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Issoire Aviation obtient la certification de son quadriplace APM41

L'APM 41 "Simba" a été certifié le 18 juillet 2019 par l'EASA. © Issoire Aviation

Le constructeur d’Issoire annonce la certification EASA de son nouveau quadriplace APM41 équipé du moteur Rotax 915iS.

Mener à bien la certification d’un biplace léger est un parcours du combattant. Les audacieux constructeurs qui sont passés par là ou qui sont actuellement engagés dans cette voie peuvent en témoigner. Dans un environnement réglementaire aussi contraignant que celui qui régit l’aviation légère, viser la certification d’un quadriplace relève de l’audace, voire de l’insouciance.

En ce qui concerne Philippe Moniot et son équipe, c’est en toute connaissance de cause que le programme APM41 a été lancé. Le prolifique constructeur d’Issoire...

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9 commentaires

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  • ISsoire aviation à ceci de particulier.
    Un fondateur qui aiment les petis zincs et qui s’est battu pour développer sa famille de APM. Mais aussi un industriel qui a trouvé son compte en que fournisseur auprès des grandes enseignes.
    Le CA que représente la flotte de APM est… ridicule par rapport au reste !
    Aussi ridcule soit-il, le suivi de la production des APM est une tâche à ne pas sous-estimer.
    Que l’avion soit bon ou pas, c’est une chose.
    Mais le vrai « challenge » est : est-ce que M. Moniot et son équipe vont s’impliquer un peu plus dans l’exploitation des APM (vente + SAV + etc..) ! Il y a quelques années, ils voulaient même reprendre la production des DR400 !
    C’est là que se trouvent le ying et le yong !
    Ce n’est pas tout le monde qui peut faire un bon zinc !
    Et ce n’est pas tout le monde qui DESIRERA ou REUSSIRA à le vendre sans implication .Jusqu’à présent ISSOIRE aviation se contente du bouche à Oreille, pour faire parler de sa flotte. Étrange, de la part d’un industriel !

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  • Bonjour, un lecteur a t’il de l’info/expérience du SAV d’Issoire Aviation pour sa gamme d’avions de tourisme (rapidité, engagemnt de service, etc…) Merci.

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    • Je constate que dans mon club, nous sommes régulièrement embêtés par les coûts et surtout les délais de maintenance des APM, coûts de maintenance qui représentent 50% du prix de l’heure de vol en moyenne sur un parc DR / APM. Il n’est donc pas dit que le coût d’achat soit le critère le plus important, or seul celui-ci est connu lorsqu’on achète.

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  • par jacques nicolas chalumeau

    bonjour tiens une nouveauté dans notre petite aviation, souhaitons que cet avion ne soit pas qu’ une vitrine, il annonce plutôt de bonnes perfomances , mieux qu’ un tecnam P2010 de 180 cv, assez récent- plus performant qu’ un DR 400 pour la vitesse de croisière – mais bon il nait 50 ans après !! mais rien d’ extraordinaire !! encore qu’ a part la vitesse pure , cet avion est encore lourd et je pense qu’ un DR400 avec le meme moteur ne serait pas plus lourd, et pas moins performant , au moins en décollage montée et charge utile , puisque si je comprend bien cet avion se destine a lui succèder au sein des clubs , je serai curieux de connaitre le MCR 4 S en développement actuellement chez SE AVIATION à Pontarlier avec ce moteur, ca bouge un peu après la naisance de l ELIXIR , bonne chance à tous ,nico dijon

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  • En fait ils font des avions pour qui …?

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  • Mais le nouveau modèle est-il destiné à la vente ? Va-t-il rester une vitrine pour une entreprise plus intéressée par une position de fournisseur des grands programmes ? Le président de la FFA se plaint d’une directrice des ventes injoignable quand un club veut acheter un avion.

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    • Peut être sait-il qu’il n’en vendra pas beaucoup de toutes façons. En volant 300h/an en club, et en remboursant sur 10ans avec un taux zéro, ça fait encore 100€/h juste pour payer la cellule. Auquel il faut ajouter l’essence, l’entretien, le hangar et autres charges fixes. Alors que les clubs d’à côté avec leurs vieilles machines sortent une heure de vol entre 150€ et 200€ pour les plus chers.
      Le fait est que la moitié du prix étant pour les assurances responsabilité constructeur et que la moitié de l’autre moitié pour payer les frais de certification, même le plus doué des constructeurs comme Issoire ne peut sortir un avion dont le coût de revient tienne la route.

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  • Chapeau bas, Mr Moniot! Se lancer dans le développement d’un quadriplace est de nos jours un sacré défi. Souhaitons que le marché suive pour que tous ces efforts soient récompensés à leur juste mesure. De la part d’un (très) ancien élève de Philippe Moniot.

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  • L’Auvergnat est opiniâtre.

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