Accueil » Transport Aérien » Jean-Baptiste Djebbari nommé secrétaire d’état aux Transports

Jean-Baptiste Djebbari nommé secrétaire d’état aux Transports

Jean-Baptiste Djebbari (37 ans), secrétaire d'Etat aux Transports. © Aerobuzz.fr

La nomination du jeune député « macronien » de la Haute-Vienne est une bonne nouvelle pour le transport aérien français, même si les professionnels ont perdu toute illusion après les Assises nationales du transport aérien.

Au cours des deux dernières années, le transport aérien français a appris à connaître Jean-Baptiste Djebbari (37 ans) et à l’apprécier. Pilote professionnel à la tête d’une petite entreprise de transport aérien jusqu’à son élection de député mi-2017, il est à même de comprendre les revendications des compagnies aériennes et des aéroports.

Loin des micros et des caméras, pendant plus d’un an, il a été l’un des plus actifs animateurs des Assises nationales du transport aérien organisées par le gouvernement en...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

11 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Bonjour Monsieur Dreyfus et vous tous passionnés ,
    Voyons la chose positivement, et pourquoi pas avec un peu de naïveté
    S’il a été chez NETJETS et/ou JetFly
    Il aura compris les raisons du succès de ces compagnies … et les raisons du recul du pavillon ,
    Rêvons un peu

    Répondre
    • Mais je sais que tu es un rêveur (mais certainement pas un naïf)
      je suis plutôt inquiet, après la privatisation de la SNCF à laquelle il a participé va venir la privatisation du contrôle aérien alors je sais que certains s’en réjouirons, mais je ne suis pas sur que les aéroports secondaires soient capable d’intégrer le coût du contrôle aérien dans leurs budgets alors qu’actuellement il est globalisé et payé principalement par les passagers des grandes compagnies. De nombreuses tour seront fermées et au mieux remplacées par des remote tower qui n’ouvrirons le service de contrôle que lors de l’arrivée d’un IFR en excluant tout trafic VFR de l’espace aérien. Un service dégradé pour l’ensemble des usagers rendu avec du matériel complétement inadapté sur des écrans ridiculement petits. Matériels inventés pour des aéroports dans le grand nord suédois avec quelques avions par semaine. On est très loin de la remote tower de london city qui serait un moyen acceptable et avec dans l’esprit des plus créatifs en matière d’économie la volonté de faire contrôler plusieurs aéroport en même temps par un agent isolé (alors qu’ils travaillent à 2 sur beaucoup de terrains). Donc oui pour les aéroports, pour l’aviation légère et accessoirement pour les agents qui devront rendre se service je suis inquiet. Espérons que l’avenir vienne ridiculiser mon pessimisme.

      Répondre
      • par Pilotaillon du 21eme siècle

        Bonjour
        Nous pouvons également imaginer un modèle VFR davantage « équipé »…
        Avec les performances des interfaces embarquées et des coms air-air ou air-sol, doit-on écarter la possibilité de mieux voir et être vu en proximité du traffic des plateformes au travers de nouveaux équipements ?
        Les machines aident l’automobiliste, pourquoi Mr Garmin et consorts n’aideraient-il pas davantage le pilote ?
        C’est regrettable mais l’homme est souvent le maillon faible par ce qu’il doit gérer l’ensemble de la situation et piloter.
        N’en déplaise aux pilotes expériemntés, il me semble que nous avons tous les signes qui prédisent une intensification du trafic aérien.
        Le ciel est une des zones qui permet de désengorger le terrestre.
        Et oui, la population humaine croit…
        (coitre ou croire ?)

        Répondre
      • Et ça va couter combien encore ces fabuleux matériels magiques qui voient à votre place ? Quel prix les mises à jour tous les 3 mois ? Quelle date l’objet est obsolète et doit-être impérativement remplacé ? Aux frais du pilote privé qui fait pauvrement 20 heures et croule sous les procédures…
        N’oublions pas Saint-Exupéry qui avait dit : « La perfection est atteinte non pas quand il n’y a plus rien à rajouter, mais quand il n’y a plus rien à enlever. »
        Accroissement du trafic commercial en vue, oui, mais trafic loisir en grand danger car les compagnies aériennes cherchent toujours à s’approprier les espaces aériens proches des grosses plateformes en excluant tout autre activité aéro dans la région parfois large : aérodrome, ULM, aéromodélisme, vol à voile, etc…
        Si il n’y a plus de « tours » en local, la solution sera simple : « volez pas, on fait passer le commerce ! »
        En plus l’arrivée éventuelle des drones livreurs et des taxi-drones va encore accentuer le problème car amazon aura le poids économique pour taper très haut vers l’état pour faire interdire les espace ou devront circuler leurs drone pour livrer les chaussures à la copine…

        Répondre
      • par Pilotaillon du 21eme siècle

        Jean-Mi : C’est exactement cette situation à laquelle je faisais allusion
        ici et entre les lignes de mes autres posts.
        C’est pour cela qu’il faut conserver, entre autre, par de « l’intelligence collective » toute notre place dans les espaces aériens et devons être attentif à tous les éléments necessaires à notre activité.
        Cf. https://www.aerobuzz.fr/aviation-generale/les-pilotes-de-montagne-adressent-une-lettre-ouverte-au-senateur-durain/

        Répondre
  • M. DJEBBARI n’a pas été « à la tête » d’une « petite » compagnie aérienne, vérifiez vos sources.

    Pour répondre à M. Dreyfus, depuis quand la DGAC est l’autorité de tutelle de compagnies étrangères ? Ça ne choque personne que Ryanair, American Airlines, etc etc, opèrent au départ de France ? Revoyez votre réglementation OACI, EASA et juridique, cela a quelque peu changé en 40 ans…

    Répondre
  • Enfin un ministre qui sait de quoi il parle ?

    Répondre
    • Ce n’est pas parce qu’il sait de quoi il parle que sa boutique sera mieux gérée et défendue. Comme la plupart des membres de ce parti godillot, c’est un opportuniste, de la caste de ceux qui savent tout sur tout. D’ailleurs ce ne serait pas étonnant qu’un de ses collègues nous ponde un essai du style : Comment respirer en dix leçons !

      Répondre
  • Je n’ai pas vu dans votre article le nom de la cie aérienne. Par contre sur Wikipedia il est indique que monsieur Djebbari a été pilote chez NET-JET et JETFLY.
    Ces cie aériennes basées au Portugal et luxembourg et qui avec la bienveillance de la DGAC ont détruit les cie aériennes françaises d’affaires en éludant les taxes, la CRPN , la taxe de 10 pour cent des vols domestiques etc etc et qui opèrent au depart de la France.
    Ayant eu un CTA francais pendant près de 40 ans cela me parait choquant.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.