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Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne

On peut effectivement s’interroger sur le fait qu’il aura fallu quatre tentatives pour retrouver l’épave de l’Airbus A330 d’Air France, au fond de l’Atlantique. Les enquêteurs sont tout simplement partis d'une nouvelle hypothèse.

Il aura fallu moins de deux semaines, cette fois-ci, pour localiser l’épave de l’A330 du vol AF447 Rio-Paris. La quatrième campagne de recherche a effectivement débuté le lundi 20 mars 2011 et le 2 avril 2011, le Bureau enquêtes analyses (BEA) annonçait le succès de la mission de localisation menée par WHOI (Woods Hole Oceanographic Institution). Même si la chance a accéléré les recherches qui étaient initialement prévues pour durer jusqu’en juillet et couvrir une superficie de 10.000 km2,...

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16 commentaires

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  • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    le BEA français ridiculisé par les ricains . franchement ……….

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  • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    a ce jour,il n’ y a pas de procés contre EADS et Air France, mais la mise  » en examen  » ( je crois qu’il y a un nouveau terme qui indique très clairement que la personne n’est considérée comme respnsable de quoi que ce soit en attente de la fin de l’ enquête ) qui a le gros avantage de leur permettre d’avoir accés au dossier et de pouvoir se défendre, je pense que c’est le plus important.
    c’est ce que l’on appelle,, la manifestation de la vérité.
    faut-il rappeler dans dans d’ autres procés où il y a eu des mises en examen, les intéréssés ont eu une relaxe, en France pouvoir se défendre n’est pas interdit.

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  • par Jean-Claude BRUN-COTTAN

    Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    D’après les premières photos de l’épave, il semble que l’avion soit arrivé entier à la surface de l’eau, peut être presque en ligne de vol ?
    La vitesse ne devait pas être énorme vu la faible dispersion des débris après 4000 m de chute dans la mer, je suppose même que cette vitesse pourra être assez bien déterminée après analyse de la déformation des éléments.
    Est-ce que tout cela est compatible avec l’hypothèse (forte) de départ, à savoir un décrochage dynamique (sur-vitesse) dû à la réaction de l’équipage à une alarme de sous-vitesse générée par des indications fausses des sondes pitot Thales ?
    Est-ce que des pré-analyses à partir des derniers éléments sont publiées ? Sinon ce serait bien qu’aerobuzz nous en informe.
    Enfin une pensée pour ce que les personnes prises au piège dans cet avion ont pu vivre ; heureusement sans doute que cela on ne le saura jamais.

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    • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
      Il est quasi certain que le BEA ressorte un rapport préliminaire mis à jour des éléments nouveau que nous avons d’ici quelques semaines. Surtout si les boites noires sont retrouvées et lisibles.

      Plusieurs choses m’étonnent. D’une part l’avion est très peu éparpilllé et de gros morceaux sont visibles, quasi intacts (moteurs, trains). Ce qui indiquerait que cet Airbus se serait posé sur l’eau avec une vitesse raisonnablement basse pour tout ne soit pas en miettes, et aurait coulé là. En tout cas il n’a pas éclaté en vol sur une sur-vitesse, peut-être même pas au contact de l’eau mais plus en coulant… D’autre part, le point de chute est extraordinairement proche du dernier point radar connu en altitude (moins de 10km), ce qui indique une descente très rapide, ce qui n’est pas très compatible avec une descente controlée et un attéro piloté, durant lequel les pilotes auraient lancés un SOS… Alors ???

      Je suis curieux de comprendre ce qu’il s’est passé.

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  • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    Bravo, c’est bien d’avoir enfin retrouvé cet avion, c’est surtout bien pour les familles …
    maintenant faisons vite afin de comprendre ce qu’il s’est passé réellement…
    Moi je me pose plusieurs questions;
    curieusement , on retrouve l’épave après les procès contre e.a.d.s et air France ?
    curieusement , on ne se pose pas la question d’un éventuel attentat ?
    que nous cache-t-on ?

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    • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
      Houla Pépé !
      On ressort les grandes théories du complot étatique ? Un peu de sérieux voyons… Il n’est pas utile et même dangereux de faire vite, il sera par contre très utile de faire bien, ca servira beaucoup plus (à d’autre) et on n’est plus à 6 mois d’études près dans cette malheureuse histoire.

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  • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    Tout le monde reprend l’idée que les boites noires et elles seules sont en mesure de dire ce qui s’est passé. Et les photos, et la disposition des fragments sur le fond, et leur état, et toutes ces très importantes informations visuelles qu’en fait-on? Tout ceci est de première importance et peut être fort utilement analysé pour en tirer des enseignements.
    Par exemple: le train était-il sorti au moment de l’impact? Les réacteurs fonctionnaient-ils? Plein d’autres questions peuvent maintenant avoir une réponse si des gens compétant se penchent sur ces morceaux de vérité.

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  • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    concernant les sous-marins militaires , si leur présence et leur capacité de recherche ne pouvaient pas être utilisées pour ce type de recherche,, pouquoi les avioir envoyés ? même si cela n’ a rien couté, en tenant compte que pour eux, c’était une mission comme une autre, il reste que cela a fait perdre beaucoup de temps, et d’ argent pour les bateaux de la première équipe que l’on a envoyé sur place.

    Dans ce genre de recherche, on aurait pu demander conseil à ceux qui ont retrouvé le titanic, avec de faibles moyens, ils ont pu localiser ce bateau dont on ignorait tout depuis qu’il avait rejoint le fond de la mer.

    Et, pourquoi pas utiliser leur compétence, car ils ont prouvé qu’ils en avait.

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  • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    Peut-être savaient-ils depuis quelque temps, ou plutôt avaient-ils des doutes sur la position de l’épave, mais on est dans l’Atlantique, loin des côtes, à 4000m de fond, pas dans le bassin de Center Parc.

    Ça demande beaucoup d’organisation, du matériel pas forcément disponible au moment voulu, des moyens financiers colossaux, et ça ne me choque pas que cela ait pris autant de temps, même si c’est vraiment malheureux.

    J’espère que l’on trouvera suffisamment d’éléments pour comprendre ce qui s’est passé.

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  • par alain morel bracq

    Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    bonjour, lorsqu’un pilote arrive à amerrir avec un Airbus aux USA, tous nous avons crié bravo aux pilotes et aux ingénieurs de l’avion.. Airbus ne doit pas être content pour ce cas, mais il a tout intérêt à savoir lui aussi. Des corrections viendront, plus ou moins avouées à cause des mises en jeu de paquets d’euros ou de dollars. Toutefois dans ce genre de travail, il faut avoir un peu de chances.. Si c’était si facile n’importe lequel d’entre nous aurait pris un bateau et aurait donné la position.
    Quant aux dires des spécialistes : un sous marin de ce type n’est pas fait pour ça.. Beh si les hommes y arrivent avec un engin non prévu pour ça… c’est déjà une prouesse.. Bravo à eux ! J’ai aussi entendu une rumeur datant d’un mois disant qu’il y a quelques temps qu’ils savaient.. Est-ce vrai ou non.. Le résultat est là.. forcément troublant.. et qui vous laisse, même à 4000m au fond, un peu sur le sable.. Bon courage à celles et ceux qui participent à ces opérations.. alain morel bracq

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  • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    Les résultats de l’enquête si les boîtes noires sont récupérées permettront de déterminer les causes exactes de ce crash pour le moins énigmatique.
    Le constructeur aura alors peut-être des soucis à se faire quant aux autres appareils conçus de la même façon.
    On peut donc imaginer l’enjeu et l’importance de cette enquête, eu égard au respect des familles des victimes de ce vol.

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    • par Toussaint de Limojon de Saint-Didier

      Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
      La seconde phrase est de trop :c’est déjà faire des conclusions bien hâtives sur les possibles résultats de l’enquête technique. Même avec les enregistreurs, elle sera longue et minutieuse, n’en doutons pas, et rien ne peut présumer au stade actuelle des conclusions de celle-ci… Surtout pas sur la base des allégations faites jusqu’alors à partir de quelques messages de maintenance émis plusieurs minutes avant le crash !

      Restons rigoureux et prudent: on est pas dans la téléréalité mais dans la vraie vie.

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  • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    en general un sous marin militaire n’est pas fait pour faire de la rescue, c’est plutot hermetique aux elements exterieurs…..

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  • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    1- Les SNA et SNLE ne sont pas conçus pour rechercher des épaves par près de 4000m de fond.

    2- Le sous-marin militaire sur place n’a sans doute pas pu être utilisé à plein potentiel du fait de la présence des américains sur zone.

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  • Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
    Saut erreur, des sous-marins atomiques français avaient ratissé la zone et n’ avaient rien trouvé, ou, du moins pas trouvé où se situait exactement l’ épave.

    Faut-il en conclure que leur équipement est obsolète.?…alors que l’on n’ arrêt pas de nous vanter leur capacité à nous défendre, or, la première des choses est de trouver l ‘ origine du problème pour pouvoir le  » neutraliser  » ou dans le cas présent, procéder à la récupération.

    De toute évidence, on a  » pateaugé  » et perdu beaucoup de temps.

    Il faudrait peut êtr en profiter pour remettre à niveau les moyens de détections dont nous disposons et alors que nous serions ( parait-il ) les meilleurs du monde. pour l’ auto-satisfaction, difficile de faire  » mieux  »

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    • par Toussaint de Limojon de Saint-Didier

      Vol Rio-Paris : Pourquoi la quatrième campagne a été la bonne
      Rectification: nous étions les meilleurs car le navire qui a découvert l’épave avait aussi découvert celle du Titanic et est effectivement d’origine française (i.e. IFREMER). Seulement depuis, il a été revendu à une société privée américaine et rebaptisé… à force de se reposer sur nos lauriers, ils finissent sur la tête d’un autre.

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