Accueil » Défense » Mission en milieu défavorisé pour les élèves de l’Ecole de l’Air.

Mission en milieu défavorisé pour les élèves de l’Ecole de l’Air.

Les jeunes lycéens, entourés de leurs tuteurs et des officiers de la Direction de l'Ecole de l'Air et du Plan Egalité des chances réunis pour la traditionnelle photo de groupe © J. Philippe Mayol

Depuis presque une décennie, la base aérienne 701 de Salon de Provence accueille la remise du « Prix Saint Exupéry, l'Envol de la jeunesse ». Mi-décembre 2019, l’Ecole de l’Air a réuni les acteurs de ce prix. Une occasion de dresser le bilan du Plan Egalité des Chances et du tutorat de l’Ecole de l’Air.

Le 11 décembre 2019, le grand amphithéâtre Marin La Meslée du Bâtiment des Elèves était presque trop petit pour accueillir les récipiendaires du Prix Saint Exupéry, que François d’Agay, neveu et filleul du pilote écrivain et président de la Fondation Antoine de Saint-Exupéry pour la Jeunesse (FASEJ) préside et soutient, depuis l’origine. Les jeunes distingués, entourés de leurs tuteurs, des autorités militaires (Colonels Jobic, Estève et Tarres, Capitaine Guitton), de représentants des associations et directeurs d’établissements scolaires inscrits dans le...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

10 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Belle opération de propagande pour l’armée, en « moderne » on dirait « soft power »!

    Répondre
  • C’est un exemple que devraient suivre (et peut être suivent déjà, souvent dans l’ombre), les Ecoles de nos Institutions. Côté « jeunes », faire découvrir les valeurs humaines, mettre en confiance; côté « tuteurs » (élèves ingénieurs), se mettre dans la peau de leaders et d’enseignants. Du gagnant-gagnant, en demandant aux deux parties de réaliser très souvent des exploits : pour le BIA par exemple, on demande au tuteurs de devenir à 20 ans et en quelques semaines les meilleurs profs de la Terre, en déployant des trésors de pédagogie, pour que les élèves, qui ont sacrifié tous leurs mercredis après-midi, apprennent des choses souvent incompréhensibles. En presque 10 ans d’existence, j’ai vu couler les larmes des CPE ou des chefs d’Etablissements, qui ne savaient pas que leurs élèves réalisaient autant d’exploits (sauter en parachute, piloter…).
    Une vraie leçon de courage, de cohésion, d’éthique, et d’espoir en notre jeunesse.
    Bravo au Gal Mercier et à St Ex pour avoir mis en oeuvre cette machine extraordinaire, aux partenaires financiers pour croire à cette aventure magique, et aux acteurs d’aujourd’hui aux commandes de la locomotive.

    Répondre
  • Désolé, mais ça me laisse parfaitement froid – ça me contrarie, même. Ce qui était des formations d’excellence devient un business de politiquement correct, où on attribuera des points en plus en fonction du sexe et de la couleur de la peau. Triste que des officiers généraux de l’Armée de l’air se prête à ce genre de mascarade – mais quand le politique ordonne, il faut suivre, n’est-ce-pas ? la suite de la carrière est à ce prix, et c’est plus facile quand on n’a soi-même aucune conviction.
    Il y a toujours eu des jeunes gens d’origine modeste qui sont rentrés à l’Ecole de l’Air, sans qu’on ait besoin de leur donner des points en plus, il leur suffisait juste de passer du temps dans les bouquins et d’en ressortir quelque chose le jour du concours. Ce raisonnement poussé à l’extrême conduit à ce qui se passe désormais en Afrique du Sud, pour ceux qui connaissent – et je sais qu’il y en a par ici.

    Répondre
    • Vous n’avez pas compris ce dont il s’agit. Lisez mon commentaire….

      Répondre
    • Le but n’est pas de rentrer à l’Ecole de l’Air. C’est un apprentissage de la vie, dans un monde qui aujourd’hui a beaucoup perdu de ses valeurs, valeurs qui sont sauvegardées, maintenues, presque thésaurisées dans quelques lieux où heureusement, on ne cherche qu’à les partager.

      Répondre
    • A priori vous n’avez pas saisi le but exact de cette formation !!!
      Et c’est tellement facile de critiquer. Informez vous correctement avant de faire ce genre de commentaire.

      Répondre
  • Bonjour
    Bravo à l’ensemble de cette jeunesse et à ses encadrants. Par l’effort et le travail personnel ils vont pouvoir côtoyer l’univers aérien. Au fil du temps ils vont découvrir que l’on est toujours récompensé de ses efforts. Encore bravo à eux d’avoir tenté et accepté la main tendue de l’Armée de l’Air. Une Armée faite de Chevaliers au sol comme dans les Airs.
    Cordialement
    Michel BOUR

    Répondre
  • Remarquable. Bravo à tous les acteurs de ces actions!

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.