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L’après-Aéroscopia pour l’Aérothèque

Après trois ans d’un investissement total dans la projet Aéroscopia, l’Aérothèque qui a pour vocation d'entretenir la mémoire industrielle de l’aéronautique toulousaine, se donne de nouveaux objectifs au moment où le musée de Blagnac se prépare à ouvrir ses portes début janvier 2015.

Aéroscopia qui se officiellement inauguré le 13 janvier 2015, promet de devenir un lieu incontournable pour tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin à l’histoire de aéronautique. Un passage obligé pour les toulousains et les visiteurs extérieurs. Le musée de Blagnac prend forme. Les avions sont quasiment tous installés et les kiosques thématiques sont en cours d’achèvement. Le compte à rebours a commencé. Les premiers visiteurs pourront notamment découvrir, sur la galerie qui surplombe les plus gros avions...

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Un commentaire

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  • par Bernard Bacquié

    L’après-Aéroscopia pour l’Aérothèque
    Il faut être admiratif devant le travail d’Aérothèque et sa participation à Aeroscopia qui permet de décorer d’une très belle fresque murale la mezzanine.
    Mais qu’il me soit permis de faire remarquer que sur cette fresque ils ont commis un oubli – j’allais dire : impardonnable. En effet, la dite fresque se veut un mixage de l’histoire de l’aviation d’un côté mondial et de l’autre purement toulousain. Et si nous avons les portraits d’Ader, de Latécoère, de Dewoitine, de Mermoz, de Saint-Exupéry, tout comme de Lindbergh, mais qu’ont-ils fait de Dieudonné Costes ? Faut-il leur rappeler que ce monsieur, qui fut des premiers pilotes des lignes Latécoère, as de la guerre de 14, mais surtout le plus grand pilote français des années 20-30 (1ère traversée coast-to-coast de l’Atlantique Sud, tour du monde, 1er Paris – New-York, traversée de l’Atlantique Nord sens Est-Ouest), faut-il donc leur rappeler qu’il est né à Septfonds, à 40 km d’Aeroscopia ?
    J’en suis peiné, très peiné. La justice française l’avait réhabilité après lui avoir fait subir une détention préventive de 2 ans, pour des accusations de collaboration qui curieusement avaient épargné les chefs d’entreprise fonctionnaires. Là, on le tue une seconde fois, et chez lui. Je suis très peiné et en colère.

    Répondre

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