Accueil » Transport Aérien » Le transport aérien de 2050 selon Airbus

Le transport aérien de 2050 selon Airbus

Airbus cogite. A travers « The Future by Airbus », le constructeur européen s’intéresse non seulement à l'avion du futur, mais surtout à son exploitation.

Décollage court et montée sous forte pente pour réduire les nuisances…
« Nous encourageons constamment nos ingénieurs à avoir un esprit ouvert et à proposer des idées « déroutantes » qui permettront à notre industrie d’atteindre les...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

13 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Le transport aérien de 2050 selon Airbus
    la piste des corps portants / aile volante en lieu et place de la séparation claire fuselage / voilure n’est plus étudiée semble-til, peut être plus démonstrative que réellement rentable ?
    Si le carburant est plus important que le temps de vol, peut être des avions volant plus haut, plus lentement , plus voilés et équipés en propfan ou turboprop seront peute être le salut de l’aviation post peak-oil ?

    Répondre
  • Le transport aérien de 2050 selon Airbus
    Bonjour,

    […]quelque 9 millions de tonnes de carburant pourraient être économisés à l’année, ce qui reviendrait à émettre 28 millions de tonnes de CO2 en moins[…]

    Heuuu comment peut’on générer 28 M de tonnes de CO2 avec 9 millions de tonnes de carburant ? Ya un truc qui m’échappe là !

    Merci, et bonne année !

    Répondre
    • Le transport aérien de 2050 selon Airbus
      Bonjour Fred,

      1 T de kérozène se combine à de l’oxygène (de l’air) pour brûler, et produit 3,15 T de CO2 . Le calcul annoncé est correct !

      Répondre
  • Le transport aérien de 2050 selon Airbus
    que voulez-vous ? relacher le controle à l’ embarquement ? et que ferez-vous en l’ air des pirates qui auront pris place un peu trop facilement …vous leur donnerez un  » bouillon de 11 heures  » ..;de quel droit ?
    faut-il -il vous rappeler l ‘histoire d’un avion  » bloqué  » à Marseille et destiné à exploser en vol au dessus de Paris…notre capitale et les passagers méritent mieux !
    visiblement, il y en a qui ne se rendent pas compte du désastre que cela aurait.été ..Hitler avait imaginé détruire Paris s’il perdait la guerre….il n’ avait pas les moyens ( bien que tout avait été miné ) mais aucune comparaison avec, non pas la chutte, mais l’ explosion en vol d ‘ une quantité très importante de TNT…vous voyez 300 tonnes tomber en petits et gros morceaux avec du kéro en feu.
    si vous trouvez que l’ attente est trop longue, restez chez vous ! mais le transport aérien se developpe car la sécurité a été accrue au point d ‘atteindre 99;99 % n’en demandez pas plus….c’est le moins visible qui fonctionne le mieux …bons vols !

    Répondre
  • Le transport aérien de 2050 selon Airbus
    Tant qu’à la « jouer » porte-avions »imaginons aussi sur la piste des barrières qui se lèveraient derrière l’appareil au décollage aidant à la poussée…

    Répondre
    • par Christophe Bozec

      Le transport aérien de 2050 selon Airbus
      Contrairement à ce qu’on pourrait penser, les barrières ne sont pas là pour aider à la poussée mais pour éviter que le souffle du jet balaye le pont derrière l’avion.

      Pour aider le décollage, il faut augmenter la poussée et donc augmenter la vitesse de sortie du jet, en diminuant la pression derrière l’avion. La barrière, si elle était verticale (et non inclinée comme en réalité), aurait l’effet inverse.

      Répondre
      • Le transport aérien de 2050 selon Airbus
        En réponse à Christophe, les barrières verticales à l’arrière augmenteraient la poussée comme un effet de sol. Les fusée décollent à la verticale..Il vaut mieux un appui sur du dur que sur du « mou ».

        Répondre
  • Le transport aérien de 2050 selon Airbus
    Imaginons un système embarqué qui gérerait et régulerait les distances de séparation depuis le décollage jusqu’à l’atterrissage, ainsi qu’entre les autres appareils en vol .
    Au sol des tracteurs électriques « autonomes » tracteraient les appareils jusqu’à la piste…

    Répondre
    • Le transport aérien de 2050 selon Airbus
      ce systeme de gestion des appareilles à une distance donnée ( il faut plus voir ça en temps de séparation car parler en distance n’est vraie qu’en ligne droite ) existe déjà chez les constructeurs, enfin au moins pour un c’est une certitude…et depuis bien des années. Le système n’est juste pas encore sur le marché ( coût de l’équipement, infrastructure ATC etc etc…)

      Répondre
  • Le transport aérien de 2050 selon Airbus
    il est un fait certain que la technologie de nos jours, prend une grande place pour le
    futur!!!!! la conception de la pénétration dans l’air d’un aéronef et fondamentale,pour
    d’une part économie d’énergie et en plus un confort et une sécurité de vol pour le
    pilote. toute cette technologie pointue des aéronefs et reportée sur l’automobile, et bien d’autres applications concernant notre vie de tous les jours!!!!!!!
    *votre site me plait beaucoup!!!!! et en plus ayant un âge certains, je ne veut pas
    partir sans cette belle technologie de l’aviation du futur qui en réalité nous passionne
    tous!!!!!

    Répondre
  • Le transport aérien de 2050 selon Airbus
    Une perte de temps importante à l’embarquement et au débarquement pourait etre évité avec un system ou les passagers prendraient place au fur et à mesure de leur arrivée ,sur leur sièges dans l’aéroport, à l’heure du départ les sièges seraient translatés sur rail dans l’avion, un peu comme des palettes . un system de ce genre existe dans un autre domaine au pavillon de la GM à l’Epcot center d’Orlando en Floride ……sans parler des systèmes de contrôles de sécurité dans les aéroports qui font perdre un temps considérable , pour un résultat statistiquement très douteux

    Répondre
  • Le transport aérien de 2050 selon Airbus
    Le problème de la consommation et du bruit sont liés. Il faut d’abord miser sur la réduction de la consommation carburant, le pétrole devenant plus rare donc plus cher. En fait, améliorer les motorisations pour une réelle diminution de la consommation carburant avec
    la même puissance.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.