Accueil » Défense » Avion Léger de Surveillance et de Reconnaissance : le bout du tunnel pour l’Armée de l’air

Avion Léger de Surveillance et de Reconnaissance : le bout du tunnel pour l’Armée de l’air

Un Shadow R1 aux couleurs de la Royal Air Force. Voilà à quoi ressembleront les ALSR français, qui seront toutefois dépourvus de systèmes d’auto-protection. © RAF

L’ALSR est un King Air 350 modifié en avion de surveillance. Trois ans après la passation de commande par la France auprès de Thales et Sabena Technics, la livraison du premier appareil à l'Armée de l'Air est maintenant attendue pour la fin de l’année.

L’ALSR est en quelque sorte un drone MQ-9 Reaper piloté de l’intérieur, avec un même équipage de quatre personnes et des capteurs équivalents : boule optronique américaine avec voies jour et infrarouge, équipements d’écoute électronique signés Thales et possiblement radar optimisé pour le suivi de mobiles au sol. L’avantage de l’avion par rapport au drone est sa facilité et sa flexibilité de déploiement et d’emploi. Son défaut est son autonomie très inférieure, trois ou quatre heures de patrouille environ contre plus...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.