Deux ans après s’être doté d’une tête de pont à Pékin, ATR a décroché en juin 2017 ses deux premiers contrats avec des compagnies chinoises. Dans le même temps, le constructeur franco-italien a mis au point avec l’ENAC une formation intégrée d’élèves pilotes de ligne (EPL) débouchant sur une qualification de type ATR.
ATR duplique en Chine la stratégie qui lui a permis de prendre pied au Japon. En Chine, le constructeur doit composer avec le protectionnisme ambiant. D’où la limitation de ses ATR 42-600 à 30 sièges pour ne pas concurrencer les constructeurs chinois.
Outre le protectionnisme avec lequel il faut composer, ATR doit aussi anticiper les besoins en formation de ses futurs clients chinois, et plus largement, asiatiques. Ces pays ont commencé par s’équiper avec des avions moyen et long courrier, délaissant complètement le transport régional. D’où la stratégie d’ATR d’élaborer une offre globale, en partenariat avec l’ENAC déjà implantée en Asie du Sud-est et en Chine.
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Avancer des pions sur un damier chinois c'est risquer la phagocytose.