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Un stage de maintien des connaissances ou le futur passage obligé pour les acteurs du spectacle aérien

De nouvelles obligations en vue pour les pilotes de présentation et les directeurs de vol des meetings aériens… © Carnet de vol / N. Lejeune

Dès la saison 2024, les pilotes de meetings et les directeurs des vols devront avoir suivi un stage de maintien des connaissances pour être autorisés à poursuivre leurs activités. Afin de leur permettre de faire face à cette nouvelle exigence réglementaire, l'association France Spectacle Aérien propose trois sessions de formation de deux jours (du 24 au 29 avril 2023). Cap sur Saint Yan !

Cette nouvelle saison 2023 de Spectacles Aériens Publics qui va s’ouvrir dès le début du mois de mai, verra la mise en application de plusieurs amendements de la nouvelle réglementation du 10 novembre 2021. Ces modifications de quelques articles sont issus des rencontres de Retour d’Expériences (post saison 2022) auxquelles ont participé les différentes Fédérations et France Spectacle Aérien au siège de la DGAC, dans le dernier trimestre 2022.  Avancées mineures pourrait-on penser ? Nous ne pouvions...

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2 commentaires

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  • Ou comment tuer les traditionnels meetings d’aéroclubs, et éloigner l’aviation générale de la population française.
    Encore du papier, encore des contraintes, encore des coûts supplémentaires demandés aux bénévoles…
    Ce texte est kafkaïen, nos dirigeants ont oublié que la sécurité première est de voler, voler encore, et non pas de faire des stages papier, des conférences qui vont s’adresser qu’à des « professionnels » de meetings.
    Dans les décennies passées, ou il y avait il le plus d’accidents en meeting ? en Angleterre ou tous les pilotes avaient leur display autorisation, en France, nous étions plus pragmatiques, car il ne faut pas oublier qu’un pilote est bon un jour et peut être mauvais la semaine suivante …Notre confiance était en celui du Directeur des Vols, qui pouvait juger sur place, au moment qu’il fallait, et il y a eu très peu d’accidents.
    Il y a plusieurs types de présentation, et le fait d’avoir un avion de « collection » change la catégorie du meeting, on peut se demander pourquoi…
    Maintenant, vu le coût des sécurités demandées, que ce soit au niveau des assurances en tout genre, police, samu, pompiers, etc… plus les couts des carburants et des entrainements (eux légitimement nécessaires)
    le nombre de meetings va se raréfier, et seuls des « professionnels », par ailleurs de moins en moins nombreux, pourront faire face…
    Nous allons assister à une standardisation des présentations et des appareils concernés, lorsque vous aurez vu un meeting dans l’année, vous les aurez tous vu.
    Ce qui est dramatique est que notre aviation générale est acceptée en France par nos concitoyens, surtout grâce aux petits meetings de campagne ou d’aéroclubs, car il y avait une fusion et des échanges entre pilotes et spectateurs, qui maintenant se trouvent tellement éloignés les uns des autres, que maintenant c’est comme aller au cinéma… Plus aucun échange, de convivialité, donc moins de compréhension, plus de critiques sur les nuisances, moins d’envie de voler etc..
    Encore une mauvaise voie, ou l’on oublie que « trop de réglementation tue la réglementation ».

    Répondre
    • Processus inéluctable ? 👎
      Positivons en rêvant que la frustration grandissante des ex-spectateurs de spectacles aériens les amènera à pousser les portes de nos aéroclubs et petits aérodromes pour soigner leur manque 🤕…

      Répondre

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