Colette aimait le ciel. Une escapade en aéroplane, un vol de prestige à bord d’un dirigeable étaient pour elle l’occasion de mettre en mots des expériences enrichissantes et d’assouvir sa curiosité. Grâce à elle, la conquête de l’air occupe une place de choix dans la littérature. Dans « Là-haut », l’extrait que lit Gérard Maoui, Colette rend compte de son vol à bord du dirigeable Clément-Bayard n°4, le 13 juin 1912.
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Dans La Foule
Colette : Oeuvres, tome 2
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Cette rurale à l'accent bourguignon a tout dit d'un mot : il y a deux races, ceux d'en bas et nous ! .... voila qui pourrait être affiché à l'entrée des aéroclubs et autres lieux des amoureux de l'Air .....
qui aurait cru cela de cette paysanne ?
Une découverte