Accueil » Aviation Générale – brèves » Elixir Aircraft démoule l’aile de son biplace

Elixir Aircraft démoule l’aile de son biplace

L'aile en carbone d'une seule pièce de 7,8m d'envergure du futur biplace léger Elixir. © Elixir Aircraft

Elixir Aircraft et C3Technologies revendiquent une première mondiale. L’aile de l’avion léger Elixir a été réalisée en une seule pièce.

En fabriquant une aile en une seule pièce et en une seule opération, sans colle, ni rivets, ni vis, Elixir Aircraft veut imposer un nouveau standard de sécurité, de fiabilité et de légèreté dans le monde de l’aviation.  « Fissures, fatigue, corrosion et autres moisissures appartiennent dorénavant au passé ! », déclare triomphalement Arthur Leopold-Leger du trio Elixir Aircraft. Cette pièce monolithique est en carbone pré-imprégné. Elle mesure 7,8 m. Elle a été cuite dans une autoclave chez C3Technologies. Les constructeurs se refusent à...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

7 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Champions du monde, ces gens qui obtiennent un certificat de type en si peu de temps !

    Répondre
  • Il semblerait que seuls les spécialistes du carbone appliqué à l’aviation générale peuvent répondre à ce sujet de façon complète. Monsieur Philippe Moniot constructeur du Lionceau APM20 du Simba APM30 et du Lion APM40 est l’un deux.

    Répondre
  • J’ai peur que le Lionceau (produit depuis 1999), le Lion, le Simba et le Nala soit tous avec des ailes carbone d’une seule pièce, la cellule étant par ailleurs d’une seule (autre) pièce.

    Répondre
  • Quel est le cahier des charges de cet avion exactement ?
    Les investisseurs qui financent ce projet savent réellement dans quoi ils s’aventurent ?
    Ca me rappelle vaguement un machin tordu du coté de Melun…
    Pierre

    Répondre
    • J’ai trouvé le « cahier des charges » sur le site ouaib :

      « Hugues Léopold Léger est un homme déterminé. Il a présenté au salon Aero son projet Elixir, un appareil qui sera un avion léger et qui devrait être certifié CS-LSA par l’EASA dans quelques mois. L’appareil reprend un peu le design des MCR mais en améliorant sensiblement les ailes et la cellule. Son idée est d’offrir aux clubs une véritable alternative en matière de choix d’appareils. L’Elixir sera équipé d’un Rotax 100 ch iS avec une hélice tripale à pas variable. Mais clairement, l’équipe attend le moteur 915 qui devrait afficher 135 ch. Dans ces conditions, les calculs devraient autoriser une vitesse de croisière de 170 nœuds. Le prix est estimé à 150 000 euros ht avec un équipement complet : G3X, hélice tripale, train oléopneumatique, un réservoir de 110 litres, une radio transpondeur… »
      Pierre

      Répondre
      • 150000 Euros pour un biplace c’est beaucoup trop cher même si la technologie employée es révolutionnaire; dans nos club les jeunes et aussi les moins jeunes veulent et ne peuvent voler qu’à moins de 80/90 de l’heure alors on n’a pas fini de remettre à neuf des Jodel, Piper cub, Emeraude voire même des Cessna 152 ou des ¨Piper Tomahwk. Les clubs français ne peuvent pas se permettre de telles dépenses hors taxes avec une TVA à 20% qui renchérit l’appareil de 30000 euros ce que coûte un HR200 d’occasion: même s’il faut réparer on est loin des 180000euros de cet appareil. C’est dommage car il est très séduisant mais tout comme peu de gens peuvent rouler en Porsche ou en Maserati, peu de pilotes peuvent s’offrir une machine aussi chère. Dommage.

        Répondre
  • Je suis curieux de connaître les épaisseurs de peau ! Pour tenir le flambage et une bonne rigidité de surface sous pression aéro, ça risque d’être beaucoup plus lourd qu’une construction sandwich.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.