L’histoire est un éternel recommencement et ce début de 21ème siècle est l’occasion de redécouvrir la valeur des avions à hélice dans les opérations militaires. © USAF
Les militaires américains s’engagent officiellement dans l’achat d’appareils d’appui feu à hélice, mais à dose homéopathique.
Le serpent de mer de l’avion d’attaque léger tourne depuis bientôt vingt ans dans le marigot du Pentagone. De programmes en sous-programmes, de tergiversations en revirements et en actions légales, plus de dix ans sont passés depuis les premières études sans que rien de concret ne soit acté. Jusqu’à la semaine dernière du moins, et l’annonce officielle de l’achat d’une poignée d’Embraer A-29 Super Tucano et de Textron AT-6.
On parle de deux ou trois appareils de chaque type qui vont être utilisés pour défricher l’emploi de ces appareils dans le cadre des conflits de « basse intensité », en soutien des alliés locaux des Etats-Unis. Les AT-6 seront basés à Nellis et mis en œuvre par l’Air Combat Command, les A-29seront quant à eux confiés à l’Air Force Special Operations Command à Hurlburt Field, en Floride. F.L.
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Dassault ne fabrique pas d'Avions à hélices alors l'Armée de l'air française devra se passer d'avions d'appui-sol efficaces. Les américains sont eux plus pragmatiques, bien qu'ils disposent de drones armés qui auraient pu "faire le job", ils font confiance à l'hélice et nous envoyons les nôtres a la réforme .... cherchez l'erreur !
Et enplus faudrait il avoir les munitions appropriées pour faire de l'appui au sol en adéquation avec les conflits actuels type Afganistan-Syrie . . .
C'est pas avec les Epsilon qu'on aurait pu faire ça !
Par contre le PC-21, jeune actif dans l'armée de l'air, et pas fabriqué par Dassault pour autant, ferait très bien l'affaire, lui...
Sauf que le problème se posera au niveau de PILATUS quant à l'éventuel armement des PC 21. Leur utilisation en mission de combat risquant de ternir l'image pacifique que veulent se donner la firme suisse