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Germanwings : Réserves et inquiétudes du SNPL

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Martin R.

Le SNPL France ALPA considère que la recommandation de l’EASA relative a la présence permanente de deux personnes autorisées dans le poste de pilotage «été décidée dans la précipitation, sans attendre un diagnostic suffisamment complet de l’accident et sans mesure d’impact.» Le syndicat dit comprendre «la volonté de rassurer l’opinion publique», mais fait aussi remarquer que «les enquêtes techniques et judiciaires ne font que commencer. » Erick Derivry, président du SNPL, exprime « toutes ses réserves sur la pertinence d’une recommandation prématurée qui pose nombre de questions et qui induit de nouvelles menaces. »

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Martin R.

Martin R. est le développeur et webmaster d’Aerobuzz depuis sa création en 2009. Développeur de formation, il a fait ses classes chez France Telecom. Il lui arrive d’oublier ses codes le temps de rédiger un article sur un nouveau produit multimedia ou sur un jeu.

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  • Germanwings : Réserves et inquiétudes du SNPL
    En fait si j'ai bien compris puisque le PNC n'a rien à faire pendant le vol et qu'il est en sur-effectif à bord on a enfin trouvé une façon de l'occuper!!. Il ne lui sera pas difficile d'expliquer aux clients qu'il doit interrompre le service (repas par exemple) pour permettre au pilote d'aller aux toilettes!..
    Et sur les avions à équipage PNC réduit (vols COI par ex) lorsque la moitié de l'équipage est en phase de repos, pensez-vous qu'il y ait trop de PNC en veille pour assurer la sécurité en cabine? Surveillance des toilettes, gérer les PAX turbulents ( alcool par ex) etc...et assurer un service de qualité aux PAX!C'est vraiment du domaine du gadget!
    Et pour information la procédure est déjà appliquée sur LC sur demande du PNT.
    Encore un effet de manches!

  • Germanwings : Réserves et inquiétudes du SNPL
    D'accord avec Michel Tinol étant donné que, ce jour, aucune information n'est parue sur la deuxième boite noire. Des internautes ont calculé cependant les performances d'un Airbus A 380 avec la même finesse et avec un moteur en moins : il faut compter un vol semi-planné de 200 kilomètres pour passer de 10000 mètres d'altitude à 2000 mètres. Le calcul serait pertinent avec des données plus fiables et avec un A320. Dans tous les cas de figure, les passagers et l'équipage ont dû en prendre plein la tête! Qu'aurait fait le commandant de bord? Probablement demander à son copilote d'aller voir...??

  • Germanwings : Réserves et inquiétudes du SNPL
    Le SNPL me déçoit pour ce doute immédiat (et précipité....) sur cette question que j'estime cruciale de la présence d'un membre du personnel de cabine quand un pilote s'absente. Cette position du SNPL est affligeante quand on sait que c'est en vigueur aux Etats Unis. Qui se souvient du cas d'un pilote qui sort puis le second laissant la cabine vide et qui ne pouvaient plus rentrer dans le cockpit? Avec cette nouvelle procédure applicable aussi aux pilotes français (pas forcément du SNPL), si cela peut éviter ne serait-ce qu'un seul crash en 20 ans, c'est positif. Et puis, dire qu'on ne pourra jamais empêcher un suicidaire d'agir, c'est facile. Dire qu'un moyen de plus pour éviter le pire, cela vaut le coup d'être appliqué, c'est plus efficace.

  • Germanwings : Réserves et inquiétudes du SNPL
    Encore une belle posture narcissique du SNCL. Après avoir refusé d'admettre une erreur de débutant suite à un pb technique (le Rio Paris en décrochage avec un manche en position "cabré" pendant de longues minutes), planté leur compagnie aérienne (AF, maintenant au bord de la ruine suite à la grève des pilotes), voici qu'il s'offusquent de cette si élémentaire précaution, qui empiète sur leur territoire sacré, le cockpit. Virez les tous !

  • Germanwings : Réserves et inquiétudes du SNPL
    Il semble une fois de plus que le SNPL veuille se distinguer !

  • Germanwings : Réserves et inquiétudes du SNPL
    A "tout frais", le pilote restant n'abandonne pas son poste pour ouvrir la porte. Il la déverrouille sans se lever. On est dans un cockpit pas dans une piece de maison. Un peu de bon sens ;)

    Cette mesure ne sert qu'à rassure les paxs, mais ne servira à rien. Si en courte finale un des pilotes veut planter l'avion il le fera.

    Ce métier nécessite de la confiance. Envers ses collègues pour l'equipage, et envers l'equipage pour les passagers.

    Ce cas est grave et dramatique. Mais un cas ultra isolé, voire quasi unique.

  • Germanwings : Réserves et inquiétudes du SNPL
    pourquoi toutes ces reserves, les passagers meritent mieux !
    quel est le problème à ce qu'un membre du personnel de cabine, désigné avant le départ, puisse pendre place à l' interieur, près de la porte pour l' ouvrir à la demande du pilote qui aura dû s 'absenter quelques minutes et suivant le code convenu entre eux juste avant
    cela aura l ' avantage que le pilote restant n' aura pas à abandonner son poste pour ouvrir la porte
    allons, un peu de bon sens !

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