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Finistair présente son nouveau Cessna Grand Caravan aux ouessantins

Le Cessna Grand Caravan qui a été mis en service par Finistair à la rentrée 2020, effectue depuis 2 allers-retours par jour entre Ouessant et Brest. © Finistair

Finistair qui a changé de propriétaire en 2020, a fait entrer dans sa flotte un deuxième Cessna Grand Caravan dédié à la desserte de l’île d’Ouessant depuis Brest.

Le nouveau Grand Caravan a été réceptionné en mai 2020 et a été mis en service à la rentrée. Le samedi 31 octobre 2020, la compagnie aérienne bretonne propose aux habitants de l’île d’Ouessant de découvrir ce nouvel avion. Juste après l’atterrissage de l’appareil et le débarquement des passagers venus visiter Ouessant pour la journée, FinistairLa compagnie Finistair a été créée en 1981 à l’initiative du Conseil Général du Finistère, pour assurer une liaison...

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11 commentaires

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  • Pourquoi une immatriculation allemande?

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  • Dans quelques années,un eCaravan est prévu entre Brest et Ouessant (18 minutes)

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  • Très bien accueilli cet été à Ouessant. L’arrivée est magnifique et les côtes bretonnes sont un régal. Faut juste faire gaffe au zone R et la P du coin. J’espère y retourner un jour.

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    • Joli, si c’est un vfr contrôle’ ou Y ou Z, son plan de vol est négociable par la perméabilité des zones, aussi imperméable conseillé dans le coin !

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  • En temps que pilote de loisir j envie le pilote qui pilote cette machine

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  • Par mauvaise mer la région est dangereuse pour la navigation maritime. L’ avion reste alors le seul lien avec le continent. Longue vie à Finistair.

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  • Pas d’écolos anti-aéro chez les Ouessantins?

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    • par Pilotaillon écolo

      Pensez-donc mon brave Môsieur, les écolos font de l’écologie depuis leurs bibliothèques, leurs rêves au lit, ne sortent pas (jamais) sauf via les réseaux sociaux, c’est dommage !
      En fait ils ont certainement peur de cette réalité, je pense.
      La vraie écologie devrait se muer en partis Apolitique et pénétrer tous les métiers, mais pour cela il faut sortir de l’académique et des sphères d’une pseudo recherche coupée du terrain.
      Dommage que ce soit aujourd’hui perçu par des opportunistes comme une tribune à 4 sous, ou pire comme un lancement vers des responsabilités.
      Ce sujet est pourtant si important et devrait être abordé sans préjugé et avec beaucoup de compétences.
      Ainsi va le monde « moderne ».

      Idée d’1h30 à occuper durant le confinement : Les Glaces et le ciel, Luc Jacquet
      https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Glace_et_le_Ciel, Il y a des séquences haletantes avec des C160, fusées (le feu ?) aux fesses. Grandiose en terme de morale.

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      • @Pilotaillon ecolo : merci mille fois pour ce lien. Pour info, j’ai pu voir le film sur
        https://www.youtube.com/watch?v=AT7V0tZPXEY
        mais avec un serveur VPN hors de France qui bloque la lecture pour des raisons de droits de diffusion Pathe. Je trouve ce blocage particulièrement déplacé, car ce film est un bien fondamental de l’humanité, et je n’ai donc pas scrupule à vous donner la méthode pour le visionner.
        Je ne l’avais jamais vu (preuve que la communication tient à peu de choses), alors que j’ai croisé (mais seulement croisé) Claude Lorius (je suis un ancien des Expé Polaires, TA29 1978-1980).
        Le film est un hymne à la Terre, à l’humanité, doublé de l’histoire fantastique des forages, grâce à cet homme qui eu l’illumination suprême de l’analyse des bulles prisonnières des km de carottes prélevées sur le continent. Cette histoire alimente maintenant tous les laboratoires du monde entier qui travaillent sur le changement climatique, et les courbes de concentration des gaz sur les 800 000 dernières années sont devenues des références incontournables, et des preuves irréfutables de l’urgence absolue.
        Merci encore pour ce retour arrière qui devrait être visionné dans toutes les écoles.
        PS : il n’y a pas eu de C160 sur l’antarctique pour de multiples raisons (en premier lieu pour l’impossibilité d’être qualifié). Il s’agit de C130 Hercules, munis de Jatos, fusées à poudre d’aide au décollage. Beaucoup d’accidents, comme dans le film, avec ces Jatos, qui parfois passaient même à travers le fuselage… Les américains les ont parfois abandonnés, lorsque les coûts de renflouement étaient supérieurs à l’achat d’un nouvel appareil. Ces temps sont loin ! Ce n’est qu’à la fin des années 80 que les opérations de renflouement, grâce à la xième « Operation Deep Freeze » ont eu lieu, et que les appareils enfouis sous des mètres de neige et de glace ont retrouvé le ciel (après changement des moteurs, et du retour de l’avionique, tout ça par -50°C).

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