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Robin Aircraft livre le premier CAP10C NG

Bartolini Air a réceptionné un CAP10C NG qui sera utilisé pour la formation à la récupération des positions inusuelles (UPRT). © Bartolini Air

Près de quinze ans après l'arrêt de la production du CAP10, la légende de l'aviation acrobatique renaît avec la livraison du premier CAP10C Nouvelle Génération. L'avion s'est posé en Pologne, chez son client de lancement, l'école de pilotage Bartolini Air.

Le tout premier CAP10C NG s’est posé à Łódź, en Pologne, chez Bartolini Air. La flotte de l’école de pilotage, composée de 13 avions Tecnam (P2002, P2006, P2008 et P2010), s’étoffe avec ce CAP10C NG qui sera utilisé pour la formation UPRT.

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14 commentaires

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  • Sortir une modernisation du CAP10 c’est bien pour l’avenir de l’aviation française 🐓.
    Il faut espérer que la fourniture des pièces détachées suivront la demande avec des délais qui attendent pas la retraite d’un jeune pilote.

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  • Superbe nouvelle, et longue vie au cap10 !

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  • En tout cas le décalage latéral des manches demeure (on le voit bien sur la photo), avec le risque de mettre un peu d’ailerons en tirant tout droit.
    Cette configuration qui diffère du B a surpris, ou pire (https://www.bea.aero/les-enquetes/evenements-notifies/detail/perte-de-controle-en-voltige-evacuation-sous-parachute-de-leleve-collision-avec-le-sol-en-instruction/, le F-GRRA) quelques pilotes en vrille…
    Ce qui ne remet pas en cause la capacité « aérodynamique » de l’avion à en sortir, c’est hélas, comme souvent, un problème d’interface siège-manche à balai, si qualifié soit-il…

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  • Qu’est ce qui différencie le C du NG ?

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  • Cela fait plus de 45 ans que les essais se réalisent au quotidien et sur des millions d’heures de vols !!

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  • Re bonjour,
    Entre le cap 10b et le c il y a une très grande différence…… le C a une voilure avec des semelles composites (rigidité accrue), et des palette aux ailerons (efficacité en roulis accru) , le C est sorti bien après le b…. (fin 1990-2000?) les essais de vrilles ont-ils été refait? En résumé le comportement des deux versions est bien différente…, et c’est parfois surprenant!!

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    • Ceci est une modification aérodynamique ayant un effet sur les qualités de vols et les commandes de vol : il est hors de question que la modification ait été certifiée sans des essais !
      En même temps, s’il y a bien un avion ou je n’ai aucune crainte à être en vrille, c’est bien le CAP-10 !
      Parole d’un pilote d’essais en vol (pas moi !) : « je préfère nettement faire les essais de vrilles sur un avion de voltige, ça se passe beaucoup mieux, parce que l’avion est étudié pour ça… » Mr Claude Lelaie nous le confirmera également, je suppose.

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    • Les essais de vrille sont obligatoires pour la certification. Si une impasse avait été faite, et que l’avion soit dangereux, cela se saurait avec un accident à la clé.

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  • Une belle renaissance française, cela manque des nouvelles comme cela, quel que soit le domaine d’activité !

    On notera à regret je trouve, que ce ne soit pas  » un français  » qui ait voulu être premier client !

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    • Il y a peut être des raisons dues au service après vente Robin(old ou new) qui obligent à attendre très longtemps les pièces de maintenance……
      Je pense que beaucoup de club se tourneront vers Aurora dans le futur qui est très proche d’ailleurs

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  • Très bien, en espérant qu’il soit mieux construit, surtout pour le profil des ailes…. Et que tous les types de vrilles soient testées, et que le manuel de vol soit mis à jour en fonction…

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    • Eh bien P. Legrand, vous n’êtes pas tendre pour son prédécesseur !

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      • Pour info, tous les types de vrilles ont été testées au CEV Istres vers 1975 avec un avion équipé d’un paquet de sondes d’incidence et de dérapage. Je ne connais aucun autre avion sur lequel il y a eu autant d’essais.

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    • Bonjour. Il ne parle pas du cap 10 B mais des premières versions de l’aile C commercialisées qui ont été réalisées avec un qualité de fabrication assez médiocre. Je crois à peine exagérer en disant avoir observé, sur le premier tiers de l’aile, le longeron ressortir de presque 1/2 cm à l’intrados du reste de la forme générale du profil. On sentait fortement ce passage sur le longeron en laissant glisser sa main sur le profil. Et ce n’était pas forcément symétrique. Conséquence, des décrochages dissymétriques en négatif et particulièrement en remontées dos avec une tendance à déclencher au sommet à faible vitesse. Sur les plus mauvaises ailes certains évitaient même les sorties poussées…Mais ce problème de fabrication n’a pas perduré heureusement, mais les premiers clubs acquéreurs en ont fait les frais et ont patienté longtemps avant un re-marouflage de l’aile, voir un changement pour les plus mauvaises.
      Concernant les essais en vrille, je ne suis pas certains qu’ils aient été refaits de manière aussi poussée qu’à l’origine car l’aile C est un rétrofit et non pas une nouvelle certification(on peut donc n’acquérir que l’aile C et la monter sur un ancien fuselage) . De ce fait, le cap 10 C est une dénomination commerciale, officiellement seul le cap 10 B est certifié(sur les plaques avions il est d’ailleurs inscrit cap 10 B il me semble). Malgré tout je n’ai jamais noté un comportement en vrille très différent du B, si ce n’est une abatée un poil plus « declenchée » en positif et un tendance à ralentir en passant 1 tour avant de réaccelerer un peu plus vite en lacet que sur le B. La sortie restant tout aussi efficace que son prédécesseur avec le bon positionnement de commande.
      Je trouve que le cap 10 reste un des plus beaux monomoteurs légers avec un ligne intemporelle. Ça reste une superbe machine pour former à la voltige, très démonstratif. Je lui reprocherait juste un confort spartiate avec un dossier court et droit qui finit par casser le dos de l’instructeur 🙂 , et un facteur de charge limite un poil juste, qui nécessite de bien faire attention, notamment en formation de début.
      Longue vie au cap 10. 😉

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