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La formation des télépilotes se spécialise

L'agriculture représente 15% des applications civiles du drone en France, autant que les mines et carrières, mais loin derrière les prises de vues (25%), le BTP (20%) et la surveillance (20%) © Reflet du monde

Le développement du drone passe par sa fiabilité. Elle dépend évidemment du matériel, mais aussi de sa mise en œuvre. D’où la nouvelle formation de télépilote entrée en vigueur le 1er juillet 2018, mais aussi les exigences accrues des donneurs d’ordres industriels. Bien que le pilote ne soit pas à bord, pour le drone aussi, la sécurité est étroitement liée au facteur humain. La formation en débat à UAV Show 2018.

Dans le contexte de la publication de la réglementation française dans le domaine et de l’arrivée prochaine de la réglementation européenne, faire le point sur les enjeux de la formation des télépilotes en matière de sécurité des opérations, des attentes et besoins des donneurs d’ordres industriels, des solutions proposées par les centres de formation et recevoir le témoignage et le retour d’expérience d’une fédération d’un pays voisin.

Pour devenir télépilote de drone il n’est plus nécessaire d’être un expert de l’ULM....

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3 commentaires

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  • Et il y a plus d’un modéliste qui ragent du fait, entres autres, des + de 800g , de l’identification via une étiquette « visible » (imaginez une maquette volante avec une belle « étiquette » …), le signalement électronique, l’enregistrement (tiens , une taxe à venir pour frais de fonctionnement de la DGAC ?). Allez sur les terrains et parlez leurs de drone …

    Répondre
  • Je ne savais pas que les drones faisaient parti de l’aviation generale!!
    Et pourquoi pas les modèles réduits d’avions radiocommandes, les cerfs volants,… ?

    Répondre
  • Heureux que nous nous soyons revus sur le salon de Mérignac.

    Répondre

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