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Angers, de la préservation à la mise en valeur du patrimoine aéronautique

Le GPPA ou Groupement pour le Préservation du Patrimoine d’Angers n’est plus seulement un musée. La belle idée de Christian Ravel a grandi. La collection s’est enrichie et pendant qu’une partie des membres de l’association restaure des trésors, une autre partie accueille le public.

Au début, en 1981, Christian Ravel, a eu l’idée de présenter quelques avions ou planeurs « de collection » en état de vol ou radiés, selon leur état. Et c’est comme cela qu’est né le musée d’Angers qu’il convient aujourd’hui d’appeler Espace Air passion. Entre temps, la ville d’Angers lui a offert, en 1998, un magnifique écrin, sur l’aéroport d’Angers-Marcé. Aujourd’hui Christian a pris du recul et se consacre à l’activité qui lui tient à cœur : les « Archives...

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8 commentaires

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  • Angers, de la préservation à la mise en valeur du patrimoine aéronautique
    Je confirme tout ce qui précède…

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    • Angers, de la préservation à la mise en valeur du patrimoine aéronautique
      Bon sang, mais c’est bien sûr ! comme disait Bourrel.
      Comment ai-je pu confondre ce simu d’un Brewster F2A « Buffalo » avec celui d’un T6, biplace bien connu ? D’accord, le T6 a été transformé en Zéro japonais par l’équipe de Jean Salis, un monoplace, mais avec une autre déco.
      JMK

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  • Angers, de la préservation à la mise en valeur du patrimoine aéronautique
    Ce Albert A6 est un bon exemple d’essai « fantasmagorique » sur la technique oiseau en vol battu ! (avec pour conséquence la « céconsidération du sujet chez les « vrais  » aviateurs !)
    En plus de « déclarer » sa « mécanique de vol /plané avion  » par un empennage classique , ce projet a voulu combiner des éléments du domaine insecte (aux Reynolds spéciaux ) avec ceux de …de n’importe quoi ,ni oiseau (qui se servent à 100% de leur géométrie variable ), ni avion (qui ont des ailes fixes ) …
    Certains des brevets qui m’ont été opposés ne prenaient en compte qu’une partie des forces en jeu dans le vol (aéro plus masses) , et enrobaient ça dans un texte poétique du plus bel effet ! On était en 1930…La théorie du vol battu est bien connue , et celle du vol plané (qui se combine à la précédente ) que j’ai développée montre que l’économie de vol est maximale justement en raison de l’utilisation de la GV , les ailes étant toujours « repliées » ,en dièdre et flèche ,au « upstroke  » (la remontée de l’aile ) , même en vol de croisière ; pourquoi ? tout simplement pour trainer moins ,et conserver de la pression sous l’aile …
    J’aurais aimé que des aérodynamiciens se penchent sur la question pour chiffrer un peu tout ça ,mais voilà …pas de candidat !

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  • par RAVEL Christian

    Angers, de la préservation à la mise en valeur du patrimoine aéronautique
    juste une petite correction, due à un malencontreux glissement de plume:
    L’avion à aile battante n’est pas l’Albert A-6 mais le Riout n° 2.
    – La restauration de l’Albert A-61 débutera début septembre.
    Que celui qui n’a jamais péché…
    Amitiés à tous.

    Christian RAVEL et toute l’équipe d’Espace Air Passion

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  • Angers, de la préservation à la mise en valeur du patrimoine aéronautique
    C’est le musée a ne pas rater. C’est un des rares musée thématique où vous pouvez venir en famille, entre amis et où même les non passionnés d’aviation, les non initiés du domaine aéronautique en ressortiront avec un souvenir inoubliable, avec le sentiment d’avoir découvert des choses extra ordinaires.
    La mise en valeur de ces trésors et surtout la vulgarisation (pour être à la portée de tous) des informations fait que toutes les générations et toutes les tranches d’age sont conquises.
    De plus c’est comme le « Chateau fort de Guédelon », on peut y revenir régulièrement et on trouvera toujours quelque chose de nouveau ou que l’on avait pas vu tellement c’est dense.
    Bravo à Jean-Marie et à sa prose si agréable.
    Bert

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  • Angers, de la préservation à la mise en valeur du patrimoine aéronautique
    Un superbe espace que je recommande fortement !
    L’EAP d’Angers, non content de préserver le patrimoine de l’aviation légère, s’occupe de TOUTE l’aviation, et donc en particulier de l’aéromodélisme, ce qui est (très) rare… N’oublions pas que de très nombreux pilotes de chasse et de ligne ont commencé par coller des bouts de bois et à lancer d’improbables machines éventuellement volantes dans les prés alentours… Demandez à Christian Ravel !
    Vous trouverez donc également à Angers une collection particulièrement riche de toute l’histoire de l’aéromodélisme, qui commence avant l’aviation « grandeur », et qui a toujours un cran d’avance vu que ce sont des modèles réduits qui volent en soufflerie avant les essais réels… 😉
    Allez Monsieur Klinka, je ne vous en veux pas (trop) de cet oubli…

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    • Angers, de la préservation à la mise en valeur du patrimoine aéronautique
      Oui bien sûr, il aurait fallu écrire un papier sur le GPPA, musée du modèle réduit d’avion, dire combien cette activité peut être enrichissante pour la jeunesse, surtout que j’ai cassé plusieurs « CB » avant d’en avoir un en vol, parler de la « boutique », que sais-je ? Il me faut maintenant écrire sur les archives, les réserves, le futur de la muséographie .. Ça nous emmène après les vacances.
      Et Errare Humanum Est: l’avion à ailes battantes est un Riout et non un Albert.
      JMK

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    • Angers, de la préservation à la mise en valeur du patrimoine aéronautique
      De toutes façons ,merci de nous faire connaître ce passionnant musée. Et je maintiens ma prose (à venir ? ) sur le vol battu , et le réalisme de nos pionniers …en ajoutant que le planeur à « aile de mouette  » présenté en 1er est Aussi représentatif des « approx » des débuts de l’aviation . Pour qu’une aile soit plus efficace « brisée » que droite ,il faut ,à mon sens , au moins 4 angles , 2 sur chaque élément de plan pour une aile « de mouette  » ,à 2 portions d’ailes (en gros !) , donc 6 angles pour les ailes à grand allongement des albatros et autres grands planeurs marins . Pourquoi ? parce que la flèche inverse renforce le rendement du profil ,de même que le dièdre (léger ,dans le bon sens !)
      D’où ,selon moi ,la supériorité des ailes en « M2 » ,ou « M3 » des oiseaux de mer , dans la catégorie voiliers rapides .

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