Accueil » Culture Aéro – brèves » Le Musée de l’Air et de l’Espace renforce son équipe

Le Musée de l’Air et de l’Espace renforce son équipe

Alors que le Musée de l'Air et de l'Espace entre dans l'année de son centenaire, de nouvelles nominations viennent enrichir ses effectifs © Musée de l'Air et de l'Espace

Alors que la préparation du Centenaire de sa création bat son plein , de nouvelles nominations aux postes clefs voient le jour au Musée de l'Air et de l'Espace. Ainsi, le musée après le recrutement d'un nouveau Directeur Adjoint, se dote d'une nouvelle Directrice du département scientifique et des collections, d'une directrice du développement des publics et du marketing et d'une directrice de la communication .

La retraite de Christian Tilatti, conservateur en chef du Musée et quelques mouvements internes aux postes les plus importants de la maîtrise du Musée, ont poussé Anne Catherine Robert-Hauglustaine, sa directrice, à envisager et repenser une réorganisation en profondeur de l’organigramme de l’institution et une nouvelle stratégie de gestion. Ainsi, après la nomination début janvier de Nina Pollard à la tête du service événementiel et celle du Général Alain Rouceau au poste de Directeur Adjoint début février, trois nouveaux postes...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

7 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • par Jean-Jacques LEGRAND

    En mai dernier, il y a donc un peu plus de 6 mois, Alain MIGNET, petit-fils d’Henri MIGNET créateur du « POU DU CIEL » a demandé que le panneau apposé à côté du HM-14 exposé au M.A.E. soit modifié ! Quelle affaire !
    Plus de 6 mois après, rien n’a été fait ! Le problème n’est toujours pas réglé !
    Le nouveau texte, proposé par Alain, texte clair, net, précis, simple et sans ambiguïté, ne convient toujours pas à Mme « la Directrice des Collections et du Département Scientifique du Musée de l’Air et de l’Espace du BOURGET » (il ne doit plus rester grand place sur sa carte de visite à la dite dame) qui, à mon humble avis, ne connait rien au « Pou-du-Ciel », et surtout veut avoir le dernier mot en proposant un nouveau texte aussi mal ficelé que celui contesté, contestable !
    Je doute qu’elle ai lu, ne serait qu’entre aperçu un exemplaire du Sport de l’Air ni même qu’elle soit venue s’instructionner sur le site http://www.POUGUIDE.org !
    Quelqu’un aurait-il son adresse courriel !
    JJ@CQUES

    Répondre
  • Sandwich dit Seb, je dirais volontiers  »mille » feuilles!
    J’espère que le coût de la  »feuille » ne sera pas au détriment de la Préservation? A voir!
    Etre technicien ou spécialiste de la muséologie n’est pas un certificat de bons résultats.
    Comparer des toiles de Maîtres à des merveilles d’ingéniosités de mécanique et des risque pris pour les faire vivre est un peu hardi.
    Je souhaite du fond du cœur la meilleure des évolutions pour cette Institution et surtout qu’elle stoppe les lamentables et scandaleuses dégradations des matériels en réserve.
    J’exprime toutefois une certaine inquiétude en constatant l’absence depuis bien longtemps de techniciens de l’Aéronautique (au sens large, pratique, étude, maintenance) dans l’équipe de gestion.
    Je serai ravi de m’être trompé et ferai de bien bon cœur amande honorable publiquement si tel est le cas.
    Voyons venir

    Répondre
  • Didier Daurat, montre leur le chemin…

    Répondre
  • Quel sandwich administratif, tout de même!? De plus, il y en a pas beaucoup qui sortent de l’aéronautique et qui, même avec des diplômes très élevés, ne connaissent pas forcément grand chose à son histoire et son public. Le but premier, serait déjà d’avoir plus d’avions exposés qu’il y en aura après toutes ces tranches de travaux qui se terminent fin 2019.
    Espérons un bel avenir au musée de l’air et surtout sa riche collection qui fait grise mine.

    Répondre
    • C’est justement parce que jusqu’ici les personnes en charges du musée d el’air étaient tout sauf des conservateurs que les collections sont aussi mal mise en valeur et aussi mal conservées et gérées.
      Le MAE est une institution militaire (d’origine et toujours actuellement). Les militaires ne font pas du spectacles, ils « conservent » au sens « gardent » leur histoire. C’est à dire on accumule dans un hangar (au mieux), on stoppe en l’état un artefact. Cette façon de faire a permis de sauver des centaines de machines et d’artefact de la ferraille. Merci aux militaires. Mais le MAE était aussi la promotion de fin de carrière.
      Depuis quelques temps, on voit apparaitre à la tête du MAE des civils (révolution !) qui ont réveillé la vieille dame.
      Aujourd’hui, on passe à l’étape suivante, en mettant au MAE des gens dont la conservation d’un patrimoine est le métier pur et dur. Des gens qui savent la valeur d’un artefact, qui savent sa fragilité, qui savent comment et quoi conserver. qui savent aussi le mettre en valeur et le montrer au public comme on montre un tableau au Louvres ou une vieille Bugatti chez Schlumpf.
      Des pro de la conservation et de la mise en valeur du patrimoine.
      Deuxième révolution.
      Ces professionnel du milieux, qui savent la valeur historique et culturelle d’un Rembrandt, savent la même chose pour le dernier avion Bernard existant au monde (oiseau canari), savent la valeur d’un Breguet Point D’interrogation premier sur Paris => New-York, savent la valeur du Spad 7 « Vieux Charles » de Guynemer.

      Répondre
      • Excessif et trop facile ! Il n’y aurait eu, de 1919 à Feldzer que des incapables ? C’est le général Pierre Lissarrague qui a sauvé les collections entassées à Meudon pour les exposer au Bourget. C’est lui aussi qui a dirigé (en y mettant les mains) la restauration de l’Avion-3 d’Ader, selon les plans et notes de Clément Ader, avant de le rendre au Musée des Arts et Métiers où l’inventuteur l’avait placé et où on peut le voir aujourd’hui.
        Oserai-je rappeler que le directeur le plus durable du Musée de l’air fut un civil passionné et compétent, nommé Charles Dollfus, qui occupa le poste pendant 28 ans.
        Sans rancune, mais avec étonnement.

        Répondre
      • Le général Lissarrague a fait du bon travail, fabuleux même sur l’avion 3, Charles Dolfus également, je ne le nie pas, avec leurs moyens et leurs passions. Mais ils ne sont pas tout le musée.
        On parle de la Caravelle présidentielle qui pourrie sur le parking de Dugny depuis plusieurs dizaines d’années ? Du DC8 ? Du Mirage 4000 qui était plein d’eau et qui a été restauré en urgence parce que l’eau débordait presque par la verrière ? On parle de l’état des réserves de Dugny ou sont empilés les avions démontés et sur lesquels il faut parfois marcher pour passer à l’avion suivant ? On parle des fuites dans le toit des réserves ou il m’a fallu prévenir le conservateur qu’il pleuvait sur un avion démonté en bois ? Un avion unique bien sur, et historique… Ils ont mis une bâche… On parle des avions importants refusés par le musée par manque de place ou d’intérêt ?
        A coté de cela, quelques kilomètres, les réserves du conservatoire des arts et métiers, comprenant des avions, des moteurs, sont de véritables réserves de musées à hygrométrie et température contrôlées, avec des artefacts rangés, emballés, protégés, accessibles…
        Entre Lissarague et Feldzer, il y a eu du moins bon, du musée de gens moins passionnés, voire pas, qui vivait sur sa lancée. Je le dis, à ma manière brute de décoffrage et excessive, et oui, c’est facile, mais je l’ai vu sur place et sur pièce et via différents sons de cloches de plusieurs collectionneurs et musées. J’ai vu des machines restaurées avec amour par des extérieurs entassés en quasi vrac dans des camions pour transport retour aux réserves…
        Maintenant le musée revient en force et dans sa fonction. Les récentes restauration des Moranes AI et du Dewoitine de Doret en sont l’exemple, dans le respect profond de l’intégrité de l’objet historique et dans une restauration durable et juste. J’aime bien le nouveau musée, et ces nouvelles nominations vont dans ce bon sens. Bravo !

        Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.