Accueil » Aviation d'Affaires – brèves » 50.000 pilotes d’aviation d’affaires à former en 10 ans

50.000 pilotes d’aviation d’affaires à former en 10 ans

D'ici à 2028, CAE estime que l'aviation d'affaires aura besoin de 10.000 pilotes pour accompagner la croissance de la flotte mondiale et 40.000 pour faire face aux départs en retraite. Sur la décennie à venir c'est quasiment un renouvellement de 100% que CAE annonce....

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

6 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Pour PhilX
    Ton calcul n est pas très honnêtes, on croirait entendre du Trump qui assure qu il n ya pas de réchauffement climatique…
    Donc reprenons plus rigoureusement ton calcul…
    Le pequenaud de base comme tu l appelles avec tant de condescendance, ne va jamais faire des milliers de km lors d un trajet avec sa voiture, donc même si il consomme 2fois plus aux 1oo km, finalement comme il va faire 10 ou 20 fois moins de bornes, il consommera 5 ou 10 fois moins que tes mecs qui prennent l avion pour se la péter et appeler les autres des pequenauds

    Répondre
  • A croire que tous les pilotes vont prendre leur retraite au même moment!
    Notre société cherche désespérément des copis et c’est loin d’être évident, la formation coute très chère et le salaire initial ne fait pas rêver. C’est pas nouveau!

    Répondre
  • Je ne veux pas offusquer les passionnés et autres pilotes professionnels, mais à l’heure où on tire les sonnettes d’alarmes sur les taux de CO2 au-delà des limites dans l’atmosphère, et où l’on sait que les réserves de pétrole entrent dans leur deuxième moitié de production, il est toujours question d’un boom extraordinaire de l’aviation d’affaires et du transport de masse, du développement de machines supersoniques fulgurantes, et de l’extension sans fin des plates-formes aéroportuaires.
    Ne trouvez-vous pas cela antinomique ? Ne doit-on pas émettre des doutes, ou en tout cas être réservés sur l’avenir du transport aérien longue distance ?
    Certes, nous allons faire des progrès sur les rejets des réacteurs et leur consommation. Mais on peut (devrait) se dire que le pétrole deviendra une denrée de plus en plus rare, à conserver pour des utilisations nobles, plutôt que le gaspiller pour aller se dorer la pilule à St Barth…
    Il faudra bien se résoudre un jour ou l’autre à être raisonnables pour notre descendance… n’est-il pas ?
    Ou alors, j’ai loupé une marche, et les moteurs nous emmèneront un jour (bientôt) à 3000 km/h pour un équivalent de 1 ou 2l/100… ?

    Répondre
    • Génial, encore un pour casser du sucre sur le dos de l’aviation commerciale.
      Le transport de masse que tu décrie tant, c’est justement l’avenir.

      Un A320neo consomme 2.9l / 100km / passager (chiffres Airbus).
      Un A320 avec 150 passagers consomme moins que n’importe quelle voiture avec un seul péquenaud dedans, ce qui est la vaste majorité des cas.

      Et je passe tous les qualités inhérentes aux avions qui les rendent incontournables : vitesse, traversée des continents, développement humain vers de nouveaux horizons…

      Plutôt que de remettre en cause l’essor de l’aviation -déjà très relatif- au nom de l’Ecologie, il faudrait remettre en cause Gérard qui va chercher le pain en voiture, ou Monique qui change de smartphone tous les 6 mois.

      C’est à dire nous tous, hum?

      Répondre
  • 50.000 pilotes, c’est presque un « grand remplacement »…!?
    Ca ne choque personne tous ces effets d’annonces de la part des médias et de leurs annonceurs clients ATO ou constructeurs avions ??
    Alors que dans le même temps, des compagnies aériennes sont en difficultés ou liquident leurs actifs (Primera, Colbat, Etihad, Alitalia, SPA, ect, ect,…).
    Qu’il y est des besoins en ce moment certe, mais de la à diffuser des valeurs gigantesques, on nous prends vraiment pour des moutons pas finis hein ?

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.