Accueil » Aviation Générale » L’aviation légère éjectée de l’EuroAirport

L’aviation légère éjectée de l’EuroAirport

L'aviation légère et de loisirs fait les frais de l'extension de l'aérogare de l'EuroAirport, l'aéroport trinational de Bâle-Moulouse-Fribourg. © EuroAirport

L’EuroAirport (Bâle-Mulhouse-Fribourg) annonce sa décision de mettre fin aux activités d’aviation légère et de loisirs actuellement situées dans la Zone Nord de l’aéroport d’ici fin 2026 au plus tard. Le compte-à-rebours est enclenché pour les opérateurs d'avions légers.

L’EuroAirport rappelle que depuis 1967, il met à disposition de l’aviation légère et de loisirs des infrastructures de la Zone Nord. Il a décidé d’y mettre un terme. Il le justifie en expliquant que « L’exploitation de la zone, où est actuellement implantée l’aviation légère et de loisirs, n’est économiquement plus viable depuis plusieurs années. Pour continuer à répondre aux exigences réglementaires, des investissements considérables dans les infrastructures existantes seraient nécessaires. »

Ce n’est pas...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

Un commentaire

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • COMME UNE HISTOIRE BELGE… La belgique s »est débarrassée de son aviation générale, puis en grande partie de son aviation commerciale, puis détruit ses avions d’entrainement militaire (sf 260) il ne restera plus rien, ces bureaucrates oublient que la majorité des pilotes proviennent de l’aviation générale, et ils ont du mal à recruter.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.