Accueil » Industrie » Tarmac Aerosave : de la déconstruction à la remise en ligne

Tarmac Aerosave : de la déconstruction à la remise en ligne

Spécialiste européen du démantèlement et du recyclage des avions de ligne, Tarmac Aerosave détient également les certifications ISO 9001, EN 9110, EN 9120, et les agréments EASA/FAA Part 145 (maintenance) et EASA Part 147 (formation). © Tarmac Aerosave

Sur l’aéroport de Tarbes, Tarmac Aerosave fête cet automne son dixième anniversaire. L’idée de départ qui tournait autour du stockage et du démantèlement des avions de ligne a donné naissance à un spécialiste du MRO (maintenance et réparation) et ouvert la voie au recyclage des matériaux composites, plus particulièrement de la fibre de carbone. L'avenir de Tarmac Aerosave, devenu N°1 européen sur son créneau, passe, également, depuis peu par le nouveau moteur Leap de Safran… Tarbes c'est en peu Mojave 4.0 !

A l’origine de Tarmac Aerosave, il y a le projet Pamela-Life et la rencontre de deux industriels. D’un côté Airbus, de l’autre Suez. Un constructeur d’avion et un spécialiste du traitement des déchets de production. « Nous avons eu l’idée quasiment en même temps », explique Jean-Luc Taupiac, directeur environnement d’Airbus. « A l’époque, nous voyions arriver nos premiers avions en fin de vie, et Suez, pour sa part, cherchait à s’impliquer dans le développement durable ». C’est ainsi qu’est né le projet Pamela-Life...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

2 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Pourquoi ne pas reconvertir certains de ces avions ayant encore du potentiel en bombardier d’eau comme cela se fait au Etats-Unis ? notre flotte de Canadairs est
    à bout de souffle et ce n’est pas les Dash commandés qui vont pouvoir faire le boulot
    d’autant plus que les Trackers eux aussi sont au bout du rouleau ?

    Répondre
    • Parce que la topographie nord-américaine n’a rien à voir avec le Massif de l’Esterel (exemple) et que les conditions de prévention/attaque du feu sont aussi différentes sur les 2 continents. Les plus petits modules type BaE-146 pourraient peut être faire l’affaire mais pas du DC-10 ou du B747…

      Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.