Mardi 18 juin 2019, en fin d’après-midi, à l’issue de son convoyage depuis la Colombie Britannique, le premier des 6 Q400MR commandés pour succéder aux vénérables Firecat s’est posé à la base de la Sécurité Civile de Nîmes.
Construit par Bombardier et modifié en avion polyvalent par Conair, le C-FXFK – il devrait bientôt adopter une immatriculation en Fox-Zoulou – est livré donc avec un petit peu de retard sur le planning prévu mais juste à temps pour la saisons des feux. Il est arrivé équipé de sa soute ventrale de 10.000 litres.
Il va néanmoins passer quelques temps aux mains de la DGA pour les procédures de réception avant de pouvoir être admis au service actif. L’appareil présente un certain nombre de différences avec les deux appareils déjà en service, en dehors de sa livrée, puisqu’il dispose d’une caméra de vision IR utilisable pour les approches par visibilité réduite et, pourquoi pas, pour voir à travers les fumées, ainsi que de nouvelles configurations.
La Sécurité Civile compte sur lui aussi pour montrer ses nouvelles couleurs au-dessus de Paris le 14 juillet prochain !
FrM
© Vincent / Aerobuzz.fr Ainsi il semblerait que l’Ukraine ait transformé des ULM Aeroprakt A-22… Read More
La société SkyVibration, basée à Chambéry, développe un système de wingsuit équipée de 4 turbines… Read More
En plus de ses répliques d'avions anciens, Junkers F13 et autres E50, Junkers Aircraft a… Read More
Margrit Waltz est une légende parmi les pilotes. Cela fait presque 50 ans qu'elle traverse… Read More
Contrairement aux hélicoptères, les autogires ne peuvent pas décoller à la verticale. Du moins, c’était… Read More
Un livre à lire avant de regarder la série Masters of the Air. Ou même… Read More
View Comments
le cout unitaire est élevé, pourquoi ne pas opter pour l'airbus a400M polyvalent et qui peut prendre 70000 litres de retardants pour le même tarif
le coût d'acquisition d'un seul A400M est dissuasif (3 à 4 Q400MR pour un A400M, à la louche), d'autant plus qu'aucun dispositif de largage n'a encore été développé pour lui ce qui ne manquera pas de venir s'ajouter à la facture, et je ne parle même pas des coûts d'exploitation.