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Categories: Industrie – brèves

Premier vol du moteur Trent 1000 TEN de Rolls-Royce

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Martin R.

Rolls-Royce a effectué le premier vol du Trent 1000 TEN (Thrust, Efficiency et Nwe Technology) le 23 mars 2016 depuis l’aéroport de Tucson (Arizona). Le moteur était monté sur un Boeing 747-200 qui sert de banc d’essais volant pour Rolls-Royce depuis 2007. Ce nouveau moteur qui est une évolution du Trent XWB est destiné à équiper tous les modèles de la famille 787 Dreamliner de Boeing. Le Trent 1000 équipe le 787-8 entré en service en 2011 et le 787-9 en 2014. L’entrée en service du Trent 1000 TENT initialement prévue en 2016, n’aura pas lieu avant 2017.

Rolls-Royce utilise un Boeing 747-200 comme banc d’essais volant depuis 2007
Le Rolls-Royce Trent 1000 TEN est destiné à la famille Dreamliner de Boeing

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Martin R.

Martin R. est le développeur et webmaster d’Aerobuzz depuis sa création en 2009. Développeur de formation, il a fait ses classes chez France Telecom. Il lui arrive d’oublier ses codes le temps de rédiger un article sur un nouveau produit multimedia ou sur un jeu.

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  • Premier vol du moteur Trent 1000 TEN de Rolls-Royce
    Ce qui m'étonne ,c'est qu'on ne donne pas aux bords de fuite des volets et gouvernes ce "crénelé" qui casse aussi bien le bruit que les flutters ( accrochage plus difficile ,voire impossible )

    • Premier vol du moteur Trent 1000 TEN de Rolls-Royce
      Le crénelage des fûts des moteurs est une compensation au bruits générés par les taux de dilution de plus en plus élevés des turbomachines. Et la série TRENT est caractéristique de taux particulièrement élévés pour obtenir son rendement.

      Le crénelage ne concerne donc pas les bords de fuite au titre du bruit car le régime des turbulences n'est pas du tout le même sur une voilure droite que sur celle d'une voilure en flèche ou une instabilité transversale apparaît au plan de la traînée.

      Sur un fût de turbomachine le plan du bord de fuite est parfaitement perpendiculaire à la traînée et le crénelage peut être exploité, alors que sur une aile "moderne" il faudrait réaliser un crénelage asymétrique progressif pour tenir compte de l'évolution des contraintes laminaires (transversales) le long de l'aile.
      Dans le principe c'est bien, mais la réalisation technique est un cauchemar de métallurgie, à moins de mettre en place des bords de fuite modulaires qui présentent alors l'autre inconvénient du manque d'homogénéité structurelle de l'aile et de son vieillissement accéléré.

      Lorsque nous saurons construire des voilures comme nous fabriquons des aubes de turbomachines (d'une seule pièce) se sera possible et rentable. Ce n'est pas pour demain, ni même pour après-demain.

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