Le Conseil international des aéroports (ACI World) et l’Association du transport aérien international (IATA) demandent que les coûts liés aux mesures sanitaires destinées à réduire la propagation des maladies transmissibles soient assumés par les gouvernements.
Alors que les scientifiques sont de plus en convaincus qu’il ne sera pas possible d’éradiquer le Covid-19 et qu’il va falloir faire avec, il apparaît évident que les mesures de sécurité sanitaires mises en œuvre dans les aéroports et les avions sont appelées à durer. Les compagnies aériennes et les exploitants aéroportuaires demandent à participer aux discussions sur la faisabilité des solutions proposées par l’OACI visant l’harmonisation entre les pays. « Il est reconnu qu’un ensemble hétéroclite de cadres risque de confondre les voyageurs, de provoquer des inefficiences et d’entraîner des coûts de conformité additionnels inutiles pour les passagers, les aéroports et les compagnies aériennes », précisent dans un communiqué commun l’ACI et l’IATA.
Aéroports et compagnies demandent que « les coûts supplémentaires des mesures sanitaires exigées par les gouvernements doivent, conformément aux recommandations de l’OMS, être assumés par les gouvernements. »
Dévoilé dès l'ouverture du Salon Aero 2024 de Friedrichshafen, la nouvelle version du bimoteur Tecnam… Read More
General Atomics et Anduril sont sélectionnés pour la première étape d’un développement financé par l’US… Read More
Député, ministre des Transports, pilote, influenceur, Jean-Baptiste Djebbari est l'invité live de Ground Frequency, le… Read More
Pour assurer la défense de la Province face aux feux de forêt, la Saskatchewan utilisait… Read More
Le chiffre d’affaires de Safran au premier trimestre 2024 s’établit à 6,220 Md€, en hausse… Read More
Installée sur un banc d'essai au sol, cette chaîne de propulsion électrique-hybride du futur avion… Read More
View Comments
Les bénefs dans la poche du privé et les coûts à l'État ou au "bon peuple" (qui sont toujours là pour ça) : la logique "libérale" depuis des siècles.
Pourquoi des mesures spécifiques pour les aéroports et transporteurs aériens et rien pour les autres opérateurs de transport public; trains, gares, bus...?
Qui supporte les coûts d’utilisation des avions et infrastructures ? Les usagers, je présume et il faudrait que l’état, donc les contribuables, paient les nouveaux coûts ? Je ne suis pas contre l’avion, je suis pilote, mais je trouve que la réclamation dépasse les bornes !