La collection de podcast d'Aerobuzz. Chaque samedi à partir de 17h30, un nouvel épisode. © Aerobuzz.fr.
Que vous soyez pilote de ligne, de guerre ou du dimanche, votre premier vol solo est gravé dans votre mémoire. Pas toujours facile d’exprimer ce que vous avez ressenti à ce moment-là, même si le souvenir est intense.
Dans son livre « Quand l’ombre se détache du sol », l’auteur italien Daniele Del Giudiche exprime ses sentiments au moment de son lâcher. C’est le premier texte que nous avons choisi de vous faire écouter dans notre nouvelle série de podcasts intitulée « Poétique du ciel ». Un texte dans lequel vous devriez vous retrouver.
« Il faut avec les mots de tout le monde écrire comme personne. », affirmait Colette. C’est ce qu’a réussi ici Daniele Del Giudiche.
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Mon lâcher : un instant, un si bref instant qui a transformé cette expérience en un temps suspendu si bref, si furtif que la perception reste lointaine. Juste un tour de piste dans un avion léger et pour la première fois je vole mais si peu jusqu’au moment de recommencer mieux, puis de mieux en mieux. Et là le temps reprend sa vrai mesure et c’est parfois long.
Je me souviens juste de mon lâcher Falcon 10...
...Ou me premier vol en 319 avec un copilote normal (non instructeur) : avion portes fermées, pas sous tension, pas prêt, plein de pannes dont certaines nécessitaient des "resets" longs (un Airbus, c'est comme un PC, ça plante et il faut tout couper parfois et faire un redémarrage selon la procédure).
Je n'ai jamais eu ensuite à prendre en compte un avion dans un tel état ! On a pratiquement fait l'heure, je crois, et on a terminé les derniers "resets" pendant l'escale suivante.
Eh ben moi que du dernier...en même temps Alzheimer 🤣🤣🤣
Et pas que le premier lâcher..... le lâcher sur type d’avion c’est aussi quelque chose.... pas prête d’oublier celui sur Mouss.....