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Comme des avions sans elles ?

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Elle reprit le contrôle juste avant que les roues ne touchent le sol. Leur mission était, certes, remplie. Mais à quel prix ! L’engin roula sur l’herbe quelques temps avant de venir s’immobiliser devant le hangar. Aussitôt, tout le monde se précipita. Thérèse perçut les applaudissements mais, désignant tour à tour et le moteur et ses oreilles, fit comprendre à chacun qu’elle demeurait pour le moment sourde à toute sollicitation. En tant que femme, elle avait le privilège de s’isoler un instant, pour se « se refaire une beauté » avant le debriefing. La galanterie obligea donc tous ces messieurs à ronger leur frein en attendant que leur belle égérie ne daigne réapparaitre.

C’était une belle journée : pas un seul nuage. Durant le vol et ses préparatifs, le soleil était monté jusqu’à son zénith. Ses rayons frappaient désormais les tôles du hangar jusqu’alors demeuré à l’ombre de la forêt. S’y engouffrait depuis la piste un air chaud venu de l’océan, et qui embaumait les pins. C’était sur ce même léger souffle thermique que Thérèse venait de progresser, de virer par deux fois et de maintenir ainsi, malgré ses épouvantables oscillations, la course circulaire de l’avion jusqu’à cet atterrissage des plus académiques. Cette brise avait été son amie à la différence de cette soudaine et terrible rafale de début Janvier, et qui avait assassiné son Léon. Cet intrépide faucheur de marguerites l’avait été à son tour, dans la fleur de l’âge et sa cruelle disparition hantait Thérèse depuis lors. Elle se précipita dans l’appentis pompeusement baptisé (dans un anglais approximatif et à la peinture blanche) : Water-Close, pour vite dissimuler ses larmes à son public. Quelqu’un y avait accroché un rétroviseur de véhicule automobile : une délicatesse en son honneur sans doute dans cet univers essentiellement masculin. Il y avait donc encore parmi tous ces hommes, un quidam portant attention à la personne humaine plutôt qu’uniquement à ses potentielles prouesses ? Mais qui ? Très certainement pas Henri qui se pavanait désormais partout dans Paris pour avoir réussi l’exploit de transporter cette dinde de Lucienne Delcher depuis Étampes jusqu’à Angerville ! D’ailleurs, personne n’avait aperçu ce crâneur de toute la matinée. Sans doute sa peur panique d’un manque de journalistes l’avait-il contraint à se décommander à la dernière minute …

Un bruit sec claqua sous les tôles. Thérèse pensa aussitôt à son moteur qu’un mécanicien voudrait redémarrer sans son autorisation. Mais la déflagration fut aussitôt ponctuée de cris d’allégresse, de rires, de hourras, et l’apprentie pilote comprit qu’ils en étaient déjà à sabrer le champagne. Dans la pénombre, dans ce semblant de miroir, elle regarda couler ses larmes et se dit qu’il existerait toujours un gouffre infranchissable entre les hommes et les femmes. Elle se remémora alors l’atelier de sculpture, l’odeur sèche du marbre, sa première visite suivie immédiatement de sa première pose en tant que modèle pour Léon. Il n’était que d’un an son aîné, mais il avait eu dès ce premier jour comme une ascendance sur elle, un pouvoir étrange auquel elle ne put résister. Elle imagina que cet état dans lequel subitement voltigèrent ses vingt cinq ans était ce même décrit par Stendhal, (cet auteur du début du siècle mais dont on s’arrachait toujours les romans), sous le terme de cristallisation amoureuse. Bien sûr, comme toute femme, elle tenta d’abord de nier cette emprise : elle était une fille de caractère, moderne, ne se considérant en rien inférieure aux garçons. D’ailleurs, elle prouva très vite à Léon ses propres capacités artistiques, son aptitude à manier les ciseaux et le maillet, à jouer avec le grain de la roche sans craindre de s’abîmer les ongles. Bientôt, tout comme lui, elle exposerait. D’ailleurs, elle n’avait qu’à regarder le travail de son amie Camille ! Qui pourrait sérieusement prétendre que cette dernière était encore aujourd’hui l’élève de Rodin ! L’émancipation soudaine des femmes faisait sans doute craindre à tous ces messieurs une perte de leur pouvoir, alors qu’au contraire cette nouvelle génération de filles, à l’aube de ce siècle, tentait d’enrichir de leur propre sensibilité féministe, leurs compagnons, prisonniers depuis toujours de leur point de vue essentiellement phallocratique.

Pourtant, Mademoiselle Peltier dut s’avouer que c’était bien cette même cristallisation, (ce phénomène psychologique par lequel le sujet recherche la perfection dans l’être aimé) qui l’avait fait décliner cette première invitation à exposer son propre travail au salon du Champ-de-Mars pour suivre bêtement son Léon dans sa nouvelle lubie : l’aviation ! S’il avait fallu désigner nommément un coupable à tout cela, Gabriel figurerait comme le premier sur la liste des suspects. Ce garçon, quoique très doué, avait abandonné le dessin au sortir des Beaux-Arts, pour se livrer tout entier à une passion des plus puériles : faire s’envoler des plus lourds que l’air à la façon des oiseaux. L’aérostation serait dépassée et il n’était plus question pour lui que de concevoir ses aéroplanes, et qui plus est, de les motoriser. Il avait réussi jusqu’à présent à planer au-dessus de la Seine grâce à un cerf-volant de son invention tracté par une vedette équipée d’un moteur Panhard de plus de deux cent cinquante chevaux. Pour lui, l’avenir était donc dans la puissance de ces modernes moteurs à explosions, plus légers que les traditionnelles turbines à vapeur et qu’il suffirait d’embarquer sur une nouvelle machine volante qu’il se faisait fort de dessiner. Thérèse ignorait tout cela. Elle travaillait alors à rendre dans le marbre le velouté diaphane de la peau, la finesse des articulations, les poignets, les chevilles, le cou et ses tendons afin de mieux faire percevoir à ses contemporains la délicate fragilité du corps humain. Elle cherchait également à exprimer par ses sculptures les émotions, les sentiments cachés que révèlent nos anatomies. Ses sujets étaient principalement des enfants, des vieillards mais elle s’était également lancée depuis peu dans une série d’études sur les chats, du fait d’un bloc de marbre noir que Léon avait acquis pour un projet, puis abandonné. Depuis son succès lors de son exposition au Salon des Artistes Français qui l’avait récompensé d’un premier prix, il était reconnu dans tout Paris et avait beaucoup vendu. Du coup, peut-être imbu de lui-même, il avait délaissé son art, (un peu comme si l’argent avait émoussé sa sensibilité), et dépensé toutes ses économies dans la construction d’un premier aéroplane. Bien sûr, ce premier prototype fut loin de contenter son inventeur mais permit surtout à ce filou de Gabriel Voisin, appelé en renfort pour ses précieux conseils, de lui vendre sa propre production. Cela engendra dans le jeune couple une terrible querelle : le talentueux sculpteur Léon Delagrange s’étant tout à coup mué en un moderne aviateur !

− Léon ! Qu’est-ce que tu fais ? Tu ne vois pas que ce garçon est un escroc ! Il t’entraîne dans une aventure qui n’a ni queue ni tête ! Tu es maintenant un artiste côté et tu vas te perdre dans des jeux de casse-cou comme un gamin ! Pourquoi ne reprends-tu pas ton Envol des Cygnes ? Tu oublies sans doute que c’est une commande d’État de Monsieur Jules Ferry ?
− Ma pauvre Thérèse, mais tailler le marbre c’est dépassé ! Je ne veux pas croupir dans les musées ou sur des fontaines publiques. Moi, mon matériau, c’est désormais du bois et de la toile ! En Amérique, les Frères Wright viennent de réussir des vols motorisés avec virages inclinés, tu te rends compte ! Nous ne pouvons rester les bras ballants ! J’ai pris ma carte à l’Aéro-Club de France, Monsieur Archdeacon offre un prix de trois mille francs à qui fera mieux !
− Et ils ont trouvé l’imbécile qui se cassera la figure pour eux ! Tu ne crois pas que tu vaux plus que cela ! Ta vie n’a pas de prix, mon chéri !
− Si c’est pour la passer avec une hystérique, cela ne m’intéresse pas ! Tu sais où est ta Camille Claudel à l’heure où je te parle !
Souvent, face à la bêtise masculine, le plus sensé est de ne pas insister. C’est du moins ce qu’à l’époque Thérèse pensa :
− Alors va pour ton aviation, mais nous la ferons à deux !
− A deux ?
− Tes frères Wright, ils sont combien ?

Elle pensait réellement qu’il changerait d’avis. Que les avions n’étaient qu’une passade. Peut-être un nécessaire sujet d’inspiration pour son Envol des Cygnes et dont il ne se sortait pas. Son ébauche en argile avait pourtant beaucoup de grâce : les cinq volatiles décomposant le mouvement des ailes au moment où l’animal s’élève du sol. Léon s’était servi pour cela de clichés photographiques aimablement tirés par Monsieur Nadar. Fixer le moment, décomposer le mouvement, la vitesse, tels étaient les nouveaux enjeux de l’Art et non ceux de répondre à des paris stupides comme à Longchamp ! Seulement, Gabriel Voisin avait également vendu un de ses cercueils volants à Monsieur Santos-Dumont qui, délaissant ses dirigeables, venait, aux commandes d’une de ces machines propulsée par un moteur Antoinette de cinquante chevaux, d’effectuer un vol de deux cent vingt mètres au parc Bagatelle. Antoinette ? Qui avait eu l’idée saugrenue de baptiser un moteur d’un prénom féminin ? Aussitôt, Léon tomba amoureux de cette merveille et commanda pour sa machine rien moins qu’un V8 à Monsieur Levavasseur. Les hommes sont en cela très curieux, s’étonna déjà à l’époque Mademoiselle Peltier de ce qu’ils préfèrent aux femmes des monceaux de ferraille malodorante ! Cette pensée nauséabonde la ramena à l’instant présent. Elle se trouvait désormais comme prisonnière dans cette cabane insalubre, empestant l’essence et le tabac froid, avec derrière la porte tous ces hommes qui ne souhaitaient qu’une chose : la porter en triomphe ! Mais de quel triomphe se serait-il vraiment agi ? Elle soutira d’une bonbonne un peu de carburant dans un cendrier pour nettoyer les tâches de cambouis ayant souillé son foulard de soie.

Bien sûr il eût été malhonnête de la part de Thérèse de bouder aujourd’hui ce plaisir qu’elle avait ressenti pour la première fois quand, le onze avril mille neuf cent huit, Léon vola devant ses yeux éblouis ses trois mille neuf cent vingt-cinq mètres, la fierté de voir son homme se faire décerner par l’Aéro-Club Français ce brevet de pilote d’aviation coté numéro trois, ou encore l’euphorie qui la saisit un mois plus tard quand à Turin, il avait parcouru dans les airs plus de douze kilomètres en moins de quinze minutes ! Il serait tout aussi immoral de taire le véritable orgasme qu’elle avait éprouvé quand, le huit juillet de cette même année, Léon l’emporta au septième ciel dans son avion et fit d’elle la première passagère en aéroplane de tous les temps. Mais qu’était-ce que tout cela aujourd’hui, cette jubilation, puisque désormais son Léon chéri était mort, ici-même lors de ce terrible accident ! Les larmes, un instant taries, affluèrent à nouveau dans les yeux de celle qui ce matin était proprement devenue, à l’égal de son homme, une aviatrice. Elle avait volé seule pour la première fois, terriblement seule, honorant par là la mission qu’elle s’était elle-même attribuée : rendre hommage à son amour sur ce même champ-aérodrome de la Croix d’Ins où, six mois plutôt, aux commandes de l’appareil de Monsieur Blériot, son Léon adoré s’était tué. Alors évidemment, pour tous ces messieurs du Club, ce vol qu’elle venait de réaliser, était d’abord leur mission à eux : l’accomplissement d’un nouvel exploit aéronautique à comptabiliser par leurs soins, d’un nouveau brevet à décerner à leur nouvelle et toute première membre féminine. Désormais, elle leur appartenait, tout cela devait être authentifié, célébré, marqué d’un énième prix, sans la moindre pensée pour leur ami massacré par cette compétition imbécile que se livraient entre eux tous ces mâles. L’héroïsme de Thérèse masquerait la fin tragique de Léon pour tous ces pilotes habitués à casser du bois et pour lesquels la mort pimentait leurs terribles jeux. Thérèse n’était pas dupe, nombre de prix étaient désormais financés par l’Armée, les avions étant vite devenus pour les militaires des armes potentielles à développer au plus vite face aux récentes menaces de conflits. Elle songea à Madame Ferber qui avait perdu un an auparavant son beau capitaine. A leur bébé. Elle aurait du l’écouter. Mademoiselle Peltier eût un haut-le-cœur. Tout cela ne correspondait plus en rien à sa vision artistique, pacifiste, sentimentale du monde. Si l’aviation devrait se développer pour, selon Léon, transporter les gens à travers les nuages, afin de les faire voyager plus vite et plus loin, pour les relier dans leurs histoires d’amour, de vie, de paix, comment faire confiance à toutes ces têtes brûlées prêtes à vous entraîner dans la mort du fait de leur orgueil démesuré?

La jeune femme, éprouvée par toutes ces pensées, chercha à s’assoir ailleurs que sur cette horrible tinette. Ce matin, bien qu’ayant suivi à la lettre les recommandations de Léon pour pouvoir décoller, conserver de l’altitude, virer sans décrocher puis enfin se poser, elle avait connu la peur de sa vie. Elle songea alors au confort possible des futurs passagers aériens. Aussi, à leur sécurité qui ne pouvait être abandonnée à de mauvaises mains … Ces futurs voyageurs des airs ne souhaiteraient très certainement pas voler comme on joue à la roulette russe … Il leur faudrait à tous, pour veiller sur eux, pour les rassurer, mieux que des hommes : des femmes qui seules semblent connaître le prix non commercialisable de la vie. Des hôtesses ! Voilà, c’était le mot : des hôtesses qui les accompagneraient tout le long de cet état artificiel d’apesanteur et que représente un vol dans les airs.

− Et si par malheur, l’avion tombe au-dessus d’un lac, meurt-on noyé ou peut-on encore être sauvé ?

Mais pour Mademoiselle Thérèse Peltier, toute cette aventure s’arrêtait là dans ce qu’elle n’osa appeler des toilettes : elle se jura de ne plus jamais voler, elle allait de ce pas reprendre le chemin de son atelier de sculpture et qu’elle n’aurait jamais du quitter. Elle ressentit un nouveau haut-le-cœur : sans doute le fait d’être trop longtemps demeurée accroupie. Elle essuya promptement ses yeux, en surligna rapidement le contour de ce crayon gras qui ne la quittait jamais, redonna du volume à sa chevelure que le vent de l’hélice avait plaqué sur son crâne. Elle ne voulait surtout en rien leur paraître hideuse. Un trait de ce rouge à lèvres (offert par cette jeune et si agréable Coco Chanel) lui fit retrouver l’arrogance de son sempiternel sourire. Elle fit gracieusement bouffer les plis de sa cape-manteau afin d’occulter au mieux l’inesthétique proéminence de son ventre. Enfin, elle sortit à leur rencontre.

Évidemment, ils étaient tous là : Monsieur Esnault-Peltrie venu pour vendre son moteur en étoile et dans lequel personne ne croyait, Monsieur Santos-Dumont toujours si maniéré qui présenta aussitôt à l’héroïne du jour un grand dadais à l’allure sportive : Monsieur Garros qui avait eu l’extrême amabilité de le véhiculer depuis la capitale. Ce serait désormais ce bel éphèbe qui piloterait la Demoiselle. Ce garçon avait beaucoup d’allure, possédait une voiture sportive remarquable, pratiquait le rugby au stade Français et était éminemment fair-play ! Messieurs Vuia et Paulhan discutaient comme toujours avec Charles et Gabriel ; Louis, escorté de son fidèle Mamet, inspectait les ailerons : Avaient-ils souffert ? Ces deux avionneurs manifestaient des prévenances inouïes pour cette machine qu’ils avaient cru entendre tousser dans le dernier virage. On aurait cru des papas-poules se penchant sur le berceau de leur nouveau-né ! Ils s’en inquiétaient bien plus que de ce qu’aurait pu ressentir durant le vol leur aviatrice ! Thérèse préféra saluer puis complimenter en retour Messieurs Sommer, Tissandier, et reconnut à sa barbe Monsieur Gasnier :
− Vous a-t-on proposé quelque chose à boire ou à grignoter, mon cher René ? Désirez-vous autre chose ?
− Merci, Heu … Mais … On a déj…
− C’est gentil d’être venu de si loin, Bordeaux est au bout du monde, je suis confuse …
Puis au jeune Bréguet, qui visiblement cherchait au milieu de tout ce monde une compagnie:
− Souhaitez-vous que je vous débarrasse de votre bagage, mon cher Louis ?

Par contre, elle évita le plus possible tous ces officiels, ces militaires, et surtout tous ces photographes si agressifs et discourtois. Pour l’heure, ces derniers semblaient affairés et encerclaient quelques autres as qui devaient sans doute, au vu de leurs gesticulations, leur octroyer une importante et passionnante conférence de presse. Fort heureusement cette distraction fit qu’ils ne photographièrent pas l’appareil. Sans doute également Monsieur Blériot le leur avait-il formellement interdit : il ne faudrait pas confondre réclame et espionnage ! Enfin, le cercle des journalistes s’écarta, laissant apparaître dans toute leur gloire les deux Farman : ils étaient soi-disant descendus de Paris à Bordeaux en moins de deux jours six heures sur leur vélocipède-tandem à pneus Michelin ! Comme toujours, Henri faisait son coq ! Il dirigea son équipage vers Thérèse, joua avec son co-pilote de frère à faire devant elle du sur-place, sans se douter seulement du ridicule de leurs caleçons et de leurs maillots ni de celui de leurs imposantes moustaches en forme de guidon:
− Alors Cocotte, t’as pris ton pied sans ton Léon, à ce qu’il paraît ! Dommage que tu ne m’aies pas attendu, ma poule, je t’aurais dévoilé tout les secrets du manche à balai … T’es drôlement mign …

La gifle que ce prétentieux pionnier reçut ce jour-là de Mademoiselle Thérèse Peltier, (tout aussi, sinon plus pionnière que ce vaniteux dans ce monde de machos), fut très certainement mémorable. Malheureusement, aucun des photographes présents n’eut le réflexe de l’immortaliser.

En même temps et pour être tout à fait honnête, nous faut-il aujourd’hui avouer qu’à sa décharge, cette presse d’alors n’était encore elle aussi composée que de garçons !

Fin

 

Le Prix 2016 Mode d’Emploi

Sélectionnez parmi les 17 nouvelles de la catégorie Adultes du Concours organisé par les Rencontres Aéronautiques et Spatiales de Gimont, les 5 meilleures selon vous.

Le thème :
– « Elle reprit le contrôle juste avant que les roues ne touchent le sol. Leur mission était, certes, remplie. Mais à quel prix ! »

Les critères de notation :
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Palmarès :
– Il sera rendu public le 1er octobre 2016 à Gimont (Gers) à l’occasion de la 12ème édition des Rencontres Aéronautiques et Spatiales de Gimont (30 septembre – 2 octobre 2016).

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