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L’américain Indigo Partners commande 430 Airbus A320neo

Indigo Partners est un fonds d’investissement américain qui possède quatre compagnies hard low cost, Indigo Partners c’est Frontier Airlines aux USA, JetSmart au Chili, Volaris au Mexique et Wizz Air en Hongrie, auxquelles sont destinés les 273 A320neo et 157 A321neo commandés au Dubai Air Show 2017. © Airbus

Au troisième jour du salon aéronautique de Dubai, on attendait « la » commande d’Emirates de 30 A380 et c’est finalement la famille A320 qui remporte la mise avec un contrat parmi les plus importants jamais signés par Airbus portant sur 430 A320neo pour une valeur de 49,5 milliards de dollars.

C’est évidemment beaucoup plus qu’un lot de consolation que vient de décrocher Airbus à Dubai. Depuis l’avant-veille de l’ouverture du Dubai Airshow 2017, il n’était question que de cette commande de plusieurs dizaines d’A380 que devait passer Emirates Airlines.

L’A380 devra encore attendre

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2 commentaires

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  • Votre opinion est est respectable, mais toutefois un peu tendancieuse. Que vous encensiez le low cost, c’est votre avis, mais il est à mon sens discutable. Toute idée, tout concept a ses limites, Ryanair commence à le comprendre.
    De plus les low cost sont, comme vous le faites remarquer, un phénomène récent. A voir comment il évoluera dans l’avenir, notamment au plan de la sécurité. pour l’instant, tout va bien, à quelques exceptions près…
    Mais par la suite, il faudra considérer plusieurs paramètres. Entre autre, celui des marges, les low cost n’en ont quasiment pas. Parce qu’elles ne pourront plus rien diminuer: ni les coûts de personnel, ni le repos des équipages, ni le prix des avions, ni surtout celui du carburant. Seule solution: augmenter le prix du billet, et rogner au maximum sur la maintenance. (Sur les services, je vois pas comment on pourrait faire moins). Cela aura forcément des conséquences.
    Et ce ne sera pas que dans l’aérien. Nous sommes dans un siècle low cost, avec des politiques et des dirigeants low cost (mais pas pour nous), de la bouffe low cost, des bagnoles low cost, et j’en passe. Vers quoi va t’on? quelque chose me dit (l’expérience ou l’histoire, qui sait) qu ‘économiser à l’outrance se paie un jour très cher.
    Quant à la révolution « tranquille », parlez pour vous. Parce que quand on habite près d’un lieu ou les low cost déchargent leurs bétaillères, on est tout sauf tranquilles. Les meutes de gens grossiers, incultes, arrogants qui se croient tout permis parce que ils ont acheté un billet d’avion, faudrait que vous vous en payez le plaisir… D’autant plus que l’économie locale n’en profite quasiment pas: ce n’est pas parce que on paye le voyage moins cher qu ‘on dépense plus sur place. Et on va bien finir par s’en rendre compte. Tôt ou tard.

    Je précise que je ne travaille pas dans l’aérien, et donc dans aucune compagnie, de quelque modèle économique que ce soit.

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  • EN VOLS ou AOG?
    Cette belle commande consacre durablement, si ce n’est définitivement, la victoire des compagnies low cost sur les transporteurs traditionnels. Là est la vraie signification de cet ordre, qui symbolise aussi, au-delà de son importance matérielle et financière, l’ordre nouveau du transport aérien mondial. Court, moyen ou long courrier, Le XXIème siècle sera dans les airs low cost ou il ne sera plus! Tous ceux qui n’ont pas voulu et ne veulent toujours pas voir venir et décoller à forte pente de montée cette révolution tranquille seront, avec ceux qui la méprisent, tous AOG demain, aircraft on ground.

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