Brussels Airport investit 52 millions d’euros pour renouveler ses passerelles d’embarquement. L’aéroport souhaite moderniser ses infrastructures pour répondre à la demande à la fois des passagers et des compagnies. Les travaux devraient être finalisés en 2022.
L’aéroport de Bruxelles se prépare a accueillir des avions de plus en plus grands et de plus en plus de passagers. C’est la tendance observée ces dernières années, avec une moyenne en hausse constante de près de 22 millions de passagers annuel, qui incite Brussels Airport à remplacer ses passerelles d’embarquement de vingt ans d’âge. Un programme à 52 millions d’euros qui se déroulera jusqu’en 2022.
Deux tiers des nouvelles passerelles seront composées d’un double-pont. Une triple passerelle est en cours d’installation, destinée aux A380, A330, 1350 et Boeing 777 et 787.
F.M.
Les hélices Swirl et Flash font partie des produits-phare de Duc Hélices pour les avions… Read More
En 2023, l’Office fédéral de l’aviation civile (OFAC) a traité très précisément 9.995 comptes rendus… Read More
Le 2 mai 1974, le premier SA 330 affecté à l'Armée de l'Air entrait en… Read More
L’ONERA met à disposition de la filière drone son logiciel d’aide à la préparation de… Read More
En raison des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, le défilé militaire du 14… Read More
Bombardier vient d’annoncer que le mystérieux client qui, en décembre 2023, a passé une commande… Read More
View Comments
Ah, que le temps du tarmac et des échelles de coupée était bien plus agréable: on voyait son avion, on sentait qu'on allait participer à un vol, élément merveilleux du voyage. Et les avions avaient des hublots (Viscount, Tupolev), pas des lucarnes.
On pouvait aller facilement dans le cockpit, par exemple sur un Paris New York en 747 sur Air France.
Je me souviens d'un vol aux USA dans un petit bimoteur: le cockpit était visible de n'importe quelle place. On était vraiment en avion.
Aujourd'hui, c'est le métro avec pas de place pour les jambes, pas de toilettes (Airbus A319)....
Certes, le voyage d'alors était cher car exceptionnel mais la bétaillère, très peu pour moi.