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Pas de survivants dans le crash d’un Twin Otter au Népal

Tara Air dessert les localités retirées du NépalLe Twin Otter qui s’est écrasé, le 23 février 2016, au Népal a fait 23 victimes. Le biturbopropulseur exploité par la compagnie locale Tara Air reliait Pokhara à Jomsom, dans l’Himalaya, à environ 220 km à l’ouest de Katmandou. Le temps de vol prévu était d’une vingtaine de minutes. L’épave a été retrouvée calcinée, à 4.900 m d’altitude.

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6 commentaires

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  • par Dominique de Champeaux

    Pas de survivants dans le crash d’un Twin Otter au Népal
    En toute rigueur le DHC6 est, autant que je me souvienne, un avion de capacité 19+2 (pour tout vol commercial, les règlements internationaux stipulent qu’à partir de 20 sièges passagers et jusqu’à 49 un PNC doit obligatoirement se trouver à bord – ensuite un PNC supplémentaire par tranche de 50 sièges passagers).

    Tout ce qui a été dit ci-dessus (souls on board) est par ailleurs pertinent.

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    • Pas de survivants dans le crash d’un Twin Otter au Népal
      Ne pas oublier que S O S est l’abregé de  » Save Our Souls  » ( sauvez nos Ames  » )

      Répondre
  • Pas de survivants dans le crash d’un Twin Otter au Népal
    Dans l’Aviation commerciale internationale on parle de  » souls on bord  »
    traduction :  » Ames à bord  » c’est plus facile que de dire :
     » X passagers ( or adults ) plus X baby « 

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  • Pas de survivants dans le crash d’un Twin Otter au Népal
    Je suis étonné… J’avais toujours connu le Twin 300 comme un 20+2, ce qui aurait dû faire 22 victimes…

    Ici, on parle de 23.

    Comment cela est il possible?

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    • Pas de survivants dans le crash d’un Twin Otter au Népal
      Il est question de deux enfants parmi les victimes. C’est peut-être là qu’il faut chercher l’explication…

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    • Pas de survivants dans le crash d’un Twin Otter au Népal
      Merci Gil,

      Effectivement dans ce cas… Un bébé attaché avec sa mère sur le même siège. Je n’étais pas au courant du détail des victimes…

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