Accueil » Aviation Générale » L’autogire DTA à la conquête de l’Est

L’autogire DTA à la conquête de l’Est

Hélices propulsives Duc ou E-Props et rotor alu Averso. © Gil Roy / Aerobuzz.fr

Fort de sa certification allemande et dans l’attente de son homologation acoustique suisse, le constructeur français d’autogire expose à Aero 2016, où il espère trouver le distributeur qui lui ouvrira les portes de l’Allemagne et au-delà celles de l’Europe Centrale.

Depuis 2008, date du démarrage de la commercialisation de son autogire J-Ro, DTA a livré 45 appareils dont une dizaine à l’export ; USA, Canada, Pologne, Népal et même Chine, mais encore aucun en Allemagne. Pourtant, sur le salon Aero de Friedrichshafen où il expose depuis plusieurs années, les autogires sont présents en force. En 2015, le constructeur français était venu avec sa certification fraichement délivrée par la fédération allemande de l’ULM. En 2016, il espère dénicher un revendeur local....

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

10 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • L’autogire DTA à la conquête de l’Est
    Ne pas oublier les Huit morts sur Autogire en 2015 !
    Compte tenu du parc français c’est énorme

    Répondre
  • L’autogire DTA à la conquête de l’Est
    Meester Georges le Français, aka GeoZeFrog (only cowards hide being pseudos) : Pour de très bonnes raisons de sécurité (vitesse, expérience/aptitude) les voitures sans permis, les karts et les mobylettes sont interdites sur les autoroutes. A l’inverse, et tout aussi intelligemment, un bateau ne doit pas dépasser 8 Km/h sur un canal. Personne ne souhaite une sur-règlementation, juste du bon sens. Aussi pilote d‘ULM et de giro, je suis a 100% en faveur de TOUT CE QUI VOLE, mais PAS DE TOUS CEUX QUI LE FONT n’importe comment.

    Répondre
    • L’autogire DTA à la conquête de l’Est
      Dear Adam,

      I used this pseudo on the internet for 25 years, and I don’t intend to change this habit merely to answer insults (and I certainly didn’t ask for yours).

      Je ne pense pas avoir fait l’apologie, ou dénigré, qui que ce soit, mais simplement voulu mettre en avant la mentalité de cour de récréation qui consiste à associer le comportement d’une machine à celui de ses utilisateurs. Il existe des pilotes ULM inconscients et de bons pilotes ULM. Il existe aussi de bons pilotes avions et de mauvais. Devrait-on jeter l’opprobre sur tous sous prétexte que certains ne sont pas à la hauteur de ce qu’ils prétendent?
      La remise en cause constante de ses propres capacités est la meilleure sécurité qui soit. La prise en compte de la différence qui nous sépare des autres (vitesses, altitude, attitude…) le meilleur moyen d’éviter tout problème. Déclarer que l’autre n’a pas sa place simplement parcequ’il est différent ne me semble pas une bonne façon d’aborder un article qui parle simplement d’un constructeur Français d’aéronefs, et qui donc ne concerne en rien les règlements de comptes personnels qui me semblent poindre sous vos propos.

      Répondre
  • L’autogire DTA à la conquête de l’Est
    Bonjour,

    Je suis un peu consterné des commentaires que je peux lire. Sommes-nous tous devenus fous au point de vouloir saborder notre propre activité ? Que nous soyons pilotes avion, ulm, parapentistes, deltistes, planeurs, hélico, que sais-je encore, ne sommes nous pas TOUS amoureux de la troisième dimension? Pourquoi devons-nous toujours chercher à écraser l’autre pour l’empêcher d’exister ?

    Nous avons diverses façons d’exercer cette passion, avec divers aéronefs ayant diverses caractéristiques. Et alors ???

    On peut tous trouver des défauts à l’autre, mais pourquoi généraliser ces clichés qui me semblent plus qu’inexacts et usés aujourd’hui ? Je ne pense pas que les ULM ou les planeurs suivent le même tour de piste que les avions, ce qui permet d’espacer les aéronefs sans problème… Dans le cas contraire, il faudra interdire Lyon Bron aux avions de club sous prétexte que des jets d’affaire s’y posent à des vitesses bien supérieures… N’a-t-on pas souffert de suffisamment de tracasseries administratives ?

    Comme le dit Thomas, rien ne vaut un essai pour mieux comprendre l’autre, l’appareil sur lequel il vole, ses contraintes et ses avantages. Au lieu de chacun râler dans son coin, pourquoi ne pas aller voir, discuter, essayer mutuellement, et ainsi mieux comprendre pour mieux vivre ensemble notre passion commune ?

    Répondre
  • L’autogire DTA à la conquête de l’Est
    Domage que je n’ai pas (encore…) de vidéos du guêpiers d’autogires actuellement basés a LFLP dont la cacophonie — et gluante lenteur aux abords du terrain — n’est égalée que par leur manque de visibilité d’avions (sans écran) qui les croisent. Constat non-polémique. Fly safe. — A.Shaw, aussi licensé (grand mot!) ULM et autogire.

    Répondre
  • L’autogire DTA à la conquête de l’Est
    Superbe machine offrant une énorme visibilité sur 330° dans tous les sens pour le pilote et pouvant voler en vol stabilisé entre 50km/h et 170km/h avec une consommation très raisonnable (16l à l’heure) et une autonomie de 4h, avec 0, 1 ou 2 portes… Je traverse la France avec sur 660km environ en 2 étapes de 2h30 avec passage des Alpes. Les vibrations sont maintenant extrêmement réduites.
    On peut considérer cette machine comme une moto des airs qui peut utiliser l’effet de pente pour suivre les crêtes, quasiment tourner sur place, descendre verticalement (autorotation) à 9m/s , se poser quasiment à l’arrêt, par exemple au croisement d’une piste et d’un taxiway ce qui permet de limiter l’impact sur le trafic…
    Pour le décollage, tout dépend de la masse emportée et surtout du vent. Cette machine ULM accepte facilement un vent de 70km/h, et absorbe les turbulences (contrairement à un avion: demandez à ma femme!). Pour ma part, je décolle fréquemment sur une piste de 1200m à 300m d’altitude et atteins (seul à bord) les 1000ft de hauteur avant la fin de la piste : les fameux 15m ou 50ft sont passés largement avant les 200m… évidemment, c’est un peu différent à MTOW où là il faut les 200m… sauf s’il y a un bon vent. Seul à bord également j’atteins sans problème l’altitude du Mont-Blanc…
    Côté bruit, le carénage très bien fini réduit le bruit maxi à 68dB au décollage.
    Effectivement la machine n’est pas extrêmement visible surtout par les avions dont les pilotes regardent trop leurs écrans.. elle est en général équipée d’un transpondeur mode S… et en tout cas est beaucoup plus visible que les drones qui se multiplient dans l’espace actuellement.
    Avec un pilotage dans son domaine de vol (pas de g négatif, pas d’acrobatie) la machine est très sûre, notamment grâce à sa capacité à se poser en quelques mètres à vitesse très faible.

    Répondre
  • L’autogire DTA à la conquête de l’Est
    Ayant les p’tits bouts de carton/licenses en poche , car il est important de savoir de quoi on parle, une question: quel est l’attrait — a 80-100K — d’un engin qui coute beaucoup plus cher qu’un avion plus sur et plus rapide, est incapable,– contrairement a un hélico — de se sustenter en stationnaire, fait un raffut (échappement libre) épouvantable, a besoin de 200 metres au décollage pour le passage des 50′, et demeure dangereusement invisible, en vol, par d’autre aéronefs ?

    Répondre
    • L’autogire DTA à la conquête de l’Est
      Alors là tout à fait d’accord, jamais compris l’utilité et l’intérêt d’un tel machin !

      Répondre
    • L’autogire DTA à la conquête de l’Est
      Bonjour
      Étant pilote autogire depuis plusieurs années , laissez-moi vous dire que votre avis sur l autogire est obselette .
      – pour le prix il est vrai que ce n est pas donné néanmoins au vu de la qualité des matériaux ainsi que de la qualité de fabrication et de finition cela se comprend. ce prix est aussi justifié par les coups de développement car le monde de l ulm apporte de l innovation chaque jours !
      -pour le bruit ,l échappement libre n existe plus depuis 20 ans en autogire contrairement au DR400 et autres avions que l’on croise tous les jours sur les aerodromes. L autogire à un taux de monté d environ 7m/s se qui permet de ne pas rester à basse altitude sur 2km après le levé des roues !
      -pour se qui est de la visibilité, les machines sont équipées de strobes très puissants ainsi que de couleur sur le bout des pales .ces machines possèdent une vue panoramique ce qui est très favorable pour apercevoir les autres contrairement à un tableau de bord au niveau du Des carton/ licences ne suffisent pas forcément à donner des avis éclairés. Rien ne vaut un essai !

      Répondre
  • L’autogire DTA à la conquête de l’Est
    Très bel engin! La « petite Nelly » a ses adeptes, à l’instar de toutes les catégories ulm. Bon flies!

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.