Accueil » Transport Aérien » Tarmac Aerosave déconstruit le premier Boeing 777

Tarmac Aerosave déconstruit le premier Boeing 777

La première déconstruction au monde, d’un Boeing 777, vient de débuter par Tarmac Aerosave, sur l’aéroport de Tarbes-Lourdes-Pyrénées.

Le premier Boeing 777 au monde à être recyclé est un appareil de la compagnie Indian Airlines âgé d’une quinzaine d’années. Il s’est posé récemment à Tarbes-Lourdes-Pyrénées, où Tarmac AerosaveDepuis son entrée en service il y a deux ans (décembre 2008), Tarmac Aerosave a déjà traité, sur sa plate-forme de déconstruction d’aéronefs en fin de vie, une dizaine d’avions de tous types (Airbus A340-600, A310, A320, A300-B4, DC9, Fokker 100, Boeing 737, Airbus...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

9 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Tarmac Aerosave déconstruit le premier Boeing 777
    un avion n’est pas vieux de part son age ,mais par son nombre de cycles,et puis un DC3 n’est pas pressurisé…

    Répondre
  • Tarmac Aerosave déconstruit le premier Boeing 777
    Un ami vient juste d’etre qualifié sur triple 7
    Pourvu qu’il ne soit pas aussi vite « déconstruit »
    H.Salomé

    Répondre
  • Tarmac Aerosave déconstruit le premier Boeing 777
    Comme je suis trés émotive, ce démontage ressemble à la mort.
    Porto Alegre Brésil

    Répondre
  • Peut être une explication…
    Peut etre que l’A340-600 déconstruit est celui qui a fini contre le parapet de l’usine airbus le 15 Novembre 2007.

    Quant au 777, le façon de l’utiliser peut aussi avoir un rapport dans sa fin prématurée: nombreux vols courts? (=nombreux cycles?) exposition de la cellule aux phénomènes météo (grêle)?

    Répondre
  • Tarmac Aerosave déconstruit le premier Boeing 777
    Fin de vie au bout de 15 ans pour un 777, les vieux A300 et A310 d’airbus doivent bien rire….

    Répondre
  • Tarmac Aerosave déconstruit le premier Boeing 777
    Un B777 (au plus tôt, il est entré en service en 1995) un A340-600 (au plus tôt, il est entré en service en 2002), ça fait très jeune pour une déconstruction. A-t-on une explication ?

    Répondre
    • Tarmac Aerosave déconstruit le premier Boeing 777
      Le seul A340-600 demantelé est en fait celui accidenté à Toulouse, les autres etaient simplement en stockage et sont repartis aujourd’hui…..par contre le démantèlement du 777 a lui, bien commencé. Il n’était plus utilisé par Air India depuis novembre 2009. Il sera interressant de voir si ceux toujours en service vieillissent aussi vite…….. dernierement, des 340-300 Gulf Air et A300-600 JAL ce sont posés également pour la derniere fois sur la piste pyrénéenne, mais c’est moins surprenant……..

      Répondre
  • 15 ans ?
    15 ans seulement et hop…. à la ferraille. Indian Airlines aurait mieux fait d’ acheter des DC3. Celui de France DC3 sorti de chaine en 1943 vole depuis 67 ans !!!!
    Trêve de plaisanterie, c’ est curieux d’ être obligé de déconstruire un avion aussi récent ?

    Répondre
    • 15 ans ?
      Non, l’équation est assez simple.

      15 ans, c’est la durée de vie pour une génération d’avions. Au bout de 15 ans, les passagers commencent à sentir la différence de confort (et de performance, en particulier la possibilité de vols sans escale).

      Mais – surtout – les retraits précèdent de peu une date fatidique, celle à laquelle tous LES AVIONS doivent selon les prescriptions de leur constructeurs et des autorités certificatrices, faire l’objet d’une « très grande visite », une révision dont le coût se chiffre en millions de dollars pour une opération de plusieurs semaines; l’avion est démonté, ausculté, de multiples équipements doivent être remplacés par des sous-ensembles neufs ou bien qui ont été eux-même démontés ,et re-certifiés!!

      Les Cies aériennes ont donc un choix à faire: ou bien dépenser beaucoup pour remettre en service; ou bien déconstruire l’avion en récupérant – et en revendant ou réutilisant sur d’autres appareils de leur flotte après contrôle le maximum de pièces détachées. Bien entendu, tout dépend de l’état de deux marchés, celui des appareils d’occasion; et celui des pièces de rechange.

      D’autant que les possibilités antérieures – de refiler des avions usagés à des compagnies de deuxième ou rang et/ou exotiques se sont considérablement réduites au fil du temps.

      Enfin, tous les avions sont certifiés pour une certain nombre de cycles (décollage, vol, atterrissage) ou d’heures de vol lors de leur conception et des essais (tortures) réalisés sur des cellules soumises à des essais de fatigue. C’est le nombre maximum de cycles qui va être atteint par les courts et moyens courriers (vols jusqu’à 4 heures) alors que les long courrier vont se heurter au maximum d’heures de vol. Sachez cependant qu’il n’est pas inhabituel pour les long-courrier de voler jusqu’à près de 20 heures par jour. Soit 7.000 heures par an. Et même en décomptant les arrêts techniques pour révisions plus ou approfondies, le cap des 100.000 heures de vol est facilement atteint en une quinzaine d’années….

      En espérant vous avoir été utile.

      Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.