Accueil » Jobs » Le BIA ou la découverte de l’aéronautique dès le collège

Le BIA ou la découverte de l’aéronautique dès le collège

Courant octobre, les diplômes BIA sont remis aux admis. Le taux de réussite de la session 2016 est estimé à 80,20 % soit 8.650 admis. © FFA

Près de 11.000 jeunes ont passé leur Brevet d’Initiation Aéronautique en 2016. C’est plus du double par rapport à 2010. Le BIA s'affirme aujourd'hui indéniablement comme une porte d'entrée dans le monde aéronautique pour nombres de jeunes.

L’objectif de la formation qui mène au BIA est de sensibiliser et de familiariser des jeunes d’un niveau de fin de collège au monde de l’aéronautique en leur transmettant une réelle culture dans le domaine. Elle dure au minimum une quarantaine d’heures, généralement réparties d’octobre à avril. Dans le cadre général, le BIA compte une formation théorique dispensée dans un établissement scolaire (collèges et lycées). Cette formation peut aussi être effectuée dans un aéro-club.

La première...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

9 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Effectivement , un bel article au sujet d’une belle réussite…
    Pour avoir initié le CIRAS de l’Académie de Besançon en 1994 et pour le « piloter » encore aujourd’hui.. , je puis vous assurer du bien fondé de cette formation aéronautique et scolaire initiale …l’impact au niveau des jeunes est indéniable…
    « Donner des ailes à l’enseignement » .. tant au niveau pédagogique, qu’au niveau de la motivation scolaire et du comportement responsable , qu’au niveau de la réalisation du projet professionnel ou personnel … voilà ce qui nous anime !
    Une dynamique mesurable s’articule autour de ce projet et ceci dans tous les établissements du réseau, des associations et institutions partenaires .
    La famille de l’air toute entière se réunit autour de cette initiative ..qui fête aujourd’hui ses 50 ans ….il est bon de s’en souvenir …
    Plus de 3500 jeunes de la Région sont actuellement titulaires du BIA et les parcours réalisés ou en cours de finalisation sont remarquables … Tous les secteurs aéronautiques sont impactés…
    Un grand merci à tous les acteurs et partenaires du CIRAS…actuels , et aux anciens également . Un grand merci aussi pour le soutien initial et la confiance installée…
    De tels projets ne peuvent se faire et perdurer sans mettre en avant les valeurs fondamentales de l’aéronautique …….une équipe…
    Sachons transmettre aussi ses valeurs à nos jeunes .
    Un amical salut à toutes celles et ceux qui permettent chaque jour , grâce à leur passion de maintenir le « cap réussite » que nous devons d’indiquer à nos élèves qui sont notre avenir et notre relève…
    L’aventure continue !
    Il est vrai que le BIA devrait devenir une option officielle du …nouveau baccalauréat ….il a fait ses preuves de qualité , de longévité et d’efficacité !
    Il est une spécificité nationale et n’a pas d’équivalent à l’étranger.
    Notre pays est une grande nation aéronautique et cette initiative scolaire mise en place en 1947 mérite bien aujourd’hui une reconnaissance particulière…
    Affaire à suivre

    Répondre
  • L’article ne mentionne pas l’engagement extraordinaire de l’armée de l’air, qui apporte un appui sans précédent aux Académies. Grâce au Colonel de St Exupéry, et à l’appui de l’Etat Major (merci au Général Mercier), une convention entre l’AA et l’EN permet aujourd’hui aux élèves de l’Ecole de l’Air, mais aussi aux personnels bénévoles des bases aériennes, de soutenir, voire encadrer la mise en oeuvre de formations BIA dans les lycées et collèges, lorsque ceux-ci n’ont pas encore de personnel qualifié. Une expertise professionnelle maintenant structurée au service de l’enseignement et d’une filière riche de métiers, mais surtout au service de nos enfants, ce qui est une grande marque et un grand privilège de notre Nation.

    Répondre
  • par marson jean-pierre

    merci d’avoir mis en avant notre ouvrage Mon premier Brevet Aéronautique. Ne pas oublier aussi l’ouvrage de référence depuis la relance du BIA, l’ouvrage Initiation à l’Aéronautique. jpmarson pour Cépaduès.

    Répondre
  • Très bon article concernant le BIA .
    Dommage que la FFA ne fasse pas le forcing auprès de l’EN afin de trouver un terrain d’entente pour que le BIA soit reconnu comme une option facultative possible (un bon plan pour gagner des points pour le BAC… et motiver encore davantage de jeunes ! Ce serait également une juste récompense pour les titulaires de ce Brevet).
    Cette formation au BIA, qui nécessite des apprentissages et des savoirs dans nombre de domaines, vaut bien une option Chinois, Art du Cirque, Danse, etc… non ?
    (qu’il soit clair que je ne dénigre pas du tout les innombrables options facultatives !)
    Allez la FFA et l’EN, vous souhaitez que la jeunesse déploie ses ailes ? Très bien, mais bougez-vous aussi pour la motiver et la propulser !!!

    Répondre
  • Excellent article qui rappelle l’importance du BIA dans le secteur aéronautique et spatial.

    C’est peut-être la seule formation transverse qui embrasse tout les domaines de l’aviation et de l’espace. Solide socle pour les sports, carrières, et loisirs aériens, il n’est pas étonnant qu’elle se généralise: même les spécialistes y voient un intérêt afin de sortir de leurs expertises et de mieux appréhender les facteurs extérieurs qui influent sur leurs travaux que ce soit sur les structures, la météo, la navigation, l’aérodynamique, la sécurité des vols. L’histoire de l’aviation et de l’espace permet de réaliser l’évolution et les tendances du monde aéronautique et spatial. L’anglais aéronautique est un plus qui permet de mieux préparer aux publications et communications de plus en plus anglophones. Grâce à cette option, les candidats peuvent obtenir un maximum de 2 points supplémentaires (sur 20) sur la note finale.

    Concernant le BIA et le CAEA, le blog de Laurent LEROY de l’Académie de Versailles regorge d’informations et d’actualités: http://blog.ac-versailles.fr/brevetinitiationaeronautique/ vraiment très intéressant, il vaut le détour.

    Pour le BIA-CAEA et surtout l’ANGLAIS AÉRONAUTIQUE, il y a de nombreuses informations et supports sur le site Aviation English: http://airforces.fr/bia/

    Répondre
  • Un bel article pour une chouette formation !

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.