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Ingénieur et fier de l’être

Jean-François Georges, alors jeune ingénieur chez Dassault, a rejoint l'équipe Mercure pour assurer le suivi du prototype 02. © Dassault Aviation

Ingénieur aéronautique de formation (Supaero), Jean-François Georges a effectué toute sa carrière professionnelle au sein de Dassault. En une centaine de pages, il revient sur quelques épisodes de ses quarante années riches en programmes les plus variés.

Pour certains, Jean-François Georges est d’abord un ancien président de l’Aéro-club de France. Celui qui a succédé à l’ébouriffant Gérard Feldzer. Opposition de styles. Il garde de ces huit années, le regret de ne pas avoir réussi à faire aboutir son projet d’un institut consacré à la sécurité de l’aviation générale. Les fédérations sportives ne l’ont pas suivi…

Avant d’enchainer ces deux mandats, Jean-François Georges a consacré l’intégralité de sa vie professionnelle à Dassault. Recruté aux essais en vol, en 1963,...

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10 commentaires

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  • Dassault Mercure
    https://www.museeairespace.fr/aller-plus-haut/collections/dassault-mercure-100-n4-f-bttd-air-inter/
    Un echec complet
    Le dixième et dernier exemplaire de série entra en service le 19 décembre 1975. La trop faible production augmenta substantiellement le coût des pièces détachées. Air Inter demanda à l’état de payer les dépassements. Cette fois encore le contribuable dût s’exécuter, mais l’Etat avait auparavant décidé de ne plus aider Dassault qui souhaitait lancer une nouvelle version mieux adaptée au marché. Le refus d’autant plus facilité qu’Airbus qui avait alors bien des difficultés à prendre son envol, semblait autrement prometteur.

    Finalement le Mercure accomplit une carrière obscure au sein d’Air Inter jusqu’en 1995.

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  • Si cela vous intéresse, j’ai rédigé un article sur le court moyen-courrier Mercure dans le cadre de l’histoire du CMM (Centre Montage Mercure) d’Istres.

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  • Michael
    Vous vous trompez sur le Loockedd 1011 !!
    Que malheureusement, sa volonté d’innovation a indirectement Tué en entraînant un retard considérable vis a vis du DC 10 !!!
    Il a été tuer par Rolls Royce qui fournissait les moteurs et avait imaginé et conçu des pales de Soufflantes en Composites sans les avoir tester au préalable et lors de la Qualification du Moteur, celles ci n’ont pas tenues à l’envoi des Poulets . Donc nouvelles études et définition des Pales de Soufflantes et Retards !!!!!!

    Puis par le Kevlar ( fibre Aramide ) et indirectement par Airbus !!
    Loocked avait conçu l’Habillage Intérieur avec un Composites à base de Kevlar au lieu du Verre afin de gagner du poids.
    Mais à la différence des test de feu ASTM ( Américain,) Airbus a introduit dans sa norme de feu, une analyse des Gaz de combustion et l’on a découvert de l’Acide Cyanhydrique d’ou l’abandon et redéfinition de l’Aménagement Intérieur !!
    Heureusement l’étude et la réalisation d’un tissu hybride Verre – Carbone équivalent en matière de comportement mécanique au tissus de Kevlar , a permis, tout du moins en France, de rapidement refaire la définition des Aménagement Intérieurs.
    Mais entre temps le DC 10 s’était imposé !!!!!

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  • Oui mais ingénieur ça compense…

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  • Le Mercure qui illustre l’article ne fut pas le meilleur cru de Dassault, un peu comme ee L1011 de chez Loockeed. Les 2 constructeurs ont vite compris que le fait d’etre un tenor en avions de combat, n’assure pas un succes dans le domaine civil.

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    • Le mercure n’a peut être pas été un succès commercial, mais il a un Safety record sans la moindre tâche. Aucun accident avec les 11 exemplaires pendant toute leur carrière commerciale. C’est pas si mal tout de même. On a vu pire comme conception

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    • Le Mercure était très apprécié des pilotes .C’était un excellent avion.
      Il y avait un projet de Mercure 200 qui n’a pas été poursuivit car il fallait laisser la place au futur Airbus. Pourtant, il y avait des compagnies US intéressées.

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    • Mais il n’y a pas eu que ce fait qui a empêché que le Mercure se vende. Le directeur de l’époque d’AIR FRANCE n’a pas arrangé les choses avec sa lettre ouverte sur le cout engendré par l’exploitation d’un nouvel avion autre que ceux de BOEING. De plus Mercure arrive avec le choc pétrolier et ses réacteurs sont gourmands. Et le troisième facteur c’est l’arrivé d’un certain AIRBUS dans le transport. Par contre le mercure 200 ressemblait étrangement au premier airbus de l’époque.

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