L'arrivée de Solar Impulse 2 à Hawaï, le 3 juillet 2015. © Solar Impulse
Décidément, l’aviation électrique occupe le devant de l’actualité aéronautique, cette semaine. Après la très médiatique traversée de la Manche réalisée par l’E-Fan précédée par le renoncement de Pipistrel et le pied de nez de Hugues Duval, c’est au tour de Solar Impulse de faire parler de lui. Non pas que l’avion solaire suisse a repris son tour du monde, mais au contraire parce qu’il va devoir prolonger son séjour à Hawaï.
Les techniciens de l’équipe doivent remplacer les batteries qui ont surchauffé pendant l’étape Nagoya-Hawaï. Le problème a eu lieu lors de la première journée, au cours de la montée à 28.000 ft. Le voyage s’est néanmoins poursuivi, mais sous très haute surveillance, tout en sachant que les batteries seraient endommagées. Outre leur changement , il faut revoir l’isolation.
Ces travaux devaient nécessiter deux à trois semaines. Autrement dit, Bertrand Piccard ne pourra reprendre le tour du monde de Solar Impulse avant début août. Il devra attendre alors que la fenêtre météo s’ouvre.
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Solar Impulse cloué au sol par un problème de batteries
je crois que certains ont oublié le début de l' aviation, ce n'est pourtant pas si loin.
le progrès passe par des étapes par celles-ci, ce que d' autre appelleraient " la mise au point " existe ( encore plus ) sur un prototype de ce genre
2 - en ce qui concerne les beaux jours du JET A1, pourquoi pas ? mais il faut venir très rapidement à un carburant propre, provenant de déchets végétaux ou autre , tels que les ordures : tout est utilisable, en premier et nettoyant nos forets qui brulent un peu trop facilement , principalement par manque d' entretien.
3 - le bruit des avions écoles = c'est une question de volonté, on peut avoir le même silence qu'une voiture, les utilisateurs de Lasbordes feraient bien de " prendre le taureau par les cornes " et de faire ce qu'il faut, c'est une question de correction vis à vis des autres, qui ont le droit de vivre sans avoir le bruit des avions ecole ( ou autre ) dans les oreilles, même s'il sont arrivés après la création de l'aérodrome
les solutions existent, elles ont un prix qui n'est pas important par rapport au prix de l' aeronef...alors un effort, pensez que personne n' a rien à imposer aux autres...cela fait partie du savoir vivre en communauté.
pensez aussi que l' électrique ne sera pas gratuit, achat, entretien et autre, il faudra bien compenser les taxes que vous ( et moi ) payez sur le carburant...rien n'est gratuit et surtout pas les impôts dans le pays champion du monde des charges diverses et variées. ( 57 % contre 45 % pour le deuxième ) dans ce domaine, nous serions très heureux d' être le dernier !
Solar Impulse cloué au sol par un problème de batteries
Tout cela est à regarder sous l'angle des développements technologiques en cours et des futures retombées technologiques dans divers domaines ( comme le furent la conquête de l'espace et de la Lune ).
Un ULM ou un avion école électrique ferait le bonheur des riverains de nombreux aéroports situés en bordure de villes comme Toulouse Lasbordes ou autres.
L'avion solaire peut sûrement être une alternative low-cost pour remplacer le satellite dans des domaines tels que l'observation météorologique, ou pour répondre à des besoins ciblés.
Solar Impulse cloué au sol par un problème de batteries
Ce Solar Impulse confine au ridicule.
La technologie du moteur avalant du bon vieux Jet A1 a encore de beaux jours devant elle.
L'électricité comme mode de propulsion est juste totalement inadaptée à l'aviation telle qu'on l'entend au 21ème siècle, malgré ce que tous les communicants et autres chasseurs professionnels de subventions veulent faire croire à la Terre entière.
Solar Impulse cloué au sol par un problème de batteries
Quelle farce cet avion ! Un tour du monde en une vingtaine d'étapes et plus de 6 mois, en changeant ses composants majeurs ! La mission a échouée, point.
Solar Impulse cloué au sol par un problème de batteries
bon, il y a pire, Hawaï, pour attendre.....
Bonne vacances!