisance voisin de 10 % ;suivez mon regard…et ne pas rêver :!
    Lorsque nous aurons de dirigeants dignent de ce nom, on passera des bonnes paroles à la réalisation…c’est pour quand ? une fois de plus, tout porte à croire que les allemands vont nous indiquer le BON chemin, reste à le suivre !
    nota =
    des reservoirs spéciaux ( pour des très petites quantités de carburant, bicause pression ) ) sont à l’ étude, mais pas commerciialisables avant 5 oui 10 ans, …en attendant, on fait quoi ? la solution du carburant synthétique est simple, économique et écologique, et applicable IMMEDIATEMENT …sans frais annexes ! …rêver ou vire autrement, à chacun de choisir !

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  • Le spectre d’un baril de pétrole à $150 hante le transport aérien
    Les Soviétiques avaient déjà réfléchi à ce genre de problèmes…

    Si le Tu-95 à propulsion nucléaire (LAL) fut un échec, le TU-155 fonctionnant à l’hydrogène ou au GPL lui fut un succès. Il est bien dommage que personne n’ai pensé à s’en inspirer.

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  • Le spectre d’un baril de pétrole à $150 hante le transport aérien
    demandez aux allemands, ils ont les bonnes recettes pour faire du carburant synthétique, et de très bonne qualité !
    actuellement , il y a une usine de boimasse à Dresde qui en produit…en France, c’est pour quand ?
    il y a 10 que l’on nous parle du diester et E85, sauf à quelques bonnes paroles qui annonçaent 500 pompes, à ce jour, seulement une centaine ! ce qui n’ encourage pas les producteurs.
    des compagnies expérimentent ( sic ) du kérosene provenant de plantes…quand va t -on passer à la production en grande quantité ? ou est-ce seulement pour faire peut aux pétroliers, pour leur dire, attention, n’augmentez pas de trop ! ce que l’on appelle deux langages.

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  • Le spectre d’un baril de pétrole à $150 hante le transport aérien
    Pénurie de pétrole dans quelques décennies : certainement ! Aujourd’hui : non !
    Le niveau élevé des prix s’explique uniquement par la bonne discipline des producteurs respectant les consignes de l’OPEP qui régule l’ouverture des vannes. En l’absence de cette organisation, les intérêts égoïstes de chaque pays producteur s’imposeraient et les prix s’écrouleraient.
    Aujourd’hui les oligarchies pétrolières sont capables de s’organiser alors que les pays industriels se livrent une concurrence exacerbée.
    Une défense existe, certes difficile à mettre en œuvre : face à l’OPEP, créer l’OPIA, Organisation des Pays Industriels et Agricoles et indexer les prix des produits manufacturés et des denrées sur les prix du pétrole…

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  • Le spectre d’un baril de pétrole à $150 hante le transport aérien
    Si l’Iran décide de bloquer le détroit d’Ormuz alors les grandes puissances mondiales réagiront sévèrement avec entre autres les USA appuyées par les européens mais également seront vives les réactions des proches voisins ennemis de l’Iran .

    Un scénario catastrophe à l’échelle mondiale …

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  • Le spectre d’un baril de pétrole à $150 hante le transport aérien
    Le transport aérien et les avions aéroclub ; Monsieur TOTAL a dèjà augmenté ses prix : la 100 LL à 2.50 € le litre c’est quasi demain !!!

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