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Le pilote des Caraïbes se raconte

« Allô la tour ? Y’a un bœuf dans le cockpit ! » est l’histoire authentique de Simon Hayot, un pilote des Caraïbes qui, à partir des années soixante-dix, vécu avec son propre DC3, une aventure aérienne inimaginable aujourd’hui…

2. Chargement des boeufs à l'intérieur du DC3Simon Hayot n’est pas (très) connu dans le monde du transport aérien. Ceux qui ont trainé du côté des pistes des aéroports du Lamentin à Fort-de-France ou du Raizet à Pointe-à-Pitre (on ne parlait évidemment pas...

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37 commentaires

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  • Je viens de lire votre livre et me voila plongée dans des souvenirs de jeunesse à l’aéroclub du lamentin. Plus âgée que vous, j’avais 16 ans en 1966, et je prenais alors mes premiers cours de pilotage avec monsieur M. Mathieu sur un piper colt que d’autres en se moquant appelaient « le fer à repasser ». Nous n’étions que deux filles à piloter à cette époque d’où quelques petits privilèges comme ne pas sortir l’avion du hangar nous-mêmes etc… et c’est vrai beaucoup de débrouille et moins de paperasse.
    Votre livre m’a fait replonger dans cette époque incroyable, j’y ai retrouvé des noms, des lieux, une ambiance. Formidable. Merci

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  • Bonjour à vous !

    Je recherche le contact mail d’un de mes grands amis perdu de vue depuis quelques années . Il s’agit d’Hubert Chouvenc avec qui j’ai travaillé à St-Louis du Sénégal , ce pilote d’épandage chevronné et auteur de Pilote de Brousse .
    l’admail je j’avais ich@free.fr ne correspond plus à rien .
    Je lance unS.O.S et balance une bouteille à la mer avec le vain espoir qu’un pilote pas forcement chevronné se pose sur la piste de sa nouvelle admail !
    J’ai confiance en vous !!! Vous connaissez peut-être la piste de Nantes-Atlantique et même avec un très gros porteur , dites moi que ça ne vous fait pas peur , n’est-ce pas ??
    A bientôt de vous lire et le 1er qui saura retrouver Hubert Chouvenc méritera un vol spécial à bord d’un bi-plan An 2 à destination de Mars !!! c’est déjà une certitude !

    Merci infiniment à vous !
    Mes aériennes salutations !

    Philippe Piron

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  • Bonsoir, moi aussi j’aime bien les identités à clés 😉 et j’ai bien l’intention de lire ce livre. Je suis le cousin germain de Matthieu (cousin de Gilles et fils d’Edouard et Marizon) qui a dû voler dans ta compagnie et qui nous a quittés trop tôt. Papa était pilote et je le suis devenu aussi. Ce doit être un trait de caractère des Békés. Nos ancêtres étouffaient en métropole et on est difficilement plus libre qu’à la barre d’un voilier ou aux commandes d’un zinc (un hélico pour moi) Je ne te connais pas mais j’ai hâte de lire ton livre. Prends soin de toi.
    Jean

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  • Cher Simon Hayot,
    je voulais dire que ce livre ne s’adresse pas seulement aux personnes qui sont dans l’aéronautique, mais à tout ceux qui ont connu cette époque et qui aiment la liberté. J’avais 10 ans en 1979, mais je me rappelle que j ai appris à faire du vélo sur la piste du Raizet, tout près des DC3, peut être celui de Simon. J ai offert ce livre a mon père car on voyageait avec des pilotes comme Rémi de Haenen, Blanchard, etc. Il a adoré ce bouquin, et moi aussi, car ce livre traduit l’esprit d’aventure de gens qui n’ont pas peur d’aller au bout de leurs idées et de leurs « folies ». Bravo à Simon pour cette histoire, rare, des Antilles et de l’Aventure.
    Alex

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  • J ai lu le livre a sa sorti en librairie quelle régal,on vit les aventures comme si on était dans le cockpit c est merveilleux.peronnage authentique et sincère. Pour l avoir rencontré dernièrement c est toujours le même a quand la suite?Merci pour tout

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    J’ai volé avec Simon quelques fois, lorsque, responsable matériel d’une grosse entreprise routière nationale française en Guadeloupe, je l’affrétai pour quelques menues corvées de déplacement de matériels entre diverses iles….. J’ai le souvenir d’un vol (à vide) de pointe à pitre à St Vincent pour ensuite aller à St Kitts en charge de l’outillage d’un chantier démantelé….. d’une ile à l’autre…….. lors du vol aller son passage sur la tranche dans le canal de St Vincent pour voir de près les baleines !!!! Et le décollage en pleine charge, Simon me disant « Charlie, tu restes derrière moi, et si ça glisse vers l’arrière, tu me tapes l’épaule pour que je coupe tout, centrage oblige !!! »
    Merveilleux Simon, merveilleux DC3 et merveilleuses Antilles….. je ne lirai ce livre qu’après le 25 décembre (cadeau de mon épouse oblige) mais je sais que je vais prendre 30 ans de moins, est c’est déjà bien…
    Charlie

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Je viens de finir le livre, lu d’une traite et ce fut un excellent moment! En fait, pour moi qui était encore pilote en Martinique juste au moment où le livre commence (je suis parti en 1975), ce fut un voyage dans le temps! J’ai connu 80% des gens cités alors que j’étais pilote instructeur en charge de l’aéroclub de Martinique, sous la direction de Michel Roufud. J’ai beaucoup ri des problèmes d’anglais de Paul Siocnarf, étant moi-même à peine passable en anglais à l’époque (heureusement ça a changé puisque je vis à Vancouver, au Canada anglais). C’est d’ailleurs ce même Paul qui m’a fait passer ma qualif sur le Beech Baron d’Amédée (directeur de la T.C.A.), incluant un virage à droite serré à 300 pieds après remise des gaz sur un moteur, passant de justesse avant le petit morne qui se trouve à droite près du bout de piste… Il était également un des instructeurs qui m’ont préparé au PP français.

    Après la lecture du livre j’ai retrouvé dans mes archives la toute 1ère affiche publicitaire d’Air Martinique que j’avais dessiné à la demande de la direction de la SATAIR, bien que n’étant nullement dessinateur (comme ça se constate!). C’était assez naïf et les horaires y étaient affichés dans la partie basse. Je mets ce petit souvenir en photo ci-dessous.

    Bien que j’aie connu une majorité des personnes citées dans ce livre, je ne me souviens pas de t’avoir rencontré Simon… Merci Simon pour ce bel ouvrage qui raconte une histoire passionnante et qui m’a permis de me remémorer les excellents moments de mes 5 ans en Martinique!

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    • Le pilote des Caraïbes se raconte
      Je pensais que la photo serait beaucoup plus petite, désolé… Malheureusement on ne peut pas éditer ses postings.

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    j ai ton livre Simon ! je me suis régalé, que de parties de joies avons nous vécu Barbuda , Dominique …etc ………… a cette époque avec l aero club a coté merci Simon
    te rapelles tu comment nous avons fait connaissance : sur la piste a Melville hall et voyage en mono moteur vers la Guadeloupe ……………………………………….

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    J’ai essayé d’envoyer depuis mon portable maisça n’a pas l’air de fonctionner, alors je réenvoie depuis mon ordi… et j’ajoute 2 photos!

    Bonjour Simon,

    Je cherchais justement des nouvelles de Michel Fortier sur internet et c’est comme ça que je suis tombé sur cette page fort intéressante (mais rien sur Michel Fortier 🙁 ) …

    J’étais PP instructeur à l’aéroclub de Martinique, dirigé par Michel D de la Satair, de 1972 à 1975 avant de partir vivre au Canada pour y devenir pilote de ligne. J’ai eu la chance de faire partie du convoyage de plusieurs DC3, pilotés par Michel Fortier, pour leur grande visite à Fort Lauderdale et j’ai passé plusieurs jours avec lui en Floride. On a aussi tous les deux enmené un BN2 en Floride que le mécano (Mon…..) avait équipé avec des fûts d’essence en places arrières. Il y avait une pompe électrique et des tuyaux en vinyle qui sortaient par les fenêtres et rentraient dans les réservoirs d’essence au dessus des ailes afin de permettre une plus grande autonomie. Je transférais le carburant à intervalles régulier pour balancer le poids dans chaque réservoir… Je n’imagine pas que ce soit encore faisable de nos jours !

    J’ai de merveilleux souvenirs de cette période en Martinique (j’avais 25 ans), mais plusieurs ne sont pas racontables par écrit!

    Je vais de ce pas commander qui va me rappeler d’excellents souvenir ! Cordialement, Patrick

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    • Le pilote des Caraïbes se raconte
      Bonjour Patrick
      Content d’avoir de tes nouvelles, the King of « Golf Kilo ».
      Un grand Merci à Simon de nous remémorer tous ces amis et ces noms qui même reconnus malgré être dissimulés nous font un plus grand bien, même avec une pensée pour ceux qui nous ont quittés.
      Merci à Simon pour ce « flashback » merveilleux, sain, une bonne leçon de vie.

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Ayant eu le plaisir d’être co-pilote occasionnel de Simon Hayot sur son DC3, au cours de cette époque, je peux assurer que ce qu’il écrit est vrai, authentique et que c’était formidable.

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Bonjour
    Acheté, lu…que dis-je…dévorer avec délectation !!! Quel plaisir ! Même si je suis un adepte des livres d’altipresse, j’ai acheté celui-la un peu par hasard, je dois dire ! Mais dès la 1ère page, je savais que je ne pourrai le lâcher avec la dernière ! Dans nos temps de sur réglementation, quelle délice de lire ces aventures d’un temps où je n’étais qu’un adolescent ! Merci mille fois à l’auteur Simon Hayot d’avoir eu le courage de nous compter des aventures absolument inimaginables aujourd’hui !!!
    Eric

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  • par Michel TREMAUD

    Le pilote des Caraïbes se raconte
    Je viens de dévorer le livre de Simon Hayot ; que d’aventures aéronautiques et humaines !

    L’Epilogue, sur une note plus sérieuse, donne un éclairage intéressant sur les aspects bureaucratiques et géo-politiques auxquels ont dû faire face les entrepreneurs tels que Simon Hayot ou Jacques Daudin.

    Contrairement à Simon Hayot, tous les commandants de bord ne payaient pas de leur personne pour charger / décharger l’avion ; sur la photo jointe, notez le commandant de bord se relaxant dans son hamac tendu entre les deux trains principaux de ce DC6 ( Fort de France – Le Lamentin – Circa 1980 ).

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  • par Jean pierre LE COQ

    Le pilote des Caraïbes se raconte
    Ancien pilote de la LIAT (islander et Trislander) en 1979 , j’ai bien connu Simon en 1980 au Raizet .
    J’ai eu la grande chance de faire quelques vols en copi sur le N841MB , en plus de mon job sur le Cessna 402 (F-OGFL) de Claude Deravin .
    Puis Air Guadeloupe / STELLAIR et BRITAIR ….
    Mon exemplaire est commandé bien sur , surtout apres l’article de INFO PILOTE de Mars ….
    Simon je t’embrasse
    Amitié
    JP

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    A la lecture des anecdotes racontées ici, je ne résiste pas au plaisir d’en partager une avec vous.

    Après avoir été chef pilote de la SATAIR Michel D était devenu pilote freelance. Alors que Simon Hayot écumait les Antilles avec son DC3 rouge et blanc, Michel D faisait de même aux commandes d’un Curtiss C-46 Commando baptisé Amazon.

    Je me souviens d’un vol vers l’aéroport d’Arnos Vale à St Vincent. Au décollage d’Arnos Vale, je trouvais l’accélération bien lente pour mon goût, Michel maintenait le C-46 en ligne de vol, mains gantées fermement sur le manche. Quelque chose semblait intriguer Michel et son co-pilote, je ne voyais pas encore quoi … jusqu’à ce que je distingue bientôt une rangée de fûts de 200 litres barrant la piste ( sûrement pour protéger des travaux ). Visiblement, aucun NOTAM n’avait indiqué cette réduction de piste que nous n’avions pas vue à l’atterrissage ( si je me souviens bien … car ceci se passe il y a 35 ans ! ). Les roues n’ont pas dû passer très haut au dessus des fûts !

    Je ne pense pas qu’il y avait à l’époque une « takeoff chart » pour chaque piste ( dry ou wet, avec ou sans obstacles temporaires, … ), pour les décollages depuis une intersection … et encore moins d’EOSID’s … mais cela était avant ( avant quoi, d’ailleurs ? ).

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    • Le pilote des Caraïbes se raconte
      Bonjour Michel,
      Le co-pilote du C-46 « Amazon » ce jour là était mon ami Michef FORTIER « Tierfor », celui-là même dont je parle dans mon livre, avec qui j’ai fait mes premières armes à la Satair Air Martinique.
      Bien amicalement

      Simon HAYOT

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Année 60. Oran-Fort Flatters en C 47. Voie Aérienne Militaire.Votre serviteur en mission de convoyage de documents sensibles.
    Les autres passagers: Deux Touaregs des Compagnies Sahariennes et leurs selles ouvragées de dromadaires (rhallas) qu’ils ne quittent jamais. Un peu de fret et des gâteries pour les copains du désert. Les encombrants dromadaires ne sont heureusement pas du voyage, ils sont restés à Flatters. Passé les zones habitées les Touaregs sont aux hublots et commentent tous les lieux survolés, reliefs , dunes ou cailloux, parcourus par eux ou leurs ancêtres au point que le navigateur me dit être dégoûté parce que « … leur point est meilleur que le mien » . Il y avait encore des zones blanches sur les cartes à l’époque. Rare exemple où les passagers servent à quelque chose !

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Je viens d’acheter et de commencer le livre, dès le premier chapitre je suis un peu déçu par un choix éditorial inhabituel ; en effet, le nom propre des différents acteurs est présenté sous forme d’un anagramme en « miroir » … c’est dommage, car ce livre est également un hommage à tous ceux qui ont initié et développé l’aviation agricole et inter-îles dans les petites Antilles.

    Je ne doute pas que le livre sera néanmoins passionnant et savoureux.

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    • Le pilote des Caraïbes se raconte
      Merci pour cette remarque, mais certaines personnes étaient opposées à voir leur véritable nom publié.
      Je n’avais donc pas le choix.
      Simon HAYOT

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    J’ai volé dans le DC3 de Simon.
    Décembre 1979, un championnat du monde de planches à voiles est organisé à Pointe à Pitre. On attend le matériel, catastrophe, Air France s’est trompé et l’a débarqué à Fort-de-France ! Le championnat commence le lendemain !
    On appelle Simon, RDV est pris au Raizet à la nuit tombée, on embarque à 3 ou 4 en vrac dans la carlingue direction Le Lamentin. Là-bas un tas de planches attend sur le tarmac. La nuit, personne, chut ! pas de bruit ! pas de lumière qu’il nous dit, on embarque tant que mal tout ça dans l’avion et on s’allonge entre deux housses pour le retour. Le championnat peut démarrer.
    Je ne sais pas si l’anecdote sera racontée, mais moi, j’achète le bouquin ! Merci Simon !

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    • Le pilote des Caraïbes se raconte
      Merci de me rapeller cette anecdote dont je me souviens parfaitement.
      Malheureusement comme je l’ai écrit dans lon livre, je n’ai pu raconter qu’une partie édulcorée de ce qui était racontable.
      Mille mercis en tous cas!
      Bien amicalement

      Simon HAYOT

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Ces épisodes ne sont malheureusement presque plus possibles.
    Je ne savais pas Simon si riche en aventures.
    Cela rappellera à mes anciens collègues de BN,
    les poulets et biquettes en ballade entre et sous les sièges.
    Epoque sympa, moins aseptisée que maintenant.

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Ancien d’Air Martinique ( 1978 – 1980 ) j’ai bien connu Simon Hayot et son DC3 rouge et blanc.

    Simon était venu à l’aviation encouragé – entre autres personnes sûrement – par mon oncle Jacques Daudin – ingénieur agronome et fondateur d’Air Martinique ( on les retrouve d’ailleurs tous les deux dans un documentaire de Pégase consacré à Air Caraïbe ).

    Les années 1970 en Martinique et en Guadeloupe ont été les années du DC3, des Britten Norman Islander et Trilander et des DHC6 Twin-Otter ; les années 1980 furent le virage vers les Fokker 27 puis la Caravelle … avant l’arrivée des Dorniers 328 et ATR 42.

    Une bien belle époque, une certaine forme de service public … et de sacré pilotes !

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    • Le pilote des Caraïbes se raconte
      Bonjour Michel,

      Je ne savais pas que tu étais le neveu de mon grand ami Jacques Daudin!
      Sur le net tu trouveras un beau reportage dans lequel apparait notre regretté Jacques:
      « Pegase Caraibes » réalisé par mon ami Bernard Chabbert.
      Ou bien en recherchant Simon HAYOT et Oiseau des ïles.
      « Island Bird » oiseau des îles était notre « Call sign » quand j’étais patron d’Air Caraibes.
      Ils l’ont replacé par « French West » ..
      Chacun ses goûts.
      Bien à toi
      Simon HAYOT

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Acheté ce soir !
    Rien que la 4ème de couv’ vaut son pesant de cacahuètes lol
    Je vous laisse, il m’attend de ses pages toutes prêtes à accueillir mes yeux zavides !

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Ma boutique préférée du coin contactée, en rayon et réservé !
    Hâte de l’avoir sous les yeux chez moi pour le lire !

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Ah bah le woualà notre remplaçant de copi dans le cockpit !
    Un peu (beaucoup) d’humour ne peut pas faire de mal 🙂

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Le transport de troup…eaux, ça se fait encore.

    Des photos sur airliners.net (voir dans « il-76 »-« cabin views ») !

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Un bouquin que j’achèterai à coup sûr. Voilà une zone de liberté en vol qui s’est, hélas, rapidement dissipée. Je me souviens avoir pris en 1998 un Yak-42 de Cubana à Juliana pour Santiago de Cuba et avoir passé tout le vol avec un jeune cabri à côté !

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    cette époque où le principe de précaution n’existait pas est définitivement révolu.

    révolue

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  • Le pilote des Caraïbes se raconte
    Mr Rivière, C’est très sympa de votre part de nous faire connaître ce livre de Simon Hayot sur cet avion mythique sur lequel j’aurais tant aimer voler. Mon père était même mécano sur C 47 dans l’armée.

    C’est avec un grand plaisir que je vais le commander pour le dévorer.

    Bonne année à vous, JS

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