Accueil » Aviation d'Affaires – brèves » Dassault met deux Falcon au service de l’opération Résilience

Dassault met deux Falcon au service de l’opération Résilience

La première mission des deux Falcon de Dassault a eu lieu le 5 avril 2020 pour ramener de Brest vers Paris 26 soignants. © Dassault Aviation - A. Daste

Pour faire face à la crise sanitaire liée au Covid 19, Dassault Aviation annonce qu'il met gracieusement à la disposition du ministère des Armées, les services de deux avions d’affaires Falcon, dans le cadre de l’opération Résilience.

Ces deux appareils, un Falcon 8X et un Falcon 900, sont aménagés pour 15 et 13 passagers. Ils sont opérés par Dassault Falcon Service (DFS), filiale de Dassault Aviation spécialisée dans la maintenance et les opérations aériennes, basée sur l’aéroport du Bourget. Les équipages sont ceux de DFS.

En fonction des besoins définis par les autorités gouvernementales, les deux Falcon peuvent être sollicités par la cellule Résilience du Commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA) de...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

4 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • A-t-on pensé qu’on ne devient pas un fabricant d’engins volants sur la scène internationnale en se levant le matin…
    Certes ce constructeur est dans une situation enviable en ce moment, il fallait néanmoins y croire pour construire un Rafale et le reste de la gamme. Et « un peu » de compétences également.
    Donc « ils » sont allé le chercher le succès, et je pense que tous les salariés des différents secteurs de cette entreprise aux technologies très avancées pensent de cette façon.
    C’est si facile d’avoir envie… un peu moins de s’y mettre.

    Répondre
  • Très généreux, Dassault ! Au regard gavages par l’État des bénéfs et marchés d’engins de mort et autres…

    Répondre
    • par Jean Luc Kaiser

      @Tonton Volant.
      Combien de devises, d’impôts sur les bénéfices, de millions d’heures de travail faites en France chez Dassault et ses sous-traitants (avec les taxes impôts et cotisations sociales que ça inclue) de brevets, de savoir faire en très haute technologie ont été importées/crées en France par les ventes des avions civils sortant des chaines de Dassault ? vous auriez préféré qu’elles n’existent pas ??

      Maintenant pour ce qui est des avions militaires , ils ont sur l’aspect économique rapporté au moins autant que le civil et on ne peut que s’en féliciter. Quand à leur coté « engins de mort » comme vous dites, je préfère et de très loin que ces « engins de morts » soient produits chez nous et que notre propre armée en ait suffisamment à sa disposition avec tous ce que ça suppose comme filières d’approvisionnement pour faire son travail de défense et de dissuasion, que d’avoir à choisir entre en acheter à l’Etranger ou être à la merci du premier cinglé venu comme l’histoire en a dèjà vu passer plus d’un.

      Répondre
      • « On croit mourir pour la patrie, on meurt pour les industriels.  » Anatole France
        Il y aura toujours des gens qui regrettent de n’avoir pas eu des soldats de plomb quand ils étaient petits.
        On connaît les arguties : « Si ce n’est pas nous, ce sera les autres », « on risque d’avoir des méchants qui nous attaquent » : qui ?
        En l’occurrence, les conflits, c’est plutôt nous qui les projetons à l’extérieur.
        Bon, terminé, je quitte cette fréquence

        Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.