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Feu cabine en Caravelle

Feu cabine en Caravelle

Après le crash d'une Caravelle d’Air Algérie en 1969, victime d’un incendie à bord (33 morts), la compagnie Air Inter qui exploite aussi l'appareil décide trois ans plus tard de mettre au point, en conditions réelles, une procédure d’urgence d’évacuation de fumée… Dans ce nouveau podcast, les acteurs de l'époque témoignent…

Face au succès de notre podcast la Caravelle en piste et les nombreux témoignages d’anciens équipages, recueillis à la suite de la mise en ligne de ce premier récit, Aerobuzz.fr propose une série de cinq podcasts. Pilotes, mécaniciens navigants et hôtesses et stewards partagent leurs souvenirs associés à cet avion mythique.

Ce premier des cinq épisodes hebdomadaires revient sur cette incroyable procédure d’évacuation de la fumée en vol et surtout sur la manière de l’expérimenter et de la mettre au...

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11 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Bravo pour ces podcasts !
    Le « vécu », voilà quelque chose de vivant et agréable à (re)vivre !
    Bravo, les gars !

    Répondre
  • par Patrick Blanquart

    Salut Guy!
    Patrick Blanquart

    Répondre
  • par Patrick Blanquart

    Les essais préliminaires, je n’y étais pas! Mais les entraînements à Nîmes, j’en ai fais de nombreux: l’avion, les instructeurs, les stagiaires pilote et/ou omn puis plus tard des pnc, tout ce monde était là, pour cela, sans que cela n’interfère avec les vols passagers. Tout ce beau monde passait 4/5 jours sur place jusqu’à la qualification de tous les stagiaires. Je ne connais pas un instructeur qui n’aurait donné sa chemise pour participer à ce genre d’entraînement.
    PB

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  • Bonjour,
    Merci pour cette initiative de publication de souvenirs aéronautiques intéressants…..
    Néanmoins cette très particulière initiative d’Air Inter d’essais et de mise au point EN VOL d’une procédure d’urgence – et ce entre deux vols commerciaux normaux de transport de passagers – était pour le moins téméraire et, juridiquement, particulièrement risquée!
    Même en 1969, une telle procédure d’urgence faisait intrinsèquement partie de la « certification » de l’avion et était donc du ressort du constructeur (Sud Aviation à l’époque) et de ses équipages d’essais, le tout sous contrôle des services officiels ….
    Mais, comme l’indique le dicton bien connu : « O tempora O mores », soit Autres temps, Autres mœurs ».
    Il est vrai qu’à l’époque Sud Aviation et ses essais en vol étaient complètement absorbés par l’aventure Concorde…. et bien moins par la fin des évolutions de la Caravelle (type 11 R puis 12)

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    • Réaction très moderne !!! Mais mais !!! C’est impossible ! Appelez-moi les avocats !!! Tsssssssssss…
      J’aimerais bien que Jacques Rantet nous explique (si pas indiscret) la réflexion qui amène à réfléchir aux scenarii de ce qui va se passer, pour pas totalement improviser en vol. Et quelles ont été les relations avec les services techniques de Air Inter mais surtout de Sud Aviation sur les propositions de trucs faisables.
      Ouvrir la fenêtre triangulaire du poste de pilotage, je pensais pas que c’était possible en vol par exemple, ni d’ouvrir les trappes d’évacuation…
      La prochaine fois que je vois Jacques, va falloir qu’on cause…
      Les compagnies, à l’époque, avaient une certaine liberté pour rédiger leur procédures d’utilisation des avions. C’est toujours vrai d’ailleurs, à ma connaissance. Des compagnies « recommandent » à leur pilote telle ou telle procédure (connue du manuel de vol) plutôt qu’une autre (la manuel propose une plage d’utilisation), ou tel ou tel paramètre, pour des raisons X ou Y.
      Ou même parfois des choses hors manuel. Ainsi des pilotes ont cassé un avion à New-York 3 semaines après 9/11 en perdant la dérive en vol. Ils avaient appris (instructeurs compagnie) que l’on corrigeait les turbulences en mettant de grands coups de palonnier surtout sans toucher aux ailerons… La dérive a cassé. C’était bien entendu pas au manuel de vol, et jamais testé car personne ne fait comme ça !

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      • Tous ceux qui ont fait leur qualif de type à IT se souviennent du « vol d’épouvante » lors des manias de Nimes. C’était à cette occasion que cette procédure était effectuée. Il faut se rappeler qu’avant l’Air Algérie il y avait eu la Caravelle AF de l’Ajaccio – Nice (septembre 68)

        Répondre
      • par Rantet Jacques.

        Bonjour Jean Mi.
        Votre commentaire m’a beaucoup amusé,difficile de commenter une période alors que l’on n’était pas encore ne’ .Comme vous j’habite à quelques km d’Orly .Si vous avez quelques heures à perdre je suis à votre disposition pour vous parler de cette période passionnante : les années 50,60,70 :aéromodélisme,aviation légère,transport aérien court-courrier.
        Mais ne tardez pas trop.Je viens de croiser deux enfants 5 à 7 ans l’aîné disant à sa sœur  » tu vois c ‘est un papy,Il est très vieux mais Il est pas encore mort !
        Alors si intéressé faites vite.Amicalement.
        Bien sûr je donne mon accord a Jerome Bonnard pour vous communiquer mes coordonnées.

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      • Bonjour Jacques… Pour les coordonnées, pas besoin, si besoin je passe par votre fiston E… On s’est déjà vu (depuis des années) lors d’événements modélistes (La ferté, Jet Power) mais je ne connaissais pas (ou n’avais pas capté) votre passé sur Caravelle, sinon on aurait causé. Il s’avère que même en n’étant pas né à l’époque, je me suis intéressé très fortement à la Caravelle, l’avion, mais aussi les hommes, et ce qui va autour. Ca s’appelle de la transmission du savoir et du vécu. La mienne de Caravelle est désormais au musée, après 22 ans de service… Je pense avoir vraiment pas mal étudié le sujet…
        Votre commentaire plein de sagesse (teinté d’un poil de rudesse) m’a interloqué, et m’a fait relire trois fois mon commentaire. Et je me suis dis que si seuls ceux qui ont vécus les événements avaient le droit d’en parler, on perdrait énormément de savoir et de vécu. Les livres et la transmission sont là pour ça, aussi, mais pas que. C’est le boulot des historiens de raconter ou commenter des choses qu’ils n’ont pas vécues. Permettez-moi d’avoir étudié cette histoire.
        On se voit dès que nos libertés de circuler et de rencontrer les gens seront revenues. Vous n’avez pas d’urgence à nous quitter. Les enfants disent tellement de bêtises…

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    • @terentius.
      Bonjour
      1 les autorisations nécessaires avaient bien évidemment été obtenues par les services compétents de la Compagnie.
      2.il ne s’agissait nullement d’ un vol commercial.
      3.autre temps autre mœurs.Oui,pour faire voler un modèle réduit télécommandé de quelques centaines de grammes c’était plus facile qu’aujourd’hui.Et notre métier était à la fois un travail et une passion et cela était vrai pour le personnel sol comme pour le personnel navigant et nous étions heureux de vivre….
      Bien évidemment aucune allusion à l’évolution de la société actuelle……..dans laquelle vous avez la chance de vivre!!

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      • Bonjour quand Patrick Blanquart ma dit quon pouvait ouvrir l’escalier en vol ma donner lidee de faire faire des photos de de mercure en vol visible sur mon site internet guy brochot

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      • Je suis heureux de voir que tu es toujours en forme (on s’est connu quand tu passais sur Viscount..) et Patrick également je suppose..
        un ancien de l’escale IT de LFSB

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