La DGAC a élaboré un projet d’arrêté relatif à l’utilisation commerciales des ULM. La Fédération française de l’ULM qui a été associée aux travaux estime que le cadre proposé respecte les spécificités du système déclaratif propre à l’ULM.
Ce projet d’arrêté est la réponse de la DGAC aux recommandations émises par le Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) depuis 2016, à la suite d’une série d’accidents survenus lors d’opérations commerciales en ULM. « Beaucoup de mesures contenues dans cet arrêté sont déjà mise en œuvre dans les organismes qui proposent des vols rémunérés, et qui ne feront que continuer à les appliquer. », commente la FFPLUM, qui salue le fait que les clubs pourront continuer à proposer des vols de découverte « avec des procédures simplifiées moins contraignantes que les celles applicables aux vols locaux à titre onéreux concernant la gestion des risques et l’élaboration d’un manuel d’activité. »
La FFPLUM approuve également qu’« un simple certificat médical de non-contre-indication signé par un médecin généraliste » suffise pour les pilotes réalisant des vols à titre onéreux avec des passagers .
La publication de cet arrêté est prévue au 4ème trimestre 2024, avec une période de transition de 12 mois après sa parution au Journal Officiel. Le monde de l’ULM souffle. Celui de l’aviation certifiée dénonce les conditions d’une concurrence déloyale.
Le centre de formation Cockpit English a publié un guide destiné au pilote VFR comme… Read More
Entre projet scientifique et expérience artistique, la mission "Sanctuary", entend placer sur notre satellite naturel… Read More
Bernard Certain a été responsable des essais en vol du programme des Écureuils chez Airbus… Read More
Lockheed Martin va recevoir une enveloppe de 7 milliards de dollars pour l’entretien des bombardiers… Read More
Joby Aviation a annoncé avoir complété son programme d'essais en vol de préproduction pour son… Read More
Les forces spéciales américaines renoncent (pour l’instant) à leur projet de MC-130J amphibie. Le jouet… Read More
View Comments
Il va falloir cesser de qualifier d'ULTRA LEGER un aéronef qui dépasse allègrement pour la plupart les 500 kg et que l'on cesse du coup d'avoir deux poids deux mesures avec un avion en CNRA et les ULM
... et qui bientôt avec la turbine va tutoyer les 200 kts ...