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WAC 2019 : Les championnats du monde de voltige tiennent leurs promesses

Qui réussira à détrôner le tsar Mamistov ? © Elodie Claudin / WAC 2019

La deuxième manche (Inconnu-Libre N°1) du mondial de voltige a été remportée par le tenant du titre, le russe Mikhail Mamistov. Louis Vanel reste au contact, mais perd de précieux points. La russe Svetlana Kapanina a à nouveau chuté. Aude Lemordant en a profité, cette fois-ci, pour accroître l’écart.

La deuxième manche du championnat du monde qui s’est déroulée, sur deux jours, les 24 et 25 août 2019, a mis les nerfs des favoris et de leurs supporters à rude épreuve. Les deux duels qui opposaient, chez les femmes la russe Svetlana Kapanina à la française Aude Lemordant, et chez les hommes, le russe Mikhail Mamistov aux français sans distinction, ont été tendus d’un bout à l’autre des deux journées.

WAC 2019 : « Inconnu-Libre », un...

12 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • La Voltige aérienne est l’une des rares catégories ou, depuis longtemps, et très naturellement, les hommes et les femmes font partie du même classement, donc sans distinction.
    Programmes identiques, notations identiques. Le coté « physique » des efforts aux commandes et de la résistance/endurance aux G ne trouve aucune justification de différenciation H/F en aéronautique sur ce genre d’avions. La parité par les faits et par les actes, non par choix ou par démagogie ! Donc la parité dans le bon sens du terme. Génial !
    Il n’y a pour moi aucun débat. Tous ces gladiateurs du ciel sont équivalents devant les éléments et l’Aresti : que le meilleur pilote gagne !
    Tiens, d’ailleurs, pilote, ça s’écrit pareil au masculin et au féminin…

    Allez les Français ! Le Tsar va pas être facile à déboulonner…

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  • Fan (-e /// bouh que c’est lourd de coller des E 🙂 ) de Voltige depuis très longtemps, je ne ferai pas du rase-mottes ! Et moi, je dis YES ( c’est un « oui » en Anglais !) pour toutes ces femmes qui donnent beaucoup pour cette passion. Allez y les filles ! Ce n’est qu’un jeu, et c’est surtout une forme d’Art Sportive remarquable., on compte sur vous TOUTES pour toujours aller plus haut. Merci !

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  • Monsieur Bietry,
    En lançant cette polémique stupide, vous ne servez pas les intérêts de votre protégée.
    Vous portez une lourde responsabilité dans son échec d’aujourd’hui….

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  • « …celle des Red Bull air Races elle ne la doit qu’à son seul talent. Les décideurs de l’équipe de France ont réussi à l’évincer à force d’imposer des dates de stages auxquelles ils savaient qu’elle ne pourrait pas répondre… »

    Monsieur Biétry, comment expliquez-vous alors que Mikael Brageot, pilote Master Class Red Bull Air Race ait participé aux stages Équipe de France Élite, ainsi qu’au Championnat de France, et aujourd’hui aux WAC ???

    Tout le monde entend bien votre position par rapport à votre protégée. Arrêtez toutefois de vous considérer comme éternellement stigmatisé et mal-aimé.

    Les règles de sélection en Equipe de France Unlimited étaient annoncées par la Fédération et claires dès la fin 2018. Elles étaient les mêmes pour tous les pilotes en ballotage. Inutile d’incriminer les dirigeants de la FFA et le staff de l’Equipe De France, qui se sont tenus aux règles annoncées.

    « Le coup d’éclat de Bénédicte n’a pas fait long feu »

    Voilà pour conclure vos propos une réplique gratuite et abjecte, qui traduit bien votre mentalité. S’en prendre à une personne qui a, elle, a respecté les règles et mérite amplement l’honneur de représenter la France aujourd’hui, c’est moche…

    De plus, n’oubliez pas que dans ce sport c’est à la fin de la compétition que l’on compte les points.

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  • Igor, que vous cherchiez à la défendre est une chose. Mais s attaquer à Bénédicte comme vous le faites est scandaleux.

    Je salue la performance de cette pilote, qui arrive à gérer sa vie de mère, sa vie de pilote de ligne, et sa carrière en voltige contrairement à votre protegée miss Mel qui elle a réussi à se faire virer d AF de part son comportement, et de part de ses absences en stage EDF (Hors selection) s est mise hors jeu.

    Alors oui le mot Transfuge ne me choque pas.

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    • Cher Zoro, vengeur masqué…
      Sauf erreur de ma part, il vous manque un R comme Respectabilité sur votre alias… Votre remarque est pertinente sur l’attaque scandaleuse et inutile de M Biétry (vengeur démasqué) à l’égard de Benedicte Blanchard. Il est donc vraiment choquant de vous lire ensuite dans votre post avec autant de mépris, voire méchanceté, à l’égard de Mélanie « Miss » Astles. Vous manquez l’occasion de sortir par le haut!!!
      Parce que concernant votre remarque sur AF, en plus d’être odieux, vous êtes dans le faux et la bêtise. Quand on ne sait pas, on se tait… En langage voltigeur, on dirait que « vous êtes Low Low Low ».
      Merci donc à Gil Roy de communiquer au mieux sur notre petit monde de la voltige.
      Merci à Jean Max de rappeler quelques faits.
      Merci à tous ces pilotEs et pilotes de nous faire rêver et de faire des choix de vie personnels et complexes pour être à la hauteur sur tous les fronts…
      Merci au travail de la fédé, des entraîneurs, des clubs et des pilotes de permettre un tel développement de notre sport.
      Merci aux baveux, méchants et autres parasites de passer leur chemin: le milieu de la voltige est trop fragile et trop rempli de gens bien pour supporter vos maux et enfantillages de bas étages… Au plaisir de ne plus vous lire.

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  • par Hugues Chomeaux

    Tout est à jouer, rien n’est joué.

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  • Transfuge : Soldat qui déserte et passe à l’ennemi.
    Gil, comment se fait-il qu’un journaliste sérieux, un homme d’expérience comme toi se permette d’utiliser un terme aussi fort et aussi déplacé que « transfuge » et ça dans 2 papiers différents en parlant de Mélanie Astles ! As-tu passé un coup de fil pour connaître les motivations de cette femme qui fait briller les couleurs françaises comme personne avant elle à l’international. Oui, aucune femme n’a, avant Mélanie, obtenu une telle médiatisation dans ce sport au titre de pilote française. Or la Fédération Française a choisi de se passer de cette virtuose parce qu’elle ne rentrait pas dans des cadres obsolètes. Et ce depuis le début de sa carrière. Cette jeune femme s’est battue comme personne pour en être là où elle est aujourd’hui. Mais plutôt que de se servir de ce merveilleux exemple pour les générations futures on n’a cessé de lui mettre les bâtons dans les roues parce qu’elle ne « rentrait » pas dans les cases et qu’elle n’acceptait pas de dictat de messieurs un peu trop… disons un peu trop « peu visionnaires ». Elle s’est battue comme une dingue pour financer chaque heure de vol. Son ascension à la plus médiatique compétition d’aviation légère du monde, celle des Red Bull air Races elle ne la doit qu’à son seul talent. Les décideurs de l’équipe de France ont réussi à l’évincer à force d’imposer des dates de stages auxquelles ils savaient qu’elle ne pourrait pas répondre… Elle n’a pas eu le choix. Participer au Championnat du Monde en France ici, chez elle, c’était un rêve pour elle, ils le savaient… Devant ces années de brimades et de petites mesquineries la concernant, l’opportunité de faire appel à sa double nationalité, c’était la seule solution pour pouvoir participer à l‘épreuve de ses rêves. Ce soir dimanche 25 aout, elle est 2e féminine derrière Aude. Le coup d’éclat de Bénédicte n’a pas fait long feu et les russes sont à la rue. Le podium féminin aurait pu être doublement français… Et tout le monde dans le staff de l’Equipe de France le savait…

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    • Nous possédons le même dictionnaire. Certes, cette définition du mot « transfuge » est celle du « Petit Robert », ma référence. Un dictionnaire papier auquel je fais plus confiance qu’au correcteur orthographique de Word. Mais, même si j’ai la prétention d’avoir créé avec Aerobuzz.fr un média numérique de référence, du point de vue de l’état civil, j’appartiens à la génération papier, la génération de John le Carré. Et quand j’écris « Transfuge », c’est plus par l’auteur de « L’espion qui venait du froid » que je suis influencé, que par Alain Rey. Je me place dès lors dans le registre du « second degré » !

      Il ne s’agit donc pas, ni d’une accusation de trahison comme Igor, vous semblez le supposer, ni d’une « maladresse » comme l’affirme Victoria, la « responsable de la communication de Mélanie Astles » qui me demande expressément « de modifier la fin de mon article ». Elle estime que j’ai utilisé « un terme péjoratif manquant totalement d’objectivité et diffamatoire ». Encore une fois, il s’agit de « second degré » et donc, je ne vois pas pourquoi je devrais « présenter des excuses », comme me le demande Victoria.

      Igor, Victoria et tous les supporters inconditionnels de Mélanie Astles : avez-vous noté que j’ai pris le parti, à l’occasion de ces championnats du monde, de suivre non seulement les dix pilotes de l’équipe de France, mais également les trois autres français qui concourent sous les couleurs de la Hongrie, du Luxembourg et de la Grande-Bretagne ?

      Surement pas pour les diffamer ou les insulter. Mais plutôt parce qu’à mes yeux et sans doute pour tous les français qui s’intéressent à la voltige et qui lisent Aerobuzz.fr, ils font partie de la voltige française. Ils sont issus de la même filière de formation que les dix sélectionnés de l’équipe de France et si vous reprenez mes reportages sur les compétitions antérieures, ils sont naturellement cités.

      Tous ces pilotes, je les suis depuis des années. J’ai vu arriver Mélanie Astles sur le circuit. J’étais à Châteauroux en 2015, quand elle était en équipe de France. J’ai échangé avec elle au championnat de France 2019, à Ambérieu, en juillet dernier, sur ses motivations. J’ai compris son choix. En aucun cas je ne l’associe à une trahison. Et au passage, je fais remarquer qu’en sport, un compétiteur ou une compétitrice a des adversaires, pas des ennemis…

      Alors de grâce, ne prenez pas tout au premier degré. Prenez au contraire un peu de hauteur et n’oubliez pas que la voltige est d’abord un sport.

      Promis : je n’associerai plus le mot « transfuge » à Mélanie Astles. Vous avez gagné ! Je préfère commenter l’actualité que de me justifier comme je viens de le faire…

      Gil Roy
      Rédacteur en chef d’Aerobuzz.fr

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    • par Pilotaillon, adepte de philosophie aérienne

      A Gil,… shadokophiles et shadokophobes, c’était en 1968 !
      Soit on en parle pas, soit on parle trop, soit on en parle mal !
      C’est juste notre époque : ça ne va jamais. Et c’est pas près de changer…
      A moins que les ronchons arrêtent de pomper, les Jean Parfait, les Zexi Jean, les Zeprantout Opremiédegré et commencez à rire, ça ferait du bien à tous.
      Une méthode toujours – et comme jamais – d’actualité : https://www.youtube.com/watch?v=zv0ZzRMjbRk

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