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La France s’intéresse à la très haute altitude

Le statut juridique des tranches d’altitude comprises entre 20 et 100km d’altitude est encore flou dans l’environnement international. La France travaille sur ses capacités d’intervention pour éviter les mauvaises surprises… © Frédéric Lert / Aerobuzz.fr

Rafale et Mirage 2000-5 de l’armée de l’Air et de l’Espace ont été engagés pour exercice contre des ballons cibles au-delà de 20 km d’altitude.

En 2023, l’interception d’un ballon chinois évoluant en très haute altitude par un F-22 de l’US Air Force avait indirectement posé la question des capacités françaises en la matière. Le ministère des armées vient donc d’annoncer le lancement d’expérimentations sous la houlette de la DGA et de l’armée de l’Air et de l’Espace, en utilisant des ballons stratosphériques fournis par le CNES. L’objectif est d’étendre les capacités d’interception actuelles via des évolutions des capacités d’acquisition et d’accrochage des cibles tout en élargissant sensiblement les domaines de vol aujourd’hui ouverts.

Frédéric Lert

Journaliste et photographe, Frédéric Lert est spécialisé dans les questions aéronautiques et de défense. Il a signé une trentaine de livres sous son nom ou en collaboration. Il a rejoint Aerobuzz en juin 2011. Au sein de la rédaction, Frédéric Lert est le spécialiste Défense et voilures tournantes.

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