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Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale

Le 10 juillet 2013, le prototype du drone furtif X-47B s’est posé sur le porte-avions américain USS George HW Bush. Il s’agit du tout premier appontage d’un appareil autonome.

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12 commentaires

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  • Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
    Bonjour,
    Le drone reste pilote a distance par un humain assiste par des systemes, donc on n’a pas a faire a un robot tout automatise (« une machine a tuer »). De tte facon ce qu’on reproche a « une machine a tuer » on l’a deja sur un missile.
    Je pense qu’il y a beaucoup de passion sur le sujet et que les pilotes n’acceptent pas l’automatisation.
    A mon avis, la vision des choses c’est qu’on gardera des pilotes (flexibilite des decisions, adaptabilite aux situations complexes, etc…), mais supervisant des flottes de drones.
    Les avantages du drone aeroporte pour les missions de patrouille, surveillance et alerte d’un groupe de porte avion sont indeniables.
    On ne peut que se feliciter de l’avancee technologique.
    a plus
    Alain

    Répondre
  • Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
    Le fantasme des ingénieurs… Des avions sans pilotes et du contrôle aérien sans contrôleurs.. Eh! Eh! çà me fait bien marrer. C’est pas demain la veille que l’ordinateur remplacera l’homme et son énorme faculté à s’adapter aux conditions extérieures et à l’imprévu…

    Nénésse

    Répondre
    • Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
      @ Nenesse

      Dans l’aviation contemporaine, quelle soit militaire (attaque, surveillance, protection, sauf tactique) ou civile commerciale, le maillon faible demeure…le pilote!

      L’aviation commerciale conservera à bord des « opérateurs système » en guise de pilotes afin de rassurer les passagers en donnant l’illusion de maîtrise humaine et afin de pouvoir reporter les responsabilités en cas de problème.

      L’actualité démontre morbidement qu’il n’est quasi plus nécessaire de savoir comment vole un avion pour se retrouver dans un cockpit (cf AF447 et Asiana214)…

      Il faut savoir vivre avec son temps…et comprendre que des humains font davantage d’erreurs que des automates, pour autant qu’ils soient conçus correctement.
      L’interfaçage homme-machine reste complexe et risqué dans la mesure où chaque individu est justement de son voisin, ce qui n’est pas le cas de machines.

      Les autoroutes verront aussi leur part d’automatisation, tendant à réduire les congestions, éliminer les As du « je-colle-au-cul », dépassements par tous les moyens, adaptation de vitesse en fonction de l’état de la chaussée, etc….

      Nier ces évidences reviendrait, il y a 20 ans, à nier le développement d’internet, du téléphone portable, du travail en réseau.
      Réaliste?

      A bon entendeur.

      Turbinator

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      • par Jean-Loup FROMMER

        Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
        @ Turbinator

        drones ou vecteur piloté, le facteur humain reste avec ses erreurs …………. mais aussi avec la possibilité de renoncer à appuyer sur un bouton pour d’éventuels dommages collatéraux.
        L’un n’ira pas sans l’autre.
        Tout comme dans le renseignement, le tout technologique a conduit au 11 septembre, alors qu’en l’associant au renseignement humain il aurait été mieux valorisé.
        S’imaginer que le tout machine abolira les faiblesses du facteur humain est une utopie.
        L’avenir est dans une complémentarité, et ce n’est pas nier le progrès.

        Jean-Loup FROMMER

        Répondre
  • Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
    l’avenir est à la robotisation partout. le nier c’est nier le sens de l’histoire, comme d’autres ont nié la vapeur, puis l’électrique, puis l’avion lui même…
    il restera des pilotes, mais pour le plaisir ou en ‘backup’ du robot.

    je travail dans les portails de services en ligne (y compris CRM, logistique etc…) , donc je prèche pour ma paroisse, 50% de ces portails sont des « robots de services » ils remplacent un emploi créé ou à créer. Par leur augmentation de rendement, ils peuvent faire croitre une société qui va pour le coup embaucher, mais uniquement là ou le robot « ne peut pas aller ».

    ce que je sais , c’est que 100% de mes clients ne déconstruiraient pas aujourd’hui leur robot pour mettre un homme à la place. là ou un robot fait une erreur (bug, ou effet de seuil, ou effet de bord) on patche, et ça marche durablement. quand un homme fait une erreur, elle est dure à analyser, les causes en sont TOUJOURS multifactorielles, il faut ensuite modifier les process, augmenter les contrôles, ainsi que les formations des autres pour patcher l’erreur.
    il ya donc un « effet cliquet » lorsqu’un drone sera là, pour son job bien particulier, on l’améliorera, mais on ne le remplacera plus JAMAIS par un pilote.

    A la France et à ses dirigeants, maintenant, de prendre en compte ce fait capital pour mieux anticiper ce mouvement de fond à venir

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  • Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
    C’est la que l’on mesure le fosse entre technologique entre Europe et USA.
    En Europe on projette un drone terrestre, aux US on teste un drone aeronaval ….

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  • Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
    Triste jour pour les marins.

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  • Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
    Impressionnant, et le sentiment de vivre un tournant dans l’aviation de combat…
    Le pilote étant le « maillon faible » en cas de conflit, et pouvant marquer l’opinion, ils sont en train d’y remédier!
    Où va t’on?

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  • Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
    C’est vraiment autonome ou pilotage déporté ?

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  • Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
    La mort annoncée du métier de pilote .

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    • Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
      cher ami jih, me cocernant je me premets de vous écrire ceci, l’homme aura toujours une
      place pour piloter un avion, bien sûr la technologie de notre époque va changer bien des
      choses dans notre vie, j’ai 74 ANS , aussi je suis toujours positif concernant l’aviation, et croyer moi c’est ma potion magique,

      bien amicalement à vous.

      RATEL CAMILLE

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  • Premier appontage d’un drone de l’histoire de l’aéronavale
    bravo à l’amérique du nord…

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