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Vinci Airports et la FFA normalisent leurs relations

Nicolas Notebaert, président de Vinci Airports (à gauche), et Jean-Luc Charron, Président de la Fédération Française Aéronautique. © Vinci Airports

Vinci Airports et la Fédération Française Aéronautique nouent un partenariat pour, officiellement, soutenir la filière de l’aviation générale et accélérer sa transition énergétique. Ce rapprochement tend surtout vers une harmonisation des relations entre les aéro-clubs et les aéroports du réseau Vinci sur lesquels ils sont implantés.

La convention de partenariat signée entre Vinci Airports et la FFA porte sur le soutien au développement de l’avion électrique, à la formation au pilotage et à la sécurité, ainsi qu’à l’organisation d’événements de promotion grand public. Concrètement, Vinci Airports apportera son soutien au Tour Aérien des Jeunes Pilotes (TAJP) qui aura lieu en 2021. Les jeunes participants seront accueillis sur deux aéroports du réseau Vinci : Chambéry Savoie Mont‐Blanc et Rennes Bretagne.

Pour la FFA, au-delà...

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4 commentaires

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  • @Aerobuzz: « Il s’agit d’éviter que se renouvelle….grille tarifaire ».
    En clair, eviter de vouloir faire payer a l aviation generale des taxes d atterrissages exorbitantes comme ce fut le cas a Nantes .

    Répondre
  • Cher Pilotaillon, pour paraphraser quelqu’un , un aéroport est « un lieu où l’on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien »…..

    Répondre
    • par Pilotaillon, peace'nd love warrior

      Mon sujet est davantage la finalité de l’infrastructure, pour qui et comment l’utiliser. Accessoirement l’ouverture et la redevance d’usage qui là sont manifestement mis en priorité.
      A l’évidence, le gestionnaire a fait le choix de ne pas s’encombrer avec davantage de trafic, préfèrent interdire l’accès aux « amateurs » (qui certains sont issus de classes ++, détenteur de CB Noires), mais qui pour l’occasion iront ailleurs, où les choix de clientèle sont plus ouverts.
      Je faisais également le lien avec la capacité de la plateforme à dèjà traiter le flux des snow charters, avec des méthodes ancestrales. On peut comprendre que lorsque le management pyramidal et à court terme (contrats précaires d’un WE renouvelé – ou pas), l’exécution du job, la motivation des équipes est réduite au minimum syndical.
      Il suffit d’interroger en off les « saisonniers », on constate que les méthodes sont assez peu conviviales… certainement parce qu’un état d’esprit est entretenu par des managers débordés, ou désabusés, pour comprendre que les avions de clubs sont de trop…
      Reste qu’après le Covid, on verra peut-être apparaitre d’autres stratégies, guidées par la seule rentabilité, et « faire de la redevance » par d’autres moyens…

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  • par Pilotaillon, peace'nd love warrior

    Avant cet accord, les relations n’étaient-elles pas « normales ? »
    Sans jouer sur les mots, et bien que les plateformes gérées par ce groupe ne soient pas très nombreuses, la circulation « de loisirs » ne semble pas être stratégique pour cette entreprise…
    Exemple, Chambéry avec ses 15 à 20 trafics/jours, devient en hiver une zone inaccessible aux SEP de <1000 kg…
    Certainement dans la tour on est trop concentré à attendre les slots, pas possible d'intercaler ce format de machines…
    Quand au gestionnaire, les permanents doivent également être un peu dépassés par le management "Militaire" de l'armée de saisonniers pour imaginer tolérer un PA28 / DR 400 manœuvrer sur l'aire de trafic.
    Aucune rayure serait admise sur un des Biz Jets, qui paient leur handling avec une CB de couleur noire.
    En France on existe par – on mesure son – pouvoir à ce qu'on est en mesure d'imposer aux gênants, ou plutôt sur ceux qui rapportent le moins.
    'Enfin, je dis cela, je ne dis rien…

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