L’armée de l’air afghane a été entièrement rééquipée par les Etats-Unis et son fonctionnement quotidien est solidement encadré par l’USAF aidée de « contractors ». © USAF
La décision vient d’être prise pour mettre un terme aux désertions des élèves pilotes afghans quand ceux-ci arrivent sur le sol américain…
Les pilotes de Cessna AC-208 (version armée du Caravan) ne seront plus formés aux Etats-Unis. La décision vient d’être prise après que les Américains eurent constaté que plus de… 40% ( !) des élèves pilotes de la dernière promotion se furent évaporés dans la nature une fois arrivés au pays de Mickey et de Donald (Trump). Le programme, qui se déroulait dans la région de Dallas, avait pourtant été inauguré en fanfare en septembre dernier.
Les élèves sagement restés dans les rangs ont été rapatriés en Afghanistan où ils termineront leur formation. Cette désertion en masse n’est pas une véritable nouveauté : entre 2005 et 2017, 320 pilotes étrangers ont déserté sur le sol américain, parfois pour réapparaitre plus tard en demandant l’asile politique. Parmi ceux-ci, 152 étaient afghans ! F.L.
United annonce un investissement dans la start-up JetZero, spécialisée dans les avions à fuselage intégré (BWB),… Read More
Air Tahiti, compagnie aérienne domestique de Tahiti et ses îles, dévoile une livrée inédite temporaire… Read More
Lockheed-Martin va transformer trois F-35 supplémentaires en avions d’essais. Coût du chantier : 180 millions… Read More
Le 21 avril 2025, la CAAC, Civil Aviation Administration of China, a délivré à Avic… Read More
Le célèbre pilote américain de voltige aérienne, Rob Holland, s'est écrasé aux commandes de son… Read More
Le groupe Saudia a annoncé un nouvel accord avec Airbus pour renforcer sa flotte en… Read More
This website uses cookies.
View Comments
Et cela n'est pas vrai que pour les Afghans….les Djiboutiens et autres Ougandais ont un sacré taux d'évaporation une fois là-bas !
Et sur place, en Afghanistan, les Américains ne causent aux Afghans que la main à 20 cm du Beretta, pendant toutes les séances de formation ou de "travail", sans aucune sympathie de part et d'autre. On a même invité un terme pour les incidents en rapport avec cette défiance mutuelle : c'est du "green on blue" .
Donc le bateau coule normalement….. et je vais souvent à Kaboul.