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La méditation d’Ariane

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Elle reprit le contrôle juste avant que les roues ne touchent le sol. Leur mission était, certes, remplie. Mais à quel prix !

Alors que la roulette avant du Mirage 6000 effleurait le tarmac, Ariane se sentit prise d’un tremblement qui la secouait des pieds à la tête. La peur s’installait rétrospectivement en elle, en même temps qu’elle mesurait la chance inouïe qu’elle avait d’être encore en vie. Derrière elle, assis en place navigateur, Adrien éprouvait probablement la même sensation, à moins qu’il ne fût inanimé…

Ce matin là de 2062, Ariane, qui appartenait au 18ème E.S.T de la base de Creil, l’escadron de Mirages 6000 affecté à la Surveillance du Territoire, avait reçu l’ordre de son haut commandement de décoller pour Bruxelles.

Le 18ème escadron de la Force Multinationale Européenne à laquelle appartenait Ariane avait été alerté par l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale, suite à la succession inexpliquée de deux crashs aériens d’avions de lignes survenus sur le sol de la Belgique, alors même que les conditions de vol semblaient parfaitement normales.

Les enquêtes diligentées par les autorités civiles avaient abouties à la conclusion que rien d’anormal n’était survenu avant l’accident de ces deux airliners. Mais dans les deux cas, le scénario s’était répété de manière identique.

A chaque fois, le commandant de bord avait verrouillé son cap et son niveau de vol, pris contact avec l’organisme de contrôle au passage de la verticale de Bruxelles, puis les communications radiofréquence entre les systèmes de contrôle de l’avion et le sol avaient été brusquement coupées et il s’en était suivi une descente inexorable, entrainant l’accident fatal et la mort de plusieurs centaines de passagers.

Les paramètres de vol transmis en temps réel par ces deux avions n’avaient pas pu être exploités car les données techniques avaient cessé d’être enregistrées à partir du moment où ils avaient amorcé leur descente.

Aucune revendication d’aucune organisation malveillante n’ayant été faite, aucune erreur n’ayant été commise par les forces armées des pays limitrophes, il fallait bien se rendre à l’évidence qu’un mystère épais entourait ces deux disparations.

Ariane et Adrien s’apprêtaient donc à décoller ce matin là, de la base aérienne de Creil qui regroupait les meilleurs avions et les meilleurs éléments de l’armée de l’air française. L’objectif qui leur avait été assigné était de survoler de la région des crashs, pour tenter de comprendre l’inexplicable et de ramener un maximum d’informations afin de résoudre cette énigme.

Ariane était une très belle jeune femme. Des cheveux mi longs d’un blond très clair encadraient un beau visage empreint de détermination et de gravité. Ces cheveux, qu’elle arrangeait parfois en un improbable chignon, lui donnaient un air espiègle qui ravissait ses collègues pilotes, dont une bonne moitié était secrètement amoureux d’elle.

Mais Ariane était surtout une femme extrêmement déterminée à accomplir les missions que lui confiait le Haut Commandement de son escadron. Son grand-père, qui avait été lui-même pilote de chasse dans les années 2020, lui avait transmis cette passion ainsi que les valeurs d’abnégation et de courage sans lesquelles il est impossible de pratiquer ce métier.

C’est tout de même avec une légère appréhension et la sensation d’une boule au ventre qu’Ariane prit pied ce matin là dans son Mirage 6000. Adrien, beau brun un peu ténébreux, avait été affecté lui aussi à cette mission.

Adrien venait de rejoindre l’escadron, et à ce titre officiait à bord de l’avion en tant que Navigateur Officier Systèmes d’Armes et Opérateur des Systèmes embarqués. Ariane était son chef. C’est à elle qu’il revenait de prendre les décisions.

Le Mirage 6000 dans lequel Ariane et Adrien avaient pris place était un bel avion, digne successeur de l’avion Rafale qui avait eu beaucoup de mal à trouver sa place quelques cinquante ans plus tôt.

L’avionneur Serge Dassault avait laissé à sa descendance les plans d’un prototype révolutionnaire, bénéficiant d’une manœuvrabilité inégalée. Le Mirage 6000 était équipé de canons omnidirectionnels à rayonnement laser, reléguant aux oubliettes les missiles du début du siècle. L’avion pouvait voler à Mach 6 dans les couches élevées de la stratosphère, à la limite de la stratopause et cette altitude lui permettait de couvrir une zone opérationnelle de plusieurs milliers de kilomètres carrés.

En cette année 2062, les conflits de début du siècle s’étaient apaisés. La réussite de la conférence sur le climat de Paris, qui s’était déroulée en 2015, avait été un signal fort pour tous les peuples de la terre qui avaient compris que leur survie ne tenait qu’à un fil. Elle était inscrite dans les livres d’histoire comme le point de départ d’une nouvelle ère.

Dans la foulée de cette conférence, la paix dans le monde s’était progressivement installée, les richesses de la planète étaient enfin distribuées de manière plus équitable. L’énergie fossile n’était qu’un lointain souvenir, et l’homme maitrisait enfin la fusion nucléaire qui lui permettait de disposer de toute l’énergie dont il avait besoin, sans pour cela piller les ressources naturelles.

Il était 5 heures du matin lorsqu’Ariane et Adrien décollèrent de la base de Creil. C’était l’une de ces longues journées d’hiver et le jour n’était pas encore levé. Tout juste Ariane pouvait elle deviner une frange blanchâtre tout au bout de l’horizon qui lui indiquait qu’elle avait mis le cap vers le nord-est. L’avion atteignit très vite sa vitesse opérationnelle de mach 4.

En cette année 2062, tous les systèmes embarqués étaient mus par de l’intelligence artificielle. Les progrès réalisés par les pico-technologies avaient révolutionné la vie de tout un chacun. Les avions de ligne eux-mêmes étaient désormais pilotés par des algorithmes proches de la pensée humaine. Seuls les avions militaires, pour des raisons de sécurité, avaient en partie échappé à cette règle.

Quelques minutes à peine après le décollage, la frontière franco-belge ayant été dépassée, Ariane, saisie par une étrange intuition, dirigea son avion vers Bruxelles et plus précisément vers la tour du W.I.R.C.

Le W.I.R.C, « World Intelligence Research Center », construit dix ans plus tôt et financé par toutes les grandes puissances de la planète, était devenu au fil des ans le temple mondial de la recherche fondamentale et de la recherche appliquée.

En 2062, les équipes de recherche du monde entier, regroupées au sein du WIRC, travaillaient sur le prototype du tout nouveau « MPB»

Le « MBP », littéralement «Matrix Propagation Block » ou « bloc de propagation de pensée matricielle », avait englouti des budgets considérables pour sa mise au point. L’année 2062 avait vu naitre pour la toute première fois l’ébauche du premier prototype physique.

Ariane, qui possédait un haut niveau scientifique, avait suivi avec enthousiasme le développement de ce prototype dont le but était de mettre en relation l’énergie de la pensée de tous les êtres humains selon un principe découvert un siècle et demi plus tôt par le physicien Max Planck, lequel avait modélisé les interactions énergétiques de la matière vivante par l’intermédiaire d’une matrice universelle, la fameuse et célébrissime « Matrice de Planck »

Planck avait génialement imaginé que l’action positive d’un seul être humain sur cette matrice universelle, dont les intersections symbolisaient tous les êtres vivants, pouvait provoquer des répercussions favorables sur l’ensemble des personnes ainsi reliées entre elles.

Ainsi le « MPB » selon le principe de ses géniaux inventeurs, devenait le premier amplificateur matriciel capable de canaliser, puis de diffuser un rayonnement alpha d’énergie positive, rejoignant ainsi le rêve des philosophes hindouistes vieux de plus de deux mille ans, prônant la diffusion d’une pensée universelle synchronisée sur l’inconscient collectif.

Le bloc « MPB » prototype avait été installé sous une coupole de cristal, juchée au 132ème étage de la tour du WIRC. Les pico molécules, que les physiciens avaient purifiées au maximum afin d’éviter toute émission néfaste ou parasite, avaient été programmées par un code biologique ressemblant à de l’ADN humain, afin de réaliser une première campagne expérimentale de mesures.

Ariane devina, dans cette nuit bleu indigo qui semblait ne pas finir, le dôme de cristal posé au sommet du 132ème étage de la tour.

Une lueur verte, un peu blafarde en émanait. Ariane eut la sensation étrange que cette lueur était produite par un organisme vivant. Elle se sentit happée, comme prisonnière d’une force supérieure, en même temps que sa pensée chavirait. Elle constata que les réflexes venaient à lui manquer.

Ariane se mit à lutter contre l’engourdissement progressif qui s’emparait d’elle et tentât d’entrer en communication avec Adrien, assis dans le cockpit arrière, mais ne reçut aucune réponse.

Adrien restait sourd aux appels émis sur le système de communication interne de l’avion. Par l’intermédiaire de la caméra de bord qui lui donnait un aperçu de la vision arrière, Ariane put entrevoir que le sommet du casque gris en titane de Adrien avait basculé vers l’avant, signe que ce dernier avait probablement perdu connaissance.

Ariane était une jeune femme solide. Son entrainement de pilote l’avait préparée à subir et traverser toutes sortes de situations, des plus risquées aux plus dangereuses. Dans un éclair de lucidité, Ariane venait de comprendre que le rayonnement du « MPB » échappait à ses concepteurs. Ce magma de nano molécules neuronales, juché au sommet de la tour, venait tout simplement de prendre le pouvoir sur la pensée humaine environnante…

Ariane eut à peine le temps de basculer l’interrupteur qui se trouvait sous son doigt avant de s’affaisser à son tour.

De très longues minutes s’écoulèrent avant qu’Ariane ne reprenne connaissance. Son avion était toujours en vol. En engageant tout à l’heure l’interrupteur du pilote automatique, elle avait probablement sauvé sa vie ainsi que celle d’Adrien qui ne donnait toujours aucune nouvelle.

L’avion évoluait maintenant quelque part au dessus de la Norvège, dans la nuit noire de l’hiver des hautes latitudes. Ariane tenta d’entrer en communication avec le Haut Commandement de son escadron mais s’aperçût très vite que les systèmes de communication de bord avaient été détruits par la force du rayonnement qui s’était propagé à la verticale du bloc expérimental de MPB

Elle pianota sur le computer de bord et tenta une reprogrammation des coordonnées géographique du centre de Bruxelles, à l’emplacement même de la tour du WIRC, mais l’avion ne dévia pas sa trajectoire d’un pouce.

L’avion montait inexorablement au Nord-est et Ariane calcula que son point d’aboutissement, si rien ne changeait, se trouvait quelque part au Nord de la Sibérie. Elle comprit que les calculateurs de bord du Mirage 6000 avaient été totalement détruits, et que c’était un vrai miracle que son avion puisse encore voler.

Elle comprit aussi, dans le même temps, que les deux avions civils qui s’étaient écrasés il y a peu avaient probablement subi le même phénomène, sans que les membres d’équipage ne soient en mesure d’opposer la moindre réaction.

Ariane, qui retrouvait vie au sein de son cockpit, tentât une nouvelle fois de reprendre le contrôle, mais devant la trajectoire imperturbable de son avion vers le Nord Est, elle dut se résoudre à abandonner l’idée d’une trajectoire guidée.

Le Mirage 6000 était un avion véritablement bien conçu. Au sein des bureaux d’étude, l’esprit du « vieux Marcel Dassault » trônait toujours dans les bureaux et les ateliers. Nul n’avait oublié le pragmatisme du vieux Marcel qui aimait à répéter qu’un bon avion est avant tout un avion qui se pilote !

Ainsi, les ingénieurs qui avaient conçu le mirage 6000 avaient perpétué cet esprit en équipant l’avion de commandes de vol hydrauliques, à servocommandes pilotées manuellement, comme dans l’ancien temps.

Ariane sentit presque le souffle du vieux, penché sur son épaule qui lui disait : «Vas-y Ariane, à toi maintenant… débranche le calculateur et pilote ! »

Ariane actionna le mini levier qui libérait l’engagement manuel des servocommandes et elle constat avec soulagement que l’avion répondait maintenant à la pression qu’elle exerçait sur le mini-manche de secours, qui d’habitude ne servait strictement à rien.

Ariane décida de revenir sur Bruxelles. Elle avait pris sa décision. Elle devait pulvériser le magma de MPB qui ne tarderait pas à menacer l’humanité toute entière si on le laissait ainsi dans un processus d’auto expansion incontrôlé.

Elle fit un 180 degrés, et après avoir consulté sa montre, elle en déduit qu’elle se trouvait environ à quinze minutes de son objectif. La voix de son grand-père lui revint furtivement en mémoire : « le cap et la montre ! » disait t-il souvent en riant alors qu’il l’emmenait, lorsqu’elle était petite fille, dans ses ballades aériennes.

Ariane se prépara mentalement à résister à la force de l’attraction mentale du rayonnement alpha du bloc de MPB. Elle savait qu’elle allait devoir l’affronter de nouveau et qu’il lui faudrait chercher en elle des ressources insoupçonnées.

Les longues heures de méditation qu’elle avait pratiquées lui avaient appris à dégager sa pensée de toutes les sollicitations extérieures. Elle commença par calmer son mental par une respiration adaptée, et visualisa par avance son objectif détruit comme si elle en était venue à bout.

Mais Ariane ne savait pas si les canons lasers du mirage 6000 seraient encore opérationnels. Elle s’en remit à l’esprit du « Vieux Marcel » pour que cela fût le cas.

L’avion se rapprochait désormais de Bruxelles. Le jour commençait à éclairer les vastes prairies qu’Ariane devinait maintenant sous l’intrados du Mirage 6000. Il lui restait environ quatre minutes de vol avant de survoler de nouveau la ville et elle pouvait apercevoir, très loin devant elle, la minuscule silhouette de la tour du WIRC.

Au fur et à mesure qu’elle s’en rapprochait, Ariane constatait que la sensation étrange qu’elle avait éprouvée tout-à l’heure s’emparait de nouveau d’elle, mais cette fois-ci, elle fit bloc avec sa propre pensée. Ariane savait que le combat singulier dans lequel elle s’engageait serait probablement le plus difficile qu’elle aurait jamais à mener.

C’était le combat de la liberté contre la soumission. L’avenir de l’humanité dépendait maintenant de la capacité des canons lasers du mirage 6000 à se caler sur leur objectif et à le détruire, mais il dépendait surtout de la capacité d’Ariane à dominer le rayonnement alpha de ce bloc de matière vivante dont les effets avaient totalement échappé à ses concepteurs.

Cette fois-ci, Ariane put deviner le dôme, entouré de son halo de lumière verdâtre. Elle constata que la puissance du rayonnement s’était encore accrue.

Malgré qu’Ariane soit de nouveau envahie par une paralysie progressive de tous ses membres, elle trouva la force d’armer le système de guidage du rayonnement laser. Elle avait verrouillé la cible par le positionnement de sa pupille au travers du viseur intelligent intégré à la visière de son casque.

Ariane était hyper concentrée. Plus rien désormais ne pouvait la détourner de son objectif. Il ne lui restait plus qu’un acte à effectuer, elle devait maintenant presser le bouton rouge situé sous son pouce droit, celui là même qui allait déclencher la riposte fatale au bloc de MPB.

Mais Ariane s’écroula sur son tableau de bord avant d’avoir pu réaliser ce geste. Le sort de l’humanité toute entière venait peut-être de se jouer à un dixième de seconde près.

L’avion continuant sa trajectoire venait de dépasser Bruxelles et volait maintenant, tel un avion fantôme dans le jour naissant.

C’est le bruit du réacteur qui sortit Ariane de sa torpeur. Elle releva doucement la tête pour sortir de son coma hypnotique. Près d’elle, volant à la même altitude, elle aperçut un autre mirage 6000 qui n’était autre que celui du général commandant en chef de la force aérienne du 18ème escadron.

Ariane vit que le général tournait la tête vers elle pour tenter d’entrer en contact. Elle ne voyait que la visière de son casque. Ariane essayait désespérément de rassembler ses pensées, afin de comprendre la situation dans laquelle elle se trouvait.

Quand soudain, elle vit, au travers de la verrière de son cockpit, le général agitant son pouce, levé vers le haut.

Ariane comprit alors que sa mission avait été couronnée de succès. Elle se sentie envahie par le bonheur et la fierté de cette réussite. Pourtant, elle ne cessait de faire défiler dans sa tête chaque micro seconde de l’intervention. Que s’était-il passé ? Qui donc avait déclenché la riposte fatale au MPB, puisqu’elle n’en avait pas eu le temps ?

Ariane fut de nouveau saisie par une immense joie. Elle venait de comprendre que le geste salvateur avait été réalisé par Adrien.

Ainsi, Adrien qu’elle avait cru inanimé derrière elle, avait saisi en même temps qu’elle tout l’enjeu de la situation. C’est lui qui, de sa place arrière, avait déclenché le tir à l’instant précis où il le fallait.

Ainsi Ariane avait verrouillé l’armement sur l’objectif, et Adrien avait terminé la tâche en libérant la charge qui avait pulvérisé le bloc de MPB.

Un peu plus tard, cette affaire fut portée à la connaissance de tous les états qui avaient participé au programme international de recherche. Il fut décidé d’abandonner toute expérimentation impliquant directement ou indirectement le contrôle de la pensée humaine. Les livres millénaires portant sur les techniques de méditation orientale furent réédités en masse dans le monde entier au grand bonheur de tous les êtres humains qui se réappropriaient ainsi le contrôle de leur sagesse retrouvée.

Quelques mois plus tard, Ariane et Bastien qui, depuis cette mission étaient devenus inséparables, finirent par unir leurs existences. Et à la fin de l’année, naquit un tout nouveau bébé pilote, aux joues toutes roses, qu’ils appelèrent Guillaume, sans doute en référence à la volonté de son papa, qui tel le Wilhelm de la légende avait combattu le mal, avec un casque sur la tête. C’est ainsi que 2062 fut probablement la plus belle année du 21ème siècle.

Fin

Le Prix 2016 Mode d’Emploi

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Palmarès :
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