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Le paradoxe de l’A380

218 A380-800 ont déjà été livrés à 13 opérateurs depuis octobre 2007 :
10 Air France, 6 Asiana Airlines, 12 British Airways, 5 China Southern Airlines, 100 Emirates, 10 Etihad, 10 Korean Air, 14 Lufthansa, 6 Malaysia Airlines, 12 Qantas, 8 Qatar Airways, 20 Singapore Airlines, 6 Thai Airways. © Airbus

Alors qu’Emirates Airlines réceptionne son centième A380 et que Singapore Airlines, compagnie de lancement en 2007, dévoile la nouvelle cabine de ses super jumbo jets, l’avenir industriel du quadriréacteur européen n’a jamais été aussi incertain. Adoré par les passagers, l’A380 est un casse-tête pour beaucoup de compagnies aériennes.

L’A380 a été imaginé comme un très gros porteur de 800 passagers destiné à désengorger les aéroports thrombosés. Et Airbus continue de le présenter comme la solution à la saturation des grandes métropoles : « Avec une capacité de 60 pour cent supérieure à celle du 747-400, l’A380 permet le transport de davantage de passagers sans augmenter le nombre de vols. » Le problème de l’avionneur européen est que les compagnies aériennes ont flashé sur l’immense cabine de 550 m2 sur deux ponts...

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8 commentaires

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  • par Terrence C Palmer (Capt rtrd)

    The A380 is a great piece of engineering:

    However! It is not Allowed to have an engine failure, engines don’t fail, at least not catastrophically do they?

    What has been done to modify the A380, from suffering an event such as Qantas out of Singapore:

    A catastrophic failure that severely damaged the spar, Electrical issues by the dozen from cut data feed wires and cables, a huge Aft fuel tank Cof G problem, so many Ecam messages the crew couldn’t manage them!

    What happens:

    The crew and machine are paraded as heroes and a grand feat of modern engineering, sails on through our night skies:

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  • Je voyage sur A380 pour Sydney ou Brisbane. Nous avons aussi voyagé avec d’autres , en fait je trouve que le confort est le plus important, je m’explique, j’ai 85 ans et j’ai souvent voyagé soit Afrique du Sud ou Australie et c’est toujours l’acceuil et le service qui finalement prime dans le choix. Je ne voyage qu’en Economy.

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  • La vraie valeur de l’offre est celle que le client lui accorde ! Pléonasme, utile à rappeler parfois.
    Après Quantas, Emirates : le client fait des siennes.. Mais où va-t-on ?
    Des modèles triviaux dans l’univers de la « Tech » et des startups qui débordent dans l’aviation commerciale, en particulier sur les géants porteurs ! Les principes de Sérendipité, de développement bottom up, de mockup, user centric… deviendraient-ils la norme ?
    Est-ce les prémices d’un changement de paradigme ?
    A vos wikis : pour occuper les longues soirées d’hiver…
    Pardonnez-moi d’être un peu candide : j’ai l’impression que nous vivons des « imprévus » dans l’histoire de l’économie.

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  • Je défie quiconque montant les yeux bandés dans Avion gros porteur moderne, de savoir s’il s’agit plus d’un 747-8, d’un 747-400, d’un 777, d’un 787, d’un A350 ou d’un A380. De plus l’avis des passagers est souvent celui de passagers qui voyagent peut-être rarement et qui sont enthousiastes quelques soit le modèle…..

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    • Pas tout a fait d’accord avec vous. Je voyage pas mal et il m’est facile de faire la difference entre les avions derniere generation et les autres. Le niveau de bruit dans les places avant est de loin inferieur dans les 787, A350 et A380. Pour le 747-8 je ne sais pas mais cela doit etre le cas.

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    • Vu le barouf monstrueux d’un Boeing 777 c’est pourtant simple à reconnaitre, comparé aux Airbus! Et l’A380 ne cabre pas (ou très peu) au décollage, donc c’est facilement reconnaissable.
      Pas encore testé le 787 ni le 747, malheureusement…

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    • En tout cas, il n’y a pas photo entre un 777 et un A380 en termes de bruit. Pour rimer, c’est le jour… et la nuit !

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  • Une solution : comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même ,Airbus se crée Sa compagnie et centre le service sur des événements de masse ,déjà existants ,ou même à créer ! et ..;à proximité d’un airport près de la saturation .

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